VETEMENTS ET ACCESSOIRES SANTÉ ET SOINS DU CORPS VOYAGES VALISES
– BLOC NOTE
de Choucaline
– « Les capacités de notre cerveau:
– Voilà le fruit de mes recherches sur notre santé:
Il y a quelque chose à faire si vous êtes bègues …..
Quand il était annoncé, on se câlait dans le fauteuil. On s’arcqueboutait, on avait de la peine pour lui, on lui soufflait ses mots, on abandonnait car il en prenait d’autres. On était morts de rire et crevés. Quel talent, dans la vie courante il parlait « normalement ». À cet époque, on rencontrait souvent de vrais bègues qui n’avaient pas la possibilité d’abandonner le bégaiement, eux. |
Démosthène et vous les bègues
Démosthène, né à Athènes en 384 av. J.-C., mort à Calaurie en 322 av. J.-C., est un homme d’État athénien. Grand adversaire du roi de Macédoine Philippe II, au travers notamment de ses quatre Philippiques, il est considéré comme l’un des plus grands orateurs de l’Antiquité.
Ses problèmes d’élocution lui valent le surnom de « bègue », défaut qui selon la légende l’a contraint à s’entraîner à parler avec des cailloux dans la bouche. Toutefois, il s’est amélioré, se hissant même dans le classement des 10 meilleurs orateurs grecs selon le Canon alexandrin.
LE DISCOURS D’UN ROI OU COMMENT ON S’EN SORT
Le discours d’un roi est un film sur la véritable histoire du roi George VI, joué par Collin Firth, considéré comme inapte pour régner à cause de son bégaiement.
Ce film retranscrit le combat méconnu de ce roi contre son handicap en pleine période hitlérienne. Suite à l’abandon du trône par son frère, il se voit forcé de devenir roi et de faire des discours devant son peuple… à la radio… et aussi de déclarer la guerre à Hitler.
EN VOICI LA TRAME PRINCIPALE
Son martyr | Son traitement |
Son résultat final….!!!!
JACQUES MARTEL PSYCHOTHÉRAPEUTE propose la Technique d’intégration et d’acceptation, qui permet de prendre conscience de l’origine de ce malaise afin de désactiver la source du conflit qui est à l’origine du mal-être.
VOICI CE QU’IL DIT SUR LE BÉGAIEMENT
BÉGAIEMENT
Le bégaiement est la manifestation d’un trouble d’élocution, une difficulté partielle ou grave à parler, à dire et à m’exprimer clairement (cela va de quelques mots par accident à un trouble régulier).
Il est relié à la gorge, au centre de la communication et de l’expression de soi.
Il se peut que mon bégaiement provienne d’un blocage affectif ou sexuel découlant de mon enfance. Ceci ne veut pas nécessairement dire que j’ai vécu des attouchements, mais j’ai pu enregistrer une peur, consciemment ou non, par rapport à ma sexualité en relation avec une personne ou un événement.
C’est une forme d’insécurité profonde venant de l’enfance qui est reliée à la peur d’un parent (la mère ou le père).
C’est une sorte de refoulement, une incapacité à maîtriser adéquatement mes pensées et mes émotions intenses et la tentative échouée de contrôler l’expression de mon langage qui n’est plus spontané (ce type de désordre peut arriver tôt dans l’enfance lorsque l’enfant a été ridiculisé dans son droit de pleurer :
« Ne pleure pas ! » ). Je transforme alors cette émotion en bégaiement.
j’ai peur d’être « clair », j’hésite, je n’arrive pas à dire clairement ce que je ressens, je refoule et déforme mes paroles par peur du rejet ou par anxiété.
Si je dis clairement ce que je vis, mes parents vont-ils le prendre ?
Suis-je assez correct pour eux ?
Est-ce que je réponds à leurs attentes ?
Me permettent-ils d’être ce que je suis ?
Mes paroles dépassent-elles mes pensées ?
Il y a de fortes chances qu’un ou que mes deux parents soient très autoritaires et dominateurs.
Je me sens jugé, contrôlé, critiqué et même ridiculisé suffisamment pour que je finisse par croire que mes paroles ne valent rien.
Comme enfant, on peut aussi m’avoir empêché de m’exprimer.
Je manifeste alors toutes sortes de désordres de comportement, allant de la timidité au repli sur moi. Le premier pas est d’accepter de m’ouvrir au niveau du cœur à mes pensées, à mes paroles, à mes actions et surtout à mes émotions et mes désirs.
Il est important que je prenne le temps et que je respecte la « vitesse d’être » qui est la mienne. Je me respecte tel que je suis, sans jugement ni critique.
J’accepte d’exprimer mes idées, mes joies, mes peines et mes peurs.
Je peux alors commencer à me faire confiance, à ressentir mes émotions, mes sentiments et à m’ouvrir aux gens que j’aime.
Ainsi, je retrouve un calme intérieur qui me permet de m’exprimer avec beaucoup plus d’assurance.
J’éviterai ainsi les bafouillages, la bousculade des mots à cause d’un esprit trop actif, ou la retenue de certains mots dont je crains la répercussion.
Devenu un best-seller avec plus de deux millions de lecteurs, voici le plus grand dictionnaire sur les causes des malaises et des maladies reliées aux pensées, aux sentiments et aux émotions. Il propose la Technique d’intégration et d’acceptation, qui permet de prendre conscience de l’origine de nos malaises afin de désactiver la source du conflit qui est à l’origine du mal-être. Compilant plus de 40 ans de recherche à partir de la pratique privée et les ateliers de Jacques Martel, ce livre est considéré depuis 1998 comme un outil de recherche unique dans le domaine de la santé, du mieux-être et de l’ouverture de conscience. |