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LIVRES: Le climat par les chiffres

 


BLOC NOTE LITTÉRAIRE

par Chou Blanc

«  DÉFENSE DES HOMMES »

LE CHOURISTECHRISTIAN GÉRONDEAU
GIEC: 30 ans de mensonges

 Les chiffres démontrent que le réchauffement n’est pas uniquement du à l’action de l’homme contrairement à ce que l’on veut nous faire croire.
Entrons en résistance contre la religion écologique.

 

Christian Gerondeau est ingénieur polytechnicien et auteur de plusieurs ouvrages sur les questions environnementales. Il s’attache à lire TOUS les textes produits par le GIEC depuis sa création.

Le 9 août, le groupe de travail n°1 du GIEC a publié dans le cadre du 6ème rapport de l’organisme un document de près de 2 000 pages, dont il est précisé qu’il a été rédigé par 751 auteurs émanant de 66 pays, qu’il cite plus de 14.000 références et a pris en compte 78.007 commentaires de gouvernements et d’experts.
Un tel ensemble est évidemment illisible par quiconque.

C’est pour remédier à cette lacune qu’a été écrit le présent opuscule dans le but de mettre à la portée de tous les quelques chiffres nécessaires pour pouvoir appréhender le domaine du climat. La tâche pourrait paraître impossible, mais elle ne l’est pas et après en avoir lu ce très court recueil, il devient possible à chacun de se forger sa propre opinion sur les multiples aspects que comportent le domaine du climat et des actes conduits en son nom.

Les températures baissent depuis 2015

ILS L’ONT DIT SUR LE NET

Livre remarquable pour comprendre les échecs de la politique énergétique européenne et les conséquences sur une pauvreté grandissante des citoyens d’aujourd’hui, mais surtout à l’approche de 2035, année fatidique vers un impossible basculement vers l’usage exclusif de l’électricité.
Écrit par un brillant polytechnicien, ingénieur du corps des ponts et chaussée, ce petit livre hyper clair permet de réfléchir, sans aucun a priori, dans l’intérêt des gens simples, confrontés à essayer de boucler leur budget familial sans aucune dépense somptuaire.

Je croyais que le Giec étaient vraiment des « experts » !
Pas du tout, ce sont des représentants de gouvernement. Les rapports du Giec sont donc des documents d’orientation politique. Mais quel intérêt de répandre une panique injustifiée ? L’auteur ne répond pas. Peut-être garder une emprise sur les citoyens, peut-être les faire adhérer au capitalisme « vert »; c’est à dire au capitalisme tout court !

POUR L’OFFRIR :
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 Toujours intéressant de découvrir d’autres approches et se faire ainsi sa propre opinion! Ainsi on évite de se faire endoctriner par les Merdias qui ne donnent qu un seul et unique son de cloche.

SOURCE :
https://www.youtube.com/watch?v=HkuCBxIbZ_g&t=3s

Chou Blanc

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Les synchronicités ces coïncidences chargées de sens – N°1



BLOC NOTE
DES ILLUMINÉS

Là où la PSI cause….

Ne dites pas à mes proches que je suis médium … Ils me tolèrent à peine comme magnétiseuse…
Mais vous…? Quel est votre forme de médiumnité…?
Avez vous fait une petite place au 6 ème sens..?
Il est grand temps de s’informer …. Adoptez le …
Avant qu’il s’impose à vous dans la douleur..!
Le cerveau traite et comprend des données visuelles dont on pourrait ne jamais avoir conscience.
VOUS ÉCLAIRER SUR TOUTES LES FORMES DE MÉDIUMNITÉ….

C’EST LE BUT DE CETTE SÉRIE… PAS COMME LES AUTRES

Que désigne le PSI ?
Si l’on devait faire court, nous pourrions dire que « Le Psi » désigne toutes les facultés psychiques de l’être humain.

La télépathie et la télékinésie, aussi nommées télépsychie et psychokinésie, ainsi que la psychomancie et la précognition, sont les principales disciplines regroupées sous le nom de « PSI ».

Actuellement, et surtout historiquement, l’étude du psi se nomme parapsychologie.

L’opinion générale associe souvent les facultés PSI au paranormal. C’est une erreur qui s’explique par la méconnaissance de ce que sont réellement les facultés PSI.
Comme vous allez le voir ci-dessous, tout cela n’a rien de paranormal.
Aujourd’hui: LES SYNCHRONICITÉS« Il n’ y a pas de hasard , il n’y a que des rendez-vous «  ( Paul Eluard )
On a tous vécu un jour de ces coïncidences qui « tombent vraiment bien » et que le psychiatre suisse Carl Gustav Jung appelle des « synchronicités ».
Être réceptifs à ces événements hasardeux, liés par le sens et non par la cause, nous permet d’affiner notre intuition.

Synchronicités : Ces heureuses coïncidences qui nous connectent à notre intuition

(Tableau de Magritte)

Mystérieuses heureuses coïncidences… Elles se manifestent juste au bon moment, nous permettant « comme par magie » de débloquer une situation ou d’accéder à nos désirs.
C’est l’histoire d’untel, qui, dans un journal laissé dans un bus, tombe pile sur l’annonce du logement idéal,  ou d’un autre qui rencontre sur un chemin pris au hasard LA personne qu’il fallait pour faire avancer son projet, ou encore celle d’un dernier, qui, en plein questionnement intérieur rentre dans une librairie et tombe, dans un livre ouvert machinalement, exactement sur l’information dont il avait besoin pour avancer.

Une réponse à un besoin conscient ou inconscient 

Certains diront que c’est là l’expression du pur hasard, d’une probabilité statistique certes mince, mais relevant du possible. Ou bien d’un excès d’interprétation de l’esprit prompt à ramener à lui ce qui l’arrange. Oui, mais… D’autres cas de coïncidences troublantes, comme celle par exemple concernant l’acteur Anthony Hopkins et d’un livre retrouvé par « hasard » sur un banc public alors qu’il avait cherché ce livre en vain dans plusieurs librairies, laissent perplexes.
Pour le psychiatre suisse Carl Gustav Jung, ces « hasards nécessaires « ,  n’ont rien de fortuit. Au contraire, il voit dans ces des événements liés par le sens et non par la cause, une forme de réponse de l’univers à un besoin exprimé consciemment ou inconsciemment par la personne, et venant transcender l’espace et le temps.
Cette conception d’un hasard intelligent, porteur de sens, si elle est étrangère à nos esprits occidentaux, est beaucoup plus naturelle du côté de l’Orient, qui conçoit le hasard dans sa globalité, comme une loi de cause à effet.

Livre où es tu ? Anthony Hopkins la trouvé….

En 1973, le comédien Anthony Hopkins vient d’être engagé à Londres pour jouer dans l’adaptation de The Girl from Peirouka, le roman de l’écrivain britannique George Feifer.
Souhaitant s’imprégner du livre d’origine après avoir lu le scénario, l’acteur écume en vain librairies et solderies, toute une journée :
L’ouvrage est épuisé, introuvable. Renonçant à son désir, il se dirige vers le métro pour rentrer chez lui lorsqu’il découvre, posé en évidence sur un banc public, un vieil exemplaire tout usé du roman qu’il cherche depuis des heures. La coïncidence l’impressionne, mais les notes qui surchargent le texte le contrarient un peu. Un autre acteur aurait-il précédemment travaillé le rôle dans le texte original, comme il s’apprête à le faire ?
Heureusement, les gribouillis sont illisibles.
Un an plus tard, durant le tournage du film à Vienne, Anthony Hopkins rencontre pour la
première fois l’écrivain dont il est en train d’incarner le personnage. Il lui dit combien il regrette que son livre ne soit plus disponible à la vente et lui raconte le hasard bienveillant qui en a mis un exemplaire entre ses mains. « L’auteur m’a répondu que lui-même n’en avait pas un seul, raconte Hopkins, parce qu’il avait prêté son exemplaire personnel annoté à un ami. Finalement, le livre avait été volé dans une voiture. Il y tenait tellement qu’il avait même promis une récompense à qui le retrouverait. J’ai alors sorti l’exemplaire de mon sac …
C’était le sien…!!!! »

“Sans tomber dans la pensée magique, il est intéressant d’accueillir les synchronicités qui se présentent à nous !”

. Elles arrivent souvent par paquets, en général dans les moments clés de l’existence, de transformation, de transition, mais pas toujours.
Elles peuvent aussi être tout à fait anodines, à l’image de l’anecdote personnelle racontée ci-dessus. On reconnaît facilement les synchronicités car elles ont cette empreinte de sidération et résonnent profondément en nous. Il peut même arriver, en fonction de son système de croyances, qu’on se sente guidé, soutenu dans la réalisation de nos désirs, par une « force supérieure » ou « transcendante ».

Le surprenant rêve de Guy BEART

La même année, c’est un rêve qui oriente le chanteur Guy Béart vers ce type de parcours…
ces détours alambiqués par lesquels nous semblons servir de trait d’union entre un objet et son propriétaire.
A 3 heures du matin, il se lève brusquement au sortir d’un rêve où il écoutait son amie Louise de Vilmorin  Jouer au piano un très joli thème inédit.

«Je me suis empressé de le noter, car je voulais me l approprier tranquillement ». avoue avec malice l’auteur-compositeur, Mais tout de même saisi d’un scrupule compréhensible, il vérifie, avant de déposer. la, partition à la SACEM, qu’elle n’est pas le fruit d une réminiscence inconsciente. Bien lui en a pris :
Le dictionnaire des thèmes musicaux lui révèle que la mélodie de son rêve est une œuvre méconnue du XVIIIe siècle, écrite par Jean-Philippe Rameau.
Il ne se souvient  absolument pas de l’avoir entendue un Jour.
Ce qui l’étonne également, c’est la nature de l’instrument. Louise de Vilmorin, de son vivant avait toujours regretté de ne pas avoir appris le  piano. S’y est-elle mis, dans l’autre monde ?


Guy Béart appelle André, le frère de Louise, pour lui raconter ce rêve bizarre.
Silence au bout du fil.
Puis réaction, d’une voix un peu nouée :
« Guy … sais-tu qu’il y a un an, jour pour jour, que Louise est partie ? »
Non, il n’avait pas fait le lien. Aussitôt, il prend le signe au vol et rejoint André dans leur maison pour lui jouer la mélodie – ce cadeau que Louise paraît leur offrir pour marquer l’anniversaire de sa mort.
A son arrivée chez Vilmorin, comme il préfère la guitare au piano, Guy demande à André de lui apporter celle de Louise.
Elle est enfermée au fond d’un placard, depuis un an.
En ouvrant l’étui, ils restent abasourdis. « Toutes les cordes étaient entortillées comme des cheveux, car le sillet s’était décollé. C’est un accident extrêmement rare.
La guitare était morte, elle aussi »
Tout cet enchaînement de circonstances était-il destiné à faire réparer un instrument de musique cadeau d’anniversaire que se serait fait à elle-même Louise de Vilmorin, qui tenait tant à cette guitare?
Sans vouloir sous-estimer la force d’une telle anecdote, reconnaissons que tout ceci est bien troublant…!

Accueillez les synchronicités sans les juger

Dans tous les cas, les synchronicités sont en lien étroit avec l’intuition. Le plus on va accepter l’idée de synchronicités et ouvrir son esprit, le plus elles vont se manifester, et plus notre intuition va s’ouvrir. Et vice versa, le plus les synchronicités se manifestent dans votre existence, plus l’intuition se libère, s’ouvre.

Ainsi, lorsqu’une synchronicité survient :
– Ne la jugez pas, ne la dénigrez pas, surtout si elle concerne une chose anodine, n’essayez pas à tout prix de l’expliquer, de la faire rentrer dans une case.
– Recevez-la simplement, observez-la, ressentez en quoi elle résonne en vous.
– Goûtez le bien-être, le bonheur, la satisfaction et les émotions positives qu’elle vous apporte. Ne vous empêchez pas de savourer ce « cadeau ». Partagez-le, si vous avez envie, avec d’autres personnes de votre entourage.
– Remerciez. En fonction de votre système de croyance personnel, vous pouvez remercier la synchronicité elle-même, Dieu, l’Univers, les forces de la Nature, ou vous-même… La gratitude est une arme puissante d’ouverture spirituelle, en lien avec l’ouverture intuitive. 

Parfois, les synchronicités se font « malheureuses ». On parle alors de loi des séries. Il s’agit d’un mouvement identique, mais en quelque sorte inversé. Dans tous les cas, ces synchronicités font sens, à nous de ressentir lequel.

SOURCE :

https://histoiredintuition.com/   –
Isabelle FONTAINE
Le nouveau dictionnaire de l’impossible :
Didier VAN CAUWELAERT

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LA PSI CAUSE

 

« Bien heureux les fêlés ….
Car ils laissent passer la lumière
 »
(M Audiard)

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ALLEZ MAMY RACONTE : La Princesse au petit pois

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transformera, cet automne, en conteuse au bord du feu…. Préparez les buches….. conservez vos braises on va faire griller les châtaignes

Pour les autres ….??
Ben..! Rêvez…..! Vous sentirez très vite les odeurs de la grillade , la chaleur du feu de bois, vous entendrez l’écorce crépiter….. et vous verrez au milieu des flammes…. la fantasmagorie de l’imaginaire…
ça y est..
Vous tenez le soufflet bien en main….?
Oui.. ! Ok…! Alors allons y…!!!

AUJOURD’HUI C’EST :  La Princesse au petit pois

logo mamy turlututu smallMes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, se plaisait à me parler d’histoires qui m’aidaient à mieux me connaitre ou à découvrir le monde ..

je me rappelle du jour où elle m’a raconté :

La Princesse au petit pois … Cela m’a marquée je m’en rappelle encore

ÉCOUTEZ ….. Je vais vous raconter tout ça en vous résumant l’histoire.. puis en vous donnant le texte à lire … pour les grands qui savent ..!

– ALLEZ.. ACTION Mamy..!
Tu la lis .. tu la lis …!!!

 

– OUI OUI mon petit Jonas …
EN VOICI UN RÉSUMÉ
… :

 

La Princesse au petit pois

LE CHOURISTE
La Princesse au petit pois
 est un conte écrit par
Hans Christian Andersen,
Hans Christian Andersen,
( ) de Copenhague, est un romancier, dramaturge, conteur et poète danois, célèbre pour ses nouvelles et ses
« contes de fées »

Longtemps ignoré ou tourné en dérision dans son pays, où l’on a raillé son égocentrisme, il n’est reconnu tout d’abord qu’à l’étranger

Dans un lointain royaume, un prince est à la recherche d’une princesse parée des plus belles qualités pour l’épouser. Il voulait épouser ce qu’il appelle une « vraie princesse ». Bien qu’on lui présentât des princesses, aucune ne trouvait grâce à ses yeux, car aucune ne lui semblait être une « vraie princesse ».

Une nuit d’orage, une jeune femme trempée qui dit être une princesse se présente à la porte du château pour demander l’hospitalité. La reine, bien décidée à trouver une épouse digne de son fils, l’accueille et la fait dormir sur une pile de 20 matelas et de 20 édredons en plumes d’eider sous laquelle elle avait auparavant placé, à dessein, un petit pois. Le lendemain matin, lorsque la reine demande à la princesse si elle a bien dormi, celle-ci lui répond qu’elle a passé une nuit épouvantable, gênée qu’elle a été par la présence de quelque chose de si dur ,que son corps est couvert d’hématomes. Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d’une authentique princesse. Persuadé alors de sa délicatesse, le prince l’épouse et le petit pois devient une des pièces maîtresses du musée royal.

Bon on y va Mamy …
ou quoi ?

– Voilà…. Voilà…!

Il était une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une vraie princesse.
Il fit le tour de la Terre pour en trouver une mais il y avait toujours quelque chose qui clochait ; des princesses, il n’en manquait pas, mais étaient-elles de vraies princesses ?
C’était difficile à apprécier ; toujours une chose ou l’autre ne lui semblait pas parfaite.
Il rentra chez lui tout triste, il aurait tant voulu rencontrer une véritable princesse.
Un soir, par un temps affreux, éclairs et tonnerre, cascades de pluie que c’en était effrayant, on frappa à la porte de la ville et le vieux roi lui-même alla ouvrir.
C’était une princesse qui était là, dehors. Mais grands dieux ! de quoi avait-elle l’air dans cette pluie, par ce temps !
L’eau coulait de ses cheveux et de ses vêtements, entrait par la pointe de ses chaussures et ressortait par le talon… et elle prétendait être une véritable princesse !

« Nous allons bien voir ça », pensait la vieille reine, mais elle ne dit rien.

Elle alla dans la chambre à coucher, retira toute la literie et mit un petit pois au fond du lit ; elle prit ensuite vingt matelas qu’elle empila sur le petit pois et, par-dessus, elle mit encore vingt édredons en plumes d’eider.


– Papy… C’est quoi Papy des plumes d’eider….?

LE CHOURISTE

– L’Eider à duvet est une espèce de canards plongeurs marins

Le mâle a une calotte noire, une nuque verte, des joues blanc et vert. La poitrine rosée et le dos blanc contrastent particulièrement avec les flancs, le ventre, ainsi que le croupion et la queue qui sont noirs. Les ailes marient le noir et le blanc.

je disais donc  que c’est là-dessus que la princesse devait coucher cette nuit-là.
Au matin, on lui demanda comment elle avait dormi.

« Affreusement mal, répondit-elle, je n’ai presque pas fermé l’œil de la nuit. Dieu sait ce qu’il y avait dans ce lit. J’étais couchée sur quelque chose de si dur que j’en ai des bleus et des noirs sur tout le corps ! C’est terrible ! »

Et si on pensait aux petits aveugles
– Voilà du sonore comme à la radio…
et en entier dans le texte

logo mamy turlututu smallAlors ils reconnurent que c’était une vraie princesse puisque, à travers les vingt matelas et les vingt édredons en plumes d’eider, elle avait senti le petit pois.
Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d’une authentique princesse.
Le prince la prit donc pour femme, sûr maintenant d’avoir trouvé une vraie princesse, et le petit pois fut exposé dans le cabinet des trésors d’art, où l’on peut encore le voir si personne ne l’a emporté. Et ceci est une vraie histoire.


SOURCES : 
wikipedia –
  https://www.iletaitunehistoire.com/genres/contes-legendes

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
retour sur la rubrique du même tabac
RETRO : C’est une récap des histoires déjà racontées….

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Pandémie Covid-19: Grande manipulation

 


BLOC NOTE LITTÉRAIRE

par Chou Blanc

«  DÉFENSE DES HOMMES »

Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu


Pour Feuilleter

Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu
Broché
– Livre grand format,
2 novembre 2022



Le Professeur Christian Perronne a été pendant une décennie chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches.
Il est médecin, spécialiste des virus et professeur d’université.

 Ses deux best-sellers (Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? et Décidément, ILS n’ont toujours rien compris), ont créé la polémique.
Ancien expert auprès de l’OMS, le professeur Christian Perronne s’est vu reprocher sa position très critique sur la gestion de la crise sanitaire du Covid 19.
Celui qui n’a jamais été interdit d’exercer, ni radié par le Conseil de l’ordre des médecins, ni jugé coupable de diffamation par un tribunal, persiste et signe dans ce nouveau livre.
Il répond ici aux questions que tout le monde continue de se poser mais que les « autorités compétentes » laissent en suspens :
 Pourquoi le Covid-19 est-il si résistant ?
Les vaccins sont-ils tous aussi efficaces ?
Avec le recul, quel est le vrai bilan de la politique sanitaire en France ?
Pourquoi les polémiques ont-elles été aussi violentes ?
Comment se sont comportés pendant cette crise les laboratoires pharmaceutiques mondiaux ?
Sommes-nous condamnés à nous faire vacciner tous les 6 mois ?
… Et 27 autres questions sans réponse !

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Nantes: Christian Perronne à la rencontre de ses partisans
Auteur Alain Tranchant, pour France-Soir

TRIBUNE/RENCONTRE – Salle comble pour le professeur Perronne vendredi 5 mai au soir dans un établissement de la banlieue de Nantes, où il donnait une conférence à l’invitation de la librairie Dobrée ainsi que de plusieurs collectifs de soignants.
Et moment d’émotion quand, en prenant la parole, il salue sa sœur Catherine présente dans la salle, puis évoque la mémoire de son beau-frère décédé à Nantes lors de la première vague de Covid. « On a laissé crever mon beau-frère », avait-il dit à l’époque, puisque les traitements précoces ne lui avaient pas été appliqués.

Je n’ai pas assisté à un rassemblement de gens cagoulés..!!!

Complétant ce tableau préliminaire, j’ajouterai que je n’ai pas assisté à un rassemblement de gens cagoulés, venus à la nuit tombante ourdir je ne sais quel complot.
J’ai vu des femmes et des hommes paisibles, acquis bien sûr à la cause que le professeur Perronne a servie, lui réservant un tonnerre d’applaudissements à la fin de son propos.

« Apprenez à dire : non ! »

Que le pouvoir se rassure ! Je n’ai pas entendu parler de la prise de la moindre Bastille.
Et, quand le professeur Perronne a déclaré, avant de se prêter aux questions-réponses : « Apprenez à dire : non ! », des précédents historiques sont là pour lui donner raison.
J’ai hésité à donner à cet article un titre sibyllin : « 3 mois et 400 milliards… ». Tant il est vrai qu’à l’heure où la pandémie a tourné les talons (« ce sont aujourd’hui des grippettes, des bronchites, et on a tous les outils pour traiter »), il est désormais possible de mesurer, avec le recul donné par le temps qui passe, le poids des erreurs, et même des fautes, commises par nos gouvernants dans la gestion de ce qui a été « une épidémie réelle, mais pas une tragédie ».

Ce n’était « pas pire que la canicule »

Christian Perronne observe qu’au total, « la mortalité a été extrêmement faible dans tous les pays du monde, et n’a fait que diminuer avec le temps ». Ce n’était « pas pire que la canicule », et s’il y a eu une surmortalité, c’est pour les gens âgés, les personnes ayant des problèmes cardio-vasculaires, respiratoires.
Surtout, « si on avait traité, on aurait évité la plupart des morts », et « cela aurait été terminé en 3 mois », pour une simple raison : « Les traitements précoces avaient fait la preuve de leur efficacité ». L’étude de Raoult était « fantastique », son application à Garches en avait confirmé l’efficacité, à la seule condition de « donner très tôt » le protocole azithromycine – hydroxychloroquine.

 « donner très tôt » le protocole azithromycine – hydroxychloroquine.

Mais voilà ! Si l’on avait appliqué ces traitements – et, avant même l’arrivée de la pandémie en France, le gouvernement avait supprimé la chloroquine des médicaments en vente libre -, il n’était pas possible de faire la promotion d’un « vaccin » d’un genre vraiment nouveau, puisqu’il n’empêche ni d’attraper, ni de transmettre la maladie, ce qui devrait tout de même mettre la puce à l’oreille des détracteurs du professeur Perronne.

Il a donc fallu avoir recours à « une utilisation frauduleuse de la PCR », dont l’inventeur avait pourtant dit qu’il ne fallait jamais l’utiliser en population générale, pour « faire croire qu’il y avait des vagues énormes ».

« créé une épidémie de faux cas pour maintenir la peur »

On a ainsi « déclaré cas Covid des gens en parfaite santé » et « créé une épidémie de faux cas pour maintenir la peur », justifier les confinements de la population et légitimer le recours à un « vaccin » qui ne se justifiait pas, « étant donné la mortalité extrêmement faible ».

« Un vaccin, c’est 10 ans de développement, et on ne peut pas raccourcir à moins de 6 – 7 ans »

Fort de son expérience en matière de vaccination, et des hautes fonctions occupées dans ce domaine au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour la grande Europe, de l’Atlantique à Vladivostok, Christian Perronne avance tranquillement : « Un vaccin, c’est 10 ans de développement, et on ne peut pas raccourcir à moins de 6 – 7 ans ». Et, surtout, l’autorisation de mise sur le marché n’aurait jamais dû être donnée à ce produit qui est « toujours en phase expérimentale ».
Cela étant, « s’ils avaient reconnu que l’hydroxychloroquine, ça marchait, ils étaient cuits ! »

« On a mis en danger des femmes enceintes »

Le professeur l’affirme également : « On a mis en danger des femmes enceintes (pour lesquelles, normalement, un vaccin doit avoir 20 ans d’application), des enfants. Les obligations vaccinales – qui, étrangement, ne concernent pas les policiers- sont illégales, puisqu’il s’agit d’un produit expérimental », et « c’est assimilable à un crime contre l’humanité ».

Au total, la France aura dépensé « 400 milliards d’euros pour le Covid » (alors que le pouvoir est à la recherche de 12 à 13 milliards pour les retraites !), et cela « pour un pseudo vaccin toxique ». Comme il n’était pas possible de nier qu’il n’empêchait pas la transmission du virus, l’idée a été répandue qu’il protégeait des formes graves et de la mort.
Hélas ! il est apparu rapidement que « les gens vaccinés avaient plus de chances de faire des formes graves et de mourir » (4 fois plus suivant une étude parue en Angleterre).

« augmentation de 20 % de la mortalité », pour une cause inconnue !

Et, maintenant, les conséquences de l’application de ce produit expérimental apparaissent en toute clarté. Le journal Le Parisien faisait état récemment d’une « augmentation de 20 % de la mortalité », pour une cause inconnue ! Une « augmentation énorme » des myocardites, des thromboses, des AVC, des embolies, est également observée.

Christian Perronne le dénonce avec force : ce qui est « très inquiétant, c’est la flambée actuelle des cancers (des généralistes n’ont jamais vu ça de leur vie) », des « turbos-cancers », disent certains. On assiste à « une flambée des cancers du pancréas, mais on ne sait pas d’où ça vient ». Également à « une augmentation importante de la stérilité, qui concerne aussi bien les hommes que les femmes ».

Et le diagnostic du médecin n’est pas meilleur quand il s’applique à nos grandes institutions.

La Justice n’a pas été indépendante du pouvoir politique, la médecine est « en grand danger« , « on a tué l’hôpital », on a « supprimé la liberté d’expression des médecins, des universitaires » (même si la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins d’Ile-de-France lui a reconnu « non seulement le droit, mais l’obligation d’émettre un avis divergent » sur la manière dont la pandémie a été gérée).

Tels sont, pour l’essentiel, les propos tenus par Christian Perronne au cours de cette belle soirée nantaise.

  Dans le droit fil du combat qu’il mène depuis trois ans, le professeur Perronne poursuit inlassablement son action, alors qu’il pourrait couler des jours tranquilles depuis son départ à la retraite. 
À l’évidence, la charge est lourde (son nom figure sur « une liste de quatre personnes à abattre » !).
Mais il la porte avec un courage qui force le respect et mérite le soutien de ses partisans.
INTERVIEW DU 10 FÉVRIER 2022

il était venu présenter le livre de Robert Kennedy Jr : « Antony Fauci, Bill Gates et Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », dont il a préfacé la version française.
Le livre, publié aux éditions Marco Pietteur

« On ne peut plus accepter ces mensonges d’État »
Christian Perronne
CLIQUEZ POUR Y ALLER NDLR : Ce lien vers FRANCE SOIR  a été réparé 3 fois et doit visiblement déranger car il est retiré par une main inconnue la même qui retire notre article des moteurs de recherche ( cherchez vous verrez)
LIEN RESTAURÉ LE 09 05 2023 à 15h
Nous plaçons ci-contre une autre interview sur youtube


ILS L’ONT DIT SUR LE NET


Ce livre est passionnant. A lire absolument pour tout comprendre. Tout a été une duperie ignoble.

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ILS L’ONT DIT SUR LE NET

QUI VEUT LA PEAU DE PERRONNE

 🇫🇷 le 20 novembre 2022

Tout comme Raoult, Perronne, cette sommité au CV impressionnant, hier encore coqueluche des élites et responsables au sein des plus grandes institutions, est aujourd’hui voué aux gémonies, accusé de complotisme, de fakisme etc etc… Comme si ces gens, de ce niveau intellectuel et ayant connu un tel parcours avaient des velléités narcissiques d’adolescents, au point d’aller faire leurs intéressants dans les médias pour le plaisir de se faire remarquer !
Non la vérité, c’est qu’ils furent de ceux qui refusèrent d’entonner la petite musique des dirigeants Européens et Français, les complices de big pharma et des actionnaires de la mondialisation, et que pour cela il devaient payer !
Tous les chapitres ne se valent pas, à mon avis. Certains sont très étayés, référencés, documentés, imparables. D’autres relèvent plus du ressenti, et l’on n’est pas obligé de partager toutes les appréciations portées.
Mais c’est toujours intelligent, voire humoristique, ou ironique, et même si l’on a suivi le dossier de près et que l’on est relativement informé, on y apprends encore néanmoins des choses. En tout cas, c’est une remarquable somme de l’ensemble des dysfonctionnements de nos dirigeants sur ce sujet, même si tout n’y figure pas.

SOURCE :   Auteur(s) Alain Tranchant, pour France-Soir
Publié le 07 mai 2023 
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Chou Blanc

 

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