LE BLOC NOTE
de
Papy et Mamy
tendresse
90 rue de la tendresse
Un enfant vous embrasse Parce qu’on le rend heureux Tous nos chagrins s’effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu… Dans votre immense sagesse Immense ferveur |
Faites donc pleuvoir sans cesse Au fond de nos cœurs Des torrents de tendresse Pour que règne l’amour Règne l’amour Jusqu’à la fin des jours ( La tendresse – Bourvil) |
Paroles de la chanson : C’était L’hiver par Francis Cabrel
Elle disait : « J’ai déjà trop marché
Mon coeur est déjà trop lourd de secrets
Trop lourd de peines »
Elle disait : « Je ne continue plus
Ce qui m’attend, je l’ai déjà vécu
C’est plus la peine »
Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C’était l’hiver dans le fond de son coeur
Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C’était l’hiver dans le fond de son coeur
Le vent n’a jamais été plus froid
La pluie plus violente que ce soir-là
Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu
Derrière la façade de ses yeux
Dans un éclair blanc
Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C’est qu’il fait froid
Dans le fond de mon coeur
Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C’est qu’il fait froid
Dans le fond de mon coeur
– A ma Marie à moi..!
« Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu »
« Et si depuis ce soir-là » je cherche son pardon
« C’est qu’il fait froid
Dans le fond de mon cœur »
En savoir plus : https://www.paroles.net/francis-cabrel/paroles-c-etait-l-hiver