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BLOC NOTE
DES ILLUMINÉS
Là où la PSI cause….
Ne dites pas à mes proches que je suis médium … Ils me tolèrent à peine comme magnétiseuse…
Mais vous…? Quel est votre forme de médiumnité…?
Avez vous fait une petite place au 6 ème sens..?
Il est grand temps de s’informer …. Adoptez le …
Avant qu’il s’impose à vous dans la douleur..!
VOUS ÉCLAIRER SUR TOUTES LES FORMES DE MÉDIUMNITÉ….
C’EST LE BUT DE CETTE SÉRIE… PAS COMME LES AUTRES
« Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito »
Albert Einstein
Que désigne le PSI ? Si l’on devait faire court, nous pourrions dire que « Le Psi » désigne toutes les facultés psychiques de l’être humain. La télépathie et la télékinésie, aussi nommées télépsychie et psychokinésie, ainsi que la psychomancie et la précognition, sont les principales disciplines regroupées sous le nom de « PSI ». Actuellement, et surtout historiquement, l’étude du PSI se nomme parapsychologie. L’opinion générale associe souvent les facultés PSI au paranormal. C’est une erreur qui s’explique par la méconnaissance de ce que sont réellement les facultés PSI. Comme vous allez le voir ci-dessous, tout cela n’a rien de paranormal Aujourd’hui: LES SYNCHRONICITÉS N°2« Il n’ y a pas de hasard , il n’y a que des rendez-vous « ( Paul Eluard ) On a tous vécu un jour de ces coïncidences qui « tombent vraiment bien » et que le psychiatre suisse Carl Gustav Jung appelle des « synchronicités ». Être réceptifs à ces événements hasardeux, liés par le sens et non par la cause, nous permet d’affiner notre intuition. |
Certains cas de synchronicités paraissent animés par la nécessité d’un résultat, la puissance d’un désir (parfois inconscient, parfois extérieur) qui nous utiliserait comme intermédiaires, voire comme instruments en vue d’un objectif qui se révèle après coup.
En voici quelques exemples, empruntés pour la plupart à l’ouvrage remarquable que le psychothérapeute Erik Pigani consacre à tous ces phénomènes qui, souvent nous dépassent pour nous montrer le chemin•
L’insubmersible Peter Richley.
Au terme de dix ans d’errance, il s’est retrouvé marin sur le Mermaid, un navire anglais qui fait naufrage en 1820.
L’équipage est sauvé in extremis par un cargo, lequel sombre à son tour.
Peter Richley figure parmi les survivants recueillis à bord d’une goélette qui, deux jours plus tard, prend feu.
Le voici dérivant dans une chaloupe, secouru par un quatrième navire qui ne tarde pas à couler, lui aussi.
Un chalutier, le Jupiter, repêche l’increvable Peter….
Cinquième naufrage pour Peter.
L’unique rescapé du Mermaid, sur qui semble s’acharner une fatalité aussi obstinée que la chance qui l’épargne chaque fois, est treuillé à bord du City of Leeds, un paquebot qui fait route vers l’Australie.
Peter a pris soin de repérer le canot de sauvetage le plus proche de l’infirmerie où il se remet de blessures. Il prie pour que le « mauvais œil » se détourne enfin de lui.
Rappelons que Mermaid signifie « sirène ». Le matelot est désormais persuadé que le nom du navire a réveillé la malédiction de cette créature mythique, dont le chant fascine les marins
afin de causer leur naufrage …
Mais cette fois, le paquebot tient le coup. Le médecin qui soigne Peter est content de le voir reprendre des forces. Et il lui demande un service un peu
particulier :
– « J’ai une vieille dame à bord qui est à l’agonie, elle délire, elle n’arrête pas de me parler de son fils, de me le décrire, de me supplier de le lui amener.
Vous lui ressemblez un peu, ça ne vous ennuie pas de jouer son rôle ? Ça adoucirait ses derniers instants. Il s’appelle Peter. »
Le naufragé en série accepte, étonné par la coïncidence : il porte le même prénom. ..!
Tandis que le médecin le conduit au chevet de la mourante ,
il se documente, gentiment, pour être crédible. Il demande comment s’appelle la passagère.
« Sarah Richley » Le marin se fige dans la coursive…
La femme dont il doit faire semblant d’être le fils … C’est sa vraie mère.’ !
Personne n’oserait inventer une histoire pareille.
Mme Richley était sans nouvelles de son fils depuis dix ans. Elle le cherchait sur tous les continents.
L’accident vasculaire à l’origine de son délire s’est produit juste avant le naufrage du Mermaid. « Dès que Peter s’approche de sa couchette, elle le reconnaît.
A en croire le journal de bord du médecin, elle murmure : « Tu as mis le temps. »
Deux jours plus tard, elle est sur pied.
Difficile de justifier rationnellement le concours circonstances organisé autour de ces deux êtres, ils en furent victimes autant que bénéficiaires.
Le désir obsessionnel d’une mère en état de conscience modifié – revoir à toute force son fils avant de mourir – a-t-il pu avoir une incidence sur les cinq naufrages et sauvetages successifs qui ont amené Peter, au mépris de toutes les probabilités, à bord du City of Leeds.. ?
Je n’ai pas la réponse, mais la question méritait d’être posée.
C’est le peintre Raymond Moretti, fin connaisseur des synchronicités, qui, en 1986, m’a raconté l’impossible aventure de Peter Richley. Et il a eu cette conclusion étonnante, visiblement fondée sur l’expérience :
« Tu vois, ce que je trouve encore plus extraordinaire, c’est quand parfois il t’arrive des trucs aussi énormes, et c’est au service de rien. »
Je lui ai demandé comment il justifiait, alors, ces concours de circonstances purement gratuits. Raymond a eu un plissement de paupières assorti d’une petite moue entendue :
« C’est juste l’univers qui te montre comment il fonctionne. »
SOURCE : https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/hasard-rendez-vous-paul-eluard https://histoiredintuition.com/ – Isabelle FONTAINE Le nouveau dictionnaire de l’impossible : Didier VAN CAUWELAERT https://amzn.to/2GUnYJK |
« Bien heureux les fêlés ….
Car ils laissent passer la lumière » (M Audiard)