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La nouvelle série sur les symboles cherchait une plume nous l’avons trouvée avec ALAIN FINI qui assurera cette rubrique dans les mois à venir.
Il lui fallait une logo qu’a cela ne tienne notre dessinateur CATALA le lui a donné.
Il l’a même flanqué d’un compagnon de route…
SAINT BOL un pèlerin inclassable et capable d’aller de l’alpha à l’oméga des symboles…. Ne cherchez pas plus longtemps il ne figure pas au calendrier.. mais il porte chance…
A condition d’avoir du bol.
LE COQ
Dès l’antiquité , le coq est considéré comme un symbole solaire en raison de son chant matinal annonçant le lever du soleil.
Son cri en fait également tant pour les chrétiens ( car il chasse les ténèbres) que pour les Francs-maçons un symbole de courage, à cause de la pugnacité qu’on reconnaît au volatile dans les combats, et un symbole d’ardeur sexuelle qui a notamment donné lieu à l’invention d’expressions telles qu’ « être le coq du village », ou encore » faire le coq ».
Surtout depuis la révolution, le coq gaulois est devenu le symbole national de la France,remplaçant les animaux royal et impérial que sont le lion et l’aigle.
Le coq hardi ( la patte droite levée est en revanche depuis le début du XXe siècle , le symbole de la Wallonie ( Belgique francophone)
Portail nord de la cathédrale
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Le bestiaire de Thèbes est l’un des panneaux situés sur portail nord de la cathédrale Voici le panneau qui nous intéresseCe mélange de scènes de chasse, de personnages et d’animaux fantastiques sont généralement présentés comme des scènes décoratives ou des fantaisies d’artiste. Cependant parler d’artiste au Moyen Âge est anachronique. Il s’agit de mettre en œuvre les procédés techniques qui permettent de réaliser correctement les images . L’artiste est alors surtout un artisan. L’œuvre est en réalité une commande qui vu l’importance du lieu d’exposition, visible à tous, n’autorise aucune fantaisie. |
Une autre légende est particulièrement répandue dès le XIIème siècle à partir d’un des premier romans français : le roman de Thèbes. Le combat de coqs ci-dessous pourrait en être l’illustration…. Il s’agirait alors d’animaux exotiques signe d’animalité comme pour les autres parties du panneau . Cela ne nous aide pourtant pas à donner un sens à leur présence sur ce panneau, d’autant plus que le dernier animal fantastique est un être hybride entre l’homme, le félin et le dragon |
LE BASILIC
Le basilic est une bête légendaire, souvent présenté comme un reptile, mentionné dès l’antiquité gréco-romaine comme étant un petit serpent au venin et au regard mortels.
Durant le Moyen Âge, il fut plus souvent décrit comme un mélange de coq et de serpent et fut l’objet d’importantes superstitions, tant sur ses origines que sur ses pouvoirs d’empoisonnement et de pétrification.
Symbole du pêché et de la tentation
il incarne dans la pensée chrétienne , le diable et est souvent représenté foulé aux pieds par le christ
SOURCE : wikipédia
www.yvesago.net – mémo gisserot – les symboles . Nathalie LE LUEL
Le conseil de Saint BOL
LIRE LE SYMBOLE
DÉJÀ PUBLIÉ :
LE TRISKEL – L’ALPHA ET L OMEGA
LE COQ ET LE BASILIC