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Après l’expérience mystique de Saint Paul, nos apparitions ne doivent plus apparaître comme farfelues…!

MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC se pose la question:

« Sommes nous seuls…. »    pour y répondre il nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance

Certains d’entre nous ont des apparitions …. les hôpitaux psychiatriques ne seraient donc pas faits que pour les fous…!

Après l’expérience mystique de Saint Paul, nos apparitions ne doivent plus apparaître comme farfelues…! Voici pourquoi.

Qui était saint Paul et qu’a-t-il vécu d’extraordinaire?

St.Paul par Philippe de Champaigne  Extraits de l’interview du Père François BRUNE
à la revue Inexploré à propos de son livre: »Saint Paul témoignage mystique » éditions OXUS, 2003  -19€ « 

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Conversion de Paul – Paul Rubens

Saint Paul est quelqu’un d’extraordinaire, qui a marqué toute la civilisation occidentale et dont l’existence historique est parfaitement avérée.
Il a rencontré le Christ au cours d’une expérience mystique. Avant cela, c’est d’abord un juif convaincu, prêt à utiliser les grands moyens pour combattre ceux qui apportent des nouveautés en matière de culte à l’époque, les chrétiens.
Il obtient des autorités de Jérusalem la mission d’aller chercher des chrétiens à Antioche et de les ramener afin de les châtier sévèrement.
Mais voilà, sur le chemin de Damas, il va vivre une expérience absolument extraordinaire qui va le convertir et lui faire comprendre que le Christ qu’il combat est précisément celui qu’il cherche.

Durant cette expérience, il devient aveugle et ne retrouvera la vue que plusieurs jours plus tard. C’est extrêmement bref On sait tout de même que cette expérience transforme complètement sa vie.
Après cette « rencontre », il ne va pas du tout essayer de se rapprocher des apôtres, ceux qui ont vraiment connu le Christ. Au contraire, il se retire dans le désert pendant … trois ans. Trois ans, c’est long! Et là, pratiquement seul, sans contact avec les premiers chrétiens, il va méditer et vivre d’autres expériences mystiques auxquelles il fera allusion ensuite. Il va revoir le Christ.

Avec le christ et les apôtres … comme si j’y étais

 L'institution de la sainte Eucharistie

L’institution de la sainte Eucharistie
Dieric Bouts (1420-1475)
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Il a vu un certain nombre de scènes de la vie du Christ et notamment l’institution de l’Eucharistie.
Il en parle comme s’il avait été présent.
À l’issue de cette période, il revient à Jérusalem et rencontre saint Pierre, saint Jacques, et leur fait part de son expérience de contacts mystiques avec le Christ.
Il donne des détails. Il parle d’expériences vécues dans une sorte d’au-delà, hors de son corps en grande partie.

 

LE CHOURISTE

– « Le mystique peut connaître ce type d’expérience tout en restant dans son corps de chair. C’est le corps spirituel qui fait cette expérience. »
Saint Paul n’a pas de peine à faire le récit de ses « rencontres» avec le Christ, et ceux qui ont vraiment côtoyé le Christ authentifient ce qu’il rapporte.
Oui, ce que rapporte saint Paul est ce qu’ils ont vécu.
C’est extraordinaire……

Est-ce vraiment une expérience vécue « réellement..?

Oui, bien sûr. Comme chez tous les mystiques,  il ne s’agit pas d’illusions, de fantasmes.
Maintenant, il faut faire une distinction, et ce n’est pas toujours facile, entre vision et apparition. Dans une vision du Christ disons  ou de la Vierge, on ne voit plus que le Christ, ou la Vierge, tout l’environnement est dans la lumière, on ne le perçoit plus.

Dans une apparition, on continue à voir le monde  extérieur qui nous entoure.
C’est là où saint Paul a un rôle extraordinaire:
Il est le premier de tous les mystiques dont l’expérience est authentifiée par les témoins oculaires, par ceux qui ont vécu avec le Christ, qui ont vu, qui ont vécu les événements décrits par saint Paul.
Lui qui n’y était pas mais a obtenu ces détails lors de contacts surnaturels avec le Christ, ouvre la porte à toutes les expériences mystiques qui vont survenir après lui, et qui ainsi n’apparaîtront plus comme farfelues. On sait que c’est possible avec saint Paul, pourquoi cela ne le serait-il pas pour d’autres?

 C’est encore aujourd’hui beaucoup plus fréquent qu’on ne l’imagine

LE CHOURISTE-« Oui, bien sûr…!
Mais alors, les hôpitaux psychiatriques ne sont-ils pas pleins de gens qui sont en contact avec Dieu ou le Christ?

Très bonne question! Lorsque l’on connaît le domaine du paranormal, on doit effectivement bien se douter qu’un certain nombre de gens, non pas « victimes », mais « sujets» de phénomènes paranormaux se retrouvent internés …

– « CHOU BLANC…! On réserve ta place tout de suite ou tu attends ta prochaine apparition…!
 »

IL L’A DIT DANS SON LIVRE

Ça ne doit pas être évident de vivre ces contacts ? Dans votre livre, vous citez le cas d’André Levet … Qui était-il ?

Il était de Laval. Sa vie n’était pas très exemplaire, et il était non croyant.
Une attaque de banque lui a valu, si ma mémoire est bonne, une condamnation à 17 ans de prison.
Le curé de sa paroisse lui a fait parvenir un évangile, mais il n’a pas dû l’ouvrir plus de deux ou trois fois. Et puis, un soir où il est particulièrement désespéré dans sa solitude, il s’adresse au Christ comme pour un défi en lui disant:
« Si vraiment tu existes comme on le raconte dans ton bouquin, eh bien, écoute, viens me voir, disons à 2 heures cette nuit, les gardiens seront endormis, on sera tranquilles … »
La soirée passe et bientôt, il a complètement oublié le rendez-vous.
Voilà que, vers 2 heures du matin, il est secoué, et entend une voix qui lui dit :
« André, tu m’as donné rendez-vous à 2 heures, je suis là. »
Il croit à la blague d’un gardien, se précipite vers la porte, tambourine, engueule le gardien qui n’y comprend strictement rien, et puis voilà que la voix retentit à nouveau.
André fait une distinction d’ailleurs:
la première fois, la voix avait retenti dans sa tête, alors que maintenant, il la perçoit carrément dans l’espace de sa cellule.
Peu à peu, apparaît le Christ vêtu d’une grande tunique blanche, qui lui montre les plaies de ses mains et de son côté en lui disant, au présent:
« C’est pour toi aussi. »
Une immense lumière  remplit bientôt la cellule, André ne voit plus les murs, il ne voit plus les barreaux de la prison, il n’y a plus que cette lumière et le Christ.
Alors, André tombe à genoux. Il expliquera plus tard:
« Pour La première fois de ma vie, quelqu’un voulait m’aimer. »
Comme pour saint Paul….
C’est très près du récit de saint Paul…!
SOURCES:  http://inrees.com/

– Je vous l’avais déjà dit ce CHOU BLANC, il va nous rendre dingue


RETRO : C’est du même tabac…..retour sur la rubrique du même tabac

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CONTE PROVENÇAL : LE PETIT JEANNOT


– Ce mercredi  je vous confie à Taty MARIA
elle raconte aussi bien que moi les personnages de la crèche… elle l’a déjà fait l’autre jour avec LE RAVI et LE CAGANER…
Aprés tout Noël est pas si loin….. surtout que son ami vient à ses cotés raconter un conte provençal…!

A bientôt dans MAMY RACONTE ….

CRÈCHE : Savez vous qui est le Ravi…?

CRÉCHE : Le Caganer



BLOG NOTE
DE
MARIA AVE

Curieuse de nature et forte de ses recherches sur le sujet
Mme AVE nous a proposé un rubrique crèche pour Noël….
C’est une première pour elle comme pour nous …
Ainsi soit il

La crèche, quelle origine…?

Selon l’évangile de Luc, Marie a déposé l’enfant Jésus dans la mangeoire d’une étable où Joseph et elle avaient trouvé refuge. Le mot crèche désigne aujourd’hui toute représentation de la Nativité.

L'Adoration des bergers, 1622, Gerard van Honthorst - Wallraf-Richartz-MuseumC’est au VIe siècle que l’on situe la première célébration de la nuit de Noël dans l’église de Sainte Marie à Rome, avec des statues de la Vierge Marie, de Joseph, de l’âne et du bœuf.

Selon la légende, François d’Assise « inventa » au 13e siècle la crèche vivante dans une grotte de Greccio en Italie, où les frères mineurs avaient établi un ermitage.

Joseph, la Vierge Marie, les mages, les bergers, et les paysans étaient joués par les gens du village.

Les animaux aussi étaient réels. François prêcha, durant la messe de Noël, et on le vit se pencher vers la crèche et prendre un enfant dans ses bras.
Plus tard, on plaça un enfant dans la mangeoire.
Petit à petit, la coutume s’est répandue, surtout en Provence et en Italie.

Les premières crèches « en modèles réduits » firent leur apparition dans les églises au XVI siècle.
A la fin du XIXe siècle apparaissent les santons (de santouns : petits saints) façonnés dans l’argile, originaires de Provence.
Ces figurines représentent tous les petits métiers traditionnels.
Les habitants du villages ainsi représentés apportent le fruit de leur labeur à l’Enfant Jésus. Ces figurines sont venus enrichir le décorum de la crèche traditionnelle

Parmi nos amis communs, il en est un que Maria veut vous présenter…!

C’est Jean Lambert, un conteur
provençal  qui vous raconte un conte de Noël :

LE PETIT JEANNOT

Merci PAPY LAMBERT pour ce très joli conte,
tu l’as très bien raconté, avec une jolie voix et avé l’accent…!


Cette histoire me montre que je ne dois plus avoir peur de nos amis les loups..!

SOURCE :

wikipédia – croire la croix .com – Provence TV.fr

LA PASSION DES SANTONS

Place à une grande dame chez les santonniers
Sylvie FOULQUIER de MARANS …..

Dieu souffla un jour sur la glaise…
La même qui sous les doigts de Sylvie prend vie et se transforme en tout un petit monde qui sent bon notre enfance
NOTRE JEUNESSE ….

Mme MARIA AVE

                                             

 

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EN PASSANT : Rue de l’Abbé Grégoire


2 décembre :
Journée internationale pour l’abolition de l’esclavage
On estime aujourd’hui qu’environ 50 millions de personnes sont victimes de l’esclavage moderne, dont 28 millions du travail forcé et 22 millions du mariage forcé.
Hommage à un grand acteur de la lutte contre l’esclavage:
L’ABBÉ GRÉGOIRE

Blog note de
Papy Larue

Quand notre nouveau pote M LARUE nous a proposé une série sur les noms de rues pour éduquer nos potes âgés et leurs choupinets..
On s’est dit :
« Avec un nom comme le sien…. il est né pour ça..! » personne n’a osé le mettre à la rue car il y était déjà .. En plein reportage dans la rue du 4 septembre

Combien de matelots combien de capitaines
GPS en main égrainent des noms de rues sans savoir de quoi ou de qui ils parlent…! Et restent penauds dans leurs gouffres amers.

Aidons les à savoir qui sont ces personnages ….
Car celui qui a donné son nom à une rue parle encore comme Tristan Bernard:
Donner son nom à une rue ou à une route, quel puissant stimulant pour encourager les jeunes gens à bien faire !
De Tristan Bernard / Compagnon du Tour de France – 1935


Aujourd’hui les rues de
L’ABBÉ GRÉGOIRE

 Abbé Grégoire (1750 – 1831) député de la convention, Chrétien et révolutionnaire.

« il est l’ami des hommes de toutes les couleurs »

Le 19 février 1788, avec quelques nobles libéraux comme les marquis de Mirabeau, de Lafayette et de Condorcet, il fonde la « Société des Amis des Noirs ».
Il fait voter en 1794 l’abolition de l’esclavage  et se penche sur les patois et dialectes en vue d’établir la suprématie définitive du français, défini comme langue de la liberté et de la démocratie. Il sera un des premiers défenseurs du patrimoine.

Pierre-Joseph-Célestin François, Portrait de l’Abbé Grégoire, 1800, Nancy, Palais des ducs de LorraineSa vie

Henri Grégoire est le fils d’un paysan lorrain. Ayant montré des dispositions pour les études, il est éduqué au collège jésuite de Nancy, ordonné prêtre en 1776 et nommé curé à Embermesnil, en Lorraine.

Déjà quadragénaire quand éclate la Révolution, il va révéler une générosité sans égale au service de causes inédites, de l’instruction pour tous à l’émancipation des juifs en passant par l’abolition de l’esclavage.

Un homme de convictions

Très ouvert aux idées généreuses des « Lumières », l’abbé publie en 1788 un Essai sur la régénération physique, morale et politique des juifs.
La même année , avec quelques nobles libéraux comme les marquis de Mirabeau, de Lafayette et de Condorcet, il fonde la « Société des Amis des Noirs ».

Député du clergé aux états généraux en 1789, l’abbé est l’un des premiers à voter la réunion du bas-clergé au tiers-état.

Il fait voter la Constitution civile du clergé (1790) puis l’égalité des droits civils pour les juifs (1791). Il siègera à la Convention, dans les rangs de la Montagne (la gauche révolutionnaire).

Son action réformatrice ne faiblit pas. C’est ainsi qu’il fait voter l’abolition de l’esclavage (1794) et se penche sur les patois et dialectes en vue d’établir la suprématie définitive du français, défini comme langue de la liberté et de la démocratie.

Absent lors du procès de Louis XVI en 1793, Grégoire se prononce pour sa condamnation tout en réclamant l’abolition de la peine capitale.

À la signature du Concordat, il se range dans l’opposition libérale sous l’Empire et sous la Restauration.

Sa plume ne chôme pas
Il publiera sans trêve de nombreux traités, en particulier contre le racisme et l’image négative accolée aux Noirs.


Ainsi publie-t-il en 1808 un traité :

De la littérature des nègres, dans lequel il soutient que les premiers pharaons étaient Nubiens et qu’en conséquence, les Noirs pouvaient être regardés comme à l’origine de la civilisation égyptienne et pourquoi pas ? de toutes les civilisations occidentales.


À sa mort, il est interdit de sépulture chrétienne en raison de ses engagements passés. Ses funérailles n’en sont pas moins l’occasion d’une grande manifestation populaire, jusqu’à réunir vingt mille personnes.

Le défenseur du patrimoine

ll fut un temps où souverains et gens d’Église rasaient sans état d’âme les anciens édifices pour en ériger de nouveaux, plus à leur goût. Songeons que bien des cathédrales gothiques ont ainsi remplacé un édifice roman antérieur, ce dernier ayant lui-même pris la place d’un culte païen dont on avait voulu effacer la trace.

De fait, l’Ancien Régime et le Moyen Âge ne concevaient pas le patrimoine comme un bien à conserver mais comme un outil.
Beaucoup de monuments  devenus inutiles ont ainsi servi de carrières de pierre pour les nouvelles générations.

Il semble que l’une des premières personnes à s’en émouvoir fut le peintre Raphaël. En 1519, dans une lettre au pape Léon X, il supplie celui-ci de mettre fin au pillage des témoignages hérités de la Rome antique.

Le patrimoine, héritage commun de la Nation

Il faut attendre la Révolution française pour voir s’opérer un changement radical, avec la confiscation des biens de l’Église, puis de ceux des nobles émigrés.
La Nation naissante se voit donc confier une nouvelle tâche, consistant à recenser et à préserver son patrimoine.

L'abbé Henri Grégoire, ami des hommes de toutes les couleurs (musée des Beaux-Arts de Besançon) C’est à cette époque que naît la notion de patrimoine et de monuments historiques.

On doit à l’abbé Grégoire l’invention du mot vandalisme, en référence à des Barbares qui saccagèrent Rome en 455.
Il emploie ce mot dans un rapport adressé à la Convention le 11 janvier 1794 où il dénonce les destructions intempestives de monuments et d’oeuvres d’art par les armées républicaines.

À la nouvelle tâche (de protection) va s’opposer une envie presque irrésistible des révolutionnaires :
Faire disparaître les traces de la monarchie et de l’Ancien Régime.

Face à cette volonté populaire de destruction, le nouveau pouvoir va tenter malgré tout de mener à bien sa nouvelle mission, en instituant, dès 1790, la Commission des Monuments.

C’est donc avec lui qu’a émergé le concept de protection du patrimoine.

 

SOURCES:

https://www.herodote.net/Abbe_Gregoire_1750_1831_-synthese-413.php  – Article de : Fabienne Manière


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LADINDE : Elle digère mal Thanksgiving

dinde BLOC NOTE LADY LADINDE     Bloc note
de LADY LADINDE

«  Et si je ne voulais pas mourir idiote »

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote… Aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire, je vais vous en faire part…. De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique  » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

« Les hommes doués d’intelligence ont une soif d’éducation semblable à la soif de pluie qu’éprouve un champ de culture... » Je te dis pas…! pour les femmes … c’est encore pire

AUJOURD’HUI LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR THANKSGIVING:

dinde – Je vous dis pas..! Ces amerlock,  ils en veulent à mon espèce….
ils anticipent noël ..! Déjà qu’on stresse toutes depuis des mois, savoir que les copines se font déjà zigouillées ça vous gèle les pilons…
En plus et je suis pas sûre qu’ils sachent bien cuisiner….

– AH ET POURQUOI..?

– Ben y’a qu’a voir leur président, visiblement c’est trop cuit … limite carbonisé….

– Là tu as tout faux…. écoute un peu pour une fois..
Thanksgiving, est célébré aux États-Unis,  le quatrième jeudi de novembre donc aujourd’hui. Ce jour là, la dinde figure au menu !

C’est aussi une journée mise sous le signe du partage et de la solidarité puisque de nombreux dons aux associations caritatives sont faits à cette occasion.
La tradition veut que des repas de fête soient cuisinés et distribués aux pauvres durant cette journée.

log lady grande pompeL’origine de cette fête aux Etats-Unis

Thanksgiving trouve sa source dans le débarquement des pèlerins en Nouvelle Angleterre.
En 1620, des pèlerins  séparatistes  fuirent, à bord du Mayflower, le régime imposé par l’Eglise d’Angleterre. Ces derniers fondèrent en décembre 1620 la colonie anglaise de Plymouth (Massachusetts), du nom du port qu’ils avaient quitté.

L’hiver qui fut très rude engendra une perte de la moitié des 110 émigrants. Progressivement, les nouveaux habitants créèrent des liens avec les Indiens Wampanoags

Le Premier Thanksgiving dans le Massachusetts en 1621, par Jean Leon Gerome Ferris, v. 1912.

Les Wampanoags enseignèrent leur savoir aux pèlerins : plantation du maïs, pratique de la pêche, ce qui leur permis d’avoir une bonne récolte l’automne suivant.
En guise de remerciement et pour célébrer les bonnes récoltes, le gouverneur William Bradford convia les Indiens à un repas festif, qui est considéré comme étant le premier thanksgiving.

logo dindon grande pompeVers la fête nationale

Peu après la guerre d’indépendance (1775-1783) ThanksGiving est décrétée officiellement par le jeune gouvernement des Etats-Unis. Dans son discours datant du 3 octobre 1789, George Washington proclame le premier jour d’action de grâce et le fixe au jeudi 26 novembre 1789. Il invite les habitants à exprimer leur gratitude suite à l’indépendance des Etats-Unis et à remercier dieu.

Une fête majeure

De nos jours, la fête de Thanksgiving est aussi importante que Noël aux Etats-Unis et fait l’objet d’un repas familial comprenant dinde, pommes de terre et tarte au potiron.
cette fête de Thanksgiving est une véritable institution.

Comme nous l’avons vu à l’origine  les pèlerins européens ont ainsi célébré leur première récolte obtenue grâce à l’aide des Indiens, cette fête est à l’heure actuelle l’occasion de se réunir en famille et de rendre grâce pour tous les bienfaits observés dans l’année. C’est tout à la fois une fête nationale chômée, une fête religieuse où l’on rend grâce à Dieu, et dans le même temps une fête qui annonce la période commerciale la plus active de l’année.
En effet, dès le lendemain de Thanksgiving commencent, aux Etats-Unis, les achats de Noël.

dindeLa dinde à l’honneur
quelle horreur..!

Le repas typique de Thanksgiving se compose généralement d’une dinde rôtie farcie, de purée de pommes de terre ou de patates douces, de maïs, de sauce aux « cranberries » (l’équivalent américain de la canneberge), de pois verts ou autres légumes.
Le dessert fait la part belle aux ingrédients de saison puisque sont généralement présentées des tartes aux pommes, des tartes à la citrouille (« pumpkin pie ») ou encore des tartes aux noix de pécan.

Si la dinde symbolise à elle seule le repas de Thanksgiving, c’est tout simplement parce que cet animal est originaire du nouveau monde et que les premiers colons n’en avaient donc jamais vu avant d’arriver en Amérique.

Son succès fut tel que la dinde arriva rapidement en Europe où elle supplanta même, pour les réveillons, l’oie traditionnelle.

dinde LADY LADINDE      

 retour sur la rubrique du même tabac“La vieille ne voulait pas mourir car elle en apprenait tous les jours

RETRO : C’est du même tabac…..

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