Archives par étiquette : Henri Testelin

Henri Testelin: Portraits de LOUIS XIV


L’ART ET LA  PALETTE
AU CHOU :

 

Henri Testelin peintre de cour
sous LOUIS XIV

Henri Testelin est un peintre français ..(PARIS 1616 -1695 LA HAYE)

Portrait de Louis XIV en 1648
Château de Versailles

Henri Testelin est le fils de Gilles Testelin, peintre de Louis XIII, et le frère cadet de Louis Testelin, peintre.


Gilles Testelin est le fils de Pasquier Testelin, peintre ordinaire du roi en 1610, mort avant juin 1613.


Henri Testelin succède à son père comme peintre du roi et son frère, Jacques, est aussi maître peintre.

Il a été, avec son frère, un des premiers académiciens de l’Académie royale de peinture et de sculpture

Portrait du chancelier Séguier vers 1668. Château de Versailles.

Henri Testelin est un peintre de cour qui réalise plusieurs portraits de Louis XIV, d’autres personnages importants de la Cour, des peintures relatant des événements officiels ainsi que des œuvres décoratives pour les appartements royaux.
 La plupart de ses œuvres sont conservées au Château de Versailles.
Plusieurs de ses tableaux, dont les portraits de Louis XIV, montrent l’influence de Nocret et de Le Brun.

   Louis XIV en 1667. Château de Versailles .

Son appartenance à la religion protestante a entraîné son exclusion de l’Académie, le et a dû se réfugier aux Provinces-Unies.
Il s’est marié en mars 1656 avec Anne Loisel, de Guines, décédée avant 1673, dont il a eu plusieurs enfants, tous morts en bas âge.

Colbert présentant à Louis XIV les membres de l’Académie royale des Sciences, seconde moitié du XVIIe siècle.
Château de Versailles.

La famille de Darius au pied d’Alexandre. Château de Versailles.

1er octobre 331 avant JC  –
Alexandre écrase Darius III à Gaugamèles
 Le 1er octobre de l’an 331 avant notre ère, Alexandre le Grand bat Darius III, le roi des Perses, à Gaugamèles, en Mésopotamie (le lieu est aussi appelé Arbèles). Cette troisième victoire sur le puissant Roi des Rois lui ouvre les portes de la Perse et la domination sur l’ensemble du Moyen-Orient. 

La bataille décisive

Alexandre a déjà vaincu l’héritier des Achéménides au Granique et à Issos avec sa petite armée d’environ 45 000 Macédoniens et Grecs.

En quelques mois, par ces deux victoires, le roi de Macédoine, à peine âgé de 25 ans, a imposé sa domination sur le Proche-Orient et l’Égypte. Mais le repos lui est interdit. Il apprend que son ennemi a refait son armée et l’attend en Mésopotamie.

Alexandre franchit alors l’Euphrate, à la poursuite de Darius. Celui-ci a réuni dans la plaine de Gaugamèles une armée forte, dit-on, d’un million d’hommes, plus sûrement de 300 000, ce qui est déjà considérable. Bien informé des difficultés qui l’attendent, Alexandre accepte le combat contre l’avis de ses conseillers et vainc les Perses par son habileté tactique.

Vers la conquête du monde

Tandis que Darius III s’enfuit misérablement dans les montagnes, le roi de Macédoine entre sans coup férir dans les capitales achéménides : Suse, Persépolis, Pasargades et Ecbatane. Il s’empare des trésors de la dynastie achéménide et se fait proclamer roi d’Asie.

Avec un rare sens politique, il se recueille devant le cercueil de Cyrus, fondateur de la dynastie des Achéménides. Mais il laisse ses soldats piller la prestigieuse Parsa (Persépolis en grec), vengeant de la sorte le pillage d’Athènes et la destruction de l’Erechthéion  sacré par les troupes de Xerxès, 150 ans plus tôt…

 

SOURCES : 
https://www.herodote.net/1er_octobre_331_avant_JC-evenement–3311001.php?resume=1


CHOU FLEUR

Share Button