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BIODIVERSITE : EPEIRE DIADEME …L’araignée des jardins

Anti-parasites
MACHA LABEILLE
De retour de Montréal MACHA veut voler de ses propres ailes au secours de la biodiversité..!

Nous lui ouvrons  nos colonnes pour :

UN FILM ANIMALIER

  L’ARAIGNÉE DES JARDINS

MACHA PROPOSE AVEC PAPY VIDÉO UN FILM ANIMALIER  COMME A LA TÉLÉ

– PAPY VIDÉO VOUS DIT :
C’EST EXCEPTIONNEL NE LE RATEZ PAS
Pensez à mettre grand écran (carré à flèches angle droit)

MACHA PROPOSE UNE REDIFFUSION  SUR L’ARAIGNÉE DES JARDINS

ÉPEIRE DIADÈME …L’araignée des jardins

Photo chou blanc pour la chouette

Araneus diadematus, l’Épeire diadème, est une espèce d’araignées aranéomorphes de la famille des Araneidae. Elle est parfois appelée « Araignée des jardins » ou Araignée porte-croix.

Elle est facilement reconnaissable au dessin en forme de croix, de couleur claire, que l’on trouve sur son abdomen, qui lui est de couleur brune. La partie la plus large de l’abdomen se trouve dans le tiers supérieur.

Les deux sexes de l’espèce
ont un aspect assez différent, principalement au niveau de la taille (dimorphisme sexuel). Ainsi, les individus mâles font moins d’un centimètre alors que les femelles peuvent atteindre deux centimètres et ont un abdomen plus volumineux, de forme arrondie.

Une autre de ses particularités est la création de toiles de dimensions très importantes par rapport à sa propre taille, puisqu’elles peuvent atteindre exceptionnellement un mètre. La toile est refaite tous les jours : l’épeire ne répare pas sa toile et la recommence tous les matins

Elle peut mordre la peau humaine aux endroits où celle-ci est fine, mais son venin n’est guère différent d’une piqûre de moustique. Attention parfois l’intensité de la morsure peut atteindre celle d’une piqûre de guêpe.

La flèche indique l’épigyne bien visible, de grande taille chez cette espèce, sur la face ventrale de l’abdomen.

Du fait de sa taille réduite, le mâle doit faire extrêmement attention lorsqu’il souhaite approcher la femelle car elle risque de l’attaquer et de le dévorer comme n’importe quelle autre proie. La femelle est réceptive 3 ou 4 jours dans sa vie. Jusqu’à 60 mâles différents peuvent défiler, jour après jour sur une même toile.

Elle se reproduit l’hiver.
Une fois fécondée, la femelle dépose ses œufs dans un cocon protecteur avant de se laisser tomber pour mourir d’épuisement. À l’éclosion de l’œuf, la jeune épeire a déjà toutes les caractéristiques d’un adulte, en dehors de la taille et des organes génitaux.

Après s’être abondamment nourrit d’insectes pendant la belle saison, la femelle d’Épeire diadème transporte un abdomen particulièrement rebondi.

L’automne venu, il est temps de pondre.
La femelle dépose alors ses œufs au sein d’un cocon tissé de fils de soie collants et qui adhèrent fortement aux tiges, feuilles persistantes et autres pièces de bois des buissons et massifs tels que les bordures de buis nains

Aux premières chaleurs du printemps, les jeunes araignées minuscules éclosent et se rassemblent les unes contre les autres au sein d’un nid constitué de fils de soie entrecroisés. Elles restent groupées à la surface des buissons pendant environ 8 jours puis prennent leur indépendance
(voir : Epeire dispersion.mov, http://www.youtube.com/watch?v=mXhSuAJhEpM ).

Ce comportement grégaire obéit à des relations de contact très fortes entre les individus. Cependant, une perturbation mécanique provoquée par une brindille crée un stress collectif et une dispersion aléatoire provisoire des individus qui regagnent finalement leur nid en quelques minutes.

Sources: WIPEDIA et YOUTUBE

LE SAVIEZ VOUS ?
Dans un album de Tintin, L’Étoile mystérieuse, le professeur Calys découvre une épeire diadème sur sa lunette d’observation, et pense qu’il s’agit d’une comète monstrueuse (page 4).


Santé animaux
MACHA LABEILLE

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