par
Mon pote le facteur
et son Muchacho Philochou
« Fils de paysan, je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie, il y a aussi des hommes de génie et d’énergie »
– Ferdinand Cheval (1836-1924)
– Philochou…..C’est moi de mon vrai nom Philippe ATHELISTE mes copains m’appelle Phil…ATHELISTE
mais LADY LADINDE quand elle m’a vu au comité de rédaction …
elle m’a dit: « Toi chéri chéri… Chou comme t’es, chez nous tu vas t’appeler » PHILOCHOU »
– Je fais équipe avec mon voisin SANTA CRUZ un facteur retraité… un espagnol originaire de Tarbes comme Henri Genes son idole…!
Alors il m’a dit « Oh hé le muchacho…. Viens avec moi on va leur porter le courrier…. tu seras mon comparse… nous leur ferons découvrir la culture et le rêve contenu dans le timbre poste »
– Allez ..MOTEUR … ACTION … Vas y Muchacho appuie sur ce bouton pour envoyer le générique
– Philochou….. C’est moi de mon vrai nom Philippe ATHELISTE … Mes copains m’appelle Phil…ATHELISTE |
Musique d’ambiance |
Musique d’ambiance
SANTA CRUZ ET PHILOCHOU VOUS FONT REDÉCOUVRIR UNE SÉRIE SUR LES PORTRAITS DE FEMMES
Les 12 visuels des timbres représentent des portraits de femmes dans la peinture :
MARIE LAURENCIN
Paris 31 octobre 1883 – 8 juin 1956
Au début du siècle dernier, l’art de Marie Laurencin se perd dans l’ombre de son chevalier servant Guillaume Apollinaire comme se perdit Camille Claudel dans celui d’Auguste Rodin au point de ne plus savoir qui elle était.
Dans ce monde de peintres masculins et d’hommes de Lettres, Marie Laurencin trouve sa place et ce n’est pas une mince affaire pour cette jeune fille née de père inconnu.
La femme doit se battre bec et ongles pour trouver une place honorable dans le monde des arts et des Lettres où certaines d’entre elles ont essuyé des échecs.
On a sévèrement dit que son seul mérite est d’avoir été le témoin des grands artistes cubistes et d’avant garde comme Picasso et Georges Braque et qu’elle avait seulement gagné l’accès à ce groupe grâce aux faveurs accordées par Guillaume Apollinaire.
C’est faux! Marie Laurencin a commencé à peindre en 1902, cinq ans avant sa rencontre avec Picasso et Apollinaire, tordant ainsi le cou aux appréciations calomnieuses qui annonçaient ses débuts de peintre en 1908 année de sa rencontre avec Apollinaire et Picasso et illustrée par son tableau le plus connu » Apollinaire et ses amis »
Picasso lui fait connaître Guillaume Apollinaire. De cette rencontre, naîtra une liaison aussi passionnée que tumultueuse qui durera jusqu’en 1912.
En 1914 elle épouse le baron Otto von Wätjen, qu’elle a rencontré l’année précédente. Le couple s’exile en Espagne dès la déclaration de guerre d’abord à Madrid puis à Barcelone
Elle revient à Paris en 1920.
Elle noue des liens profonds et féconds avec de nombreux écrivains pour lesquels elle illustre certaines oeuvres : Gide, Max Jacob, Saint-John Perse, Marcel Jouhandeau, Jean Paulhan, Lewis Carroll et bien d’autres.
Devenue portraitiste officielle du milieu mondain féminin (Nicole Groult, Coco Chanel) après 1920, Marie Laurencin s’illustre encore comme décoratrice pour l’opera, les ballets et le théâtre
Sa technique
Les portraits de Laurencin se caractérisent aussi par une grande finesse et beaucoup d’élégance, avec un port de tête impeccable, et une impression de grace presque éthérée.
Les aléas de sa vie et surtout son amour pour Apollinaire, se lisent dans ses toiles.
Exilée en Espagne durant la première guerre mondiale, son travail de la période respire la tristesse et une certaine léthargie. Il reste, des tableaux de Marie Laurencin, une impression persistante de visages féminins, une carnation de porcelaine, des airs de femmes-enfants, comme des poupées dociles, et ces yeux noirs profonds.
Eh…. nous avons aussi de la vidéo
Caramba…. c’est CHOUETTE
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RETRO: C’est du même tabac…..
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