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Laissez moi «ruer dans les brancards» ?

les potes doivent être éclairésCHRONIQUES CHOUCROUTE
par le Pote H

Dans mes chroniques on m’’a demandé de cultiver les potes âgés pour leur montrer la différence entre culture et agriculture.
Vu leur sénilité précoce nous procéderons toujours, par des anecdotes, qui leur permettront de mieux mémoriser, et de bien comprendre le sens des choses …

OH purée va y avoir du boulot …. Merci monsieur excusez nous…… c’est une erreur il n’y a aucune fuite chez nous…..Mais si on pète les plombs…. C’est noté votre entreprise fait aussi l’électricité…
si on pète un câble …. SUPER…..Vous faites aussi…. Alors à bientôt

Laissez moi
«ruer dans les brancards» ?

  Lorsqu’une personne tape du poing sur la table, on peut dire qu’elle «rue dans les brancards».

Contrairement à ce que l’on croit souvent, cette expression ne provient pas des civières qu’utilisent les infirmiers ou les pompiers.

Origine de l’expression
Apparue au XVe siècle, elle provient en réalité du langage des cochers de l’époque, et faisait alors référence à leurs attelages.

Les brancards désignaient en effet les deux pièces de bois entre lesquelles les chevaux se trouvaient.

 

 

Lorsque les animaux ne voulaient plus tirer l’attelage ou lorsqu’ils avaient faim, il leur arrivait alors de se débattre, voire même de ruer, entre ces fameux brancards.

L’expression a par la suite perduré dans le domaine des transports hippomobiles, avant d’entrer dans le langage populaire malgré la quasi-disparition des charrettes au profit des automobiles.

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UN PEU DE TECHNIQUE SUR LES BRANCARDS

Définition
Dans une voiture le terme de brancard est utilisé pour définir trois types de pièces assurant des fonctions totalement différentes:

-Brancards de train:
« Les brancards de train sont deux longues pièces de bois ou de fer, latérales et parallèles, reliant les trains avant et arrières de certaines voitures à quatre roues » -J.L. Libourel (Voitures hippomobiles)- On trouve plus particulièrement ces brancards sur les berlines du XVIII° siècle.

Brancards de caisse:
Cette dénomination a deux significations dans la construction d’une caisse de voiture:

– au singulier, elle désigne « l’ensemble des pièces servant de fond et de support à toute la caisse » -Roubo 1756-
-au pluriel, elle s’applique aux deux « longerons formant les bases sur lesquelles sont construites les faces latérales de la caisse » -« Voitures hippomobiles » JL Libourel-
Ces rapides présentations ont pour but d’éviter la confusion avec les brancards de voiture qui sont le sujet de cet article.
Brancards de voiture
Ce sont deux longues pièces de bois qui permettent d’atteler le cheval à la voiture et ont pour fonctions:

-de faire reculer et tourner le véhicule en agissant sur l’avant train pour une voiture à quatre roues ou sur la caisse pour une voiture à deux roues.
-par leur réglage sur la sellette du harnais du cheval, d’équilibrer et de maintenir une position horizontale pour une voiture à deux roues.

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LADY LADINDE : Découvre le Titan Atlas et la carte du ciel

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– Eh FIRMIN...
C’est chaud la messagerie en ce moment plusieurs personnes nous ont soupçonné de passer des messages dans nos images

– Ah OUAIS…..
je t’assure Gaston que  pour moi aussi ces inscriptions portées sur le globe terrestre verdâtre du père Atlas m’ont intrigué …

C’est vrai qu’elles méritent explication … mais pas de nous condamner à porter sur nos épaules … Un monde qui n’est pas le notre…!

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs « – Messieurs Messieurs…. un peu de respect pour la liberté d’expression de nos lecteurs… qui ont cru voir d’’ésotériques signes cabalistiques .
Il en va tout autrement lorsque l’on a l’explication…..
La voici….!
C’est le pote H qui s’y colle… En plongeant, malgré son arthrite , sa plume dans l’encre violette de son enfance…!

les potes doivent être éclairés

CHRONIQUES CHOU CROUTE
par le POTE  H

Dans mes chroniques on m’a demandé de cultiver les potes âgés pour leur donner du vocabulaire de ma grand-mère impotente.

Vu leur sénilité précoce ( non y a que ça qui est précoce ) nous procéderons toujours, par des anecdotes, qui leur permettront de mieux mémoriser, et de bien comprendre le sens des maux… de dos …. Non je veux dire le sens des mots …. à porter à dos d’âne
Comme aujourd’hui ….AVEC LA PREMIÈRE CARTE DU CIEL…!

Atlas soutenait Hipparque que l’on croyait perdu…?

 

L’œœuvre cardinale du grand astronome Hipparque de Nicée (vers 190-120 avant J.-C.) semblait perdue à jamais.

Fréquemment cité par les auteurs classiques, cet ouvrage – un catalogue d’étoiles relevant la position et l’éclat de plusieurs centaines d’astres – a peut-être été détruit dans le second incendie de la grande bibliothèque d’Alexandrie, vers la fin du IVe siècle.

L’espoir était donc maigre de retrouver, quelque 1 600 ans plus tard, cette oeœuvre unique.

C’est pourtant chose faite. Ou presque…

Si le document original – ou même une copie – n’a pas été retrouvé, Bradley Schaefer, professeur d’astronomie américain, vient d’en découvrir, sur un support inattendu, les seules traces connues.

La première carte du ciel d’Hipparque
reproduite sur le globe

Le reliquaire est une statue romaine, l’Atlas de la collection Farnèse, aujourd’hui exposée au Musée archéologique national de Naples.
Ce marbre du IIe siècle – qui figure le titan Atlas, un genou en terre, soutenant le globe céleste – passionne les astronomes depuis le début du XVIe siècle.

La raison en est simple : Sur la sphère qui courbe l’échine du titan figurent 41 constellations donnant l’une des plus anciennes descriptions connues du ciel.

Pendant près de cinq siècles, les spéculations sont allées bon train : à quel astronome de l’Antiquité attribuer la représentation de la voûte céleste gravée sur l’Atlas Farnèse ?
M. Schaefer a voulu en avoir le coeœur net.
Dans une étude rendue publique, au congrès de l’American Astronomical Society,  il a étudié précisément les positions des 41 constellations représentées sur l’Atlas.
Puis il a mis en relation ces données avec les mouvements de précession de la Terre – ces petites oscillations périodiques de son axe de rotation – qui modifient l’aspect du ciel nocturne.
Il a ainsi pu déterminer la date à laquelle ont été faites les observations immortalisées sur l’Atlas : 125 avant J.-C., avec une incertitude de 55 ans.

Une précision suffisante pour affirmer que seul le grand Hipparque peut être à l’origine de cette représentation du ciel.

SOURCE :
Stéphane Foucart
 

 – C’est beau FIRMIN la recherche… PAS VRAI…!

– Ah OUAIS….. Moi aussi  je fais …. de la recherche …

– AH BON… TOI…?  Et qu’est ce que tu recherches

– Ça dépend des jours…. mes lunettes… mon journal … Mon  stylo ….


– Attention vous  deux à un jour ne pas perdre la tête …
Parce que ça, c’est pas facile à retrouver…

les potes doivent être éclairésRestez svelte 160px
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