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MONDE BIZARRE: Le Cheval d’Uffington

MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS

Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature ou les hommes semblent vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….

CHOU BLANC nous entraine dans son monde… son monde bizarre …. Ambiance… Ambiance

Le cheval blanc d’Uffington



Le cheval blanc d’Uffington est une figure dessinée dans une colline de craie près de la ville d’Uffington, en Angleterre. L’origine de cette figure en forme de cheval reste méconnue.
Pour certains, elle aurait été tracée au IXe siècle par le roi Alfred en l’honneur de sa victoire sur les Danois. D’autres pensent que cette figure, visible uniquement depuis le ciel, est là depuis l’an 1000 avant J-C et représente une divinité de l’époque.

Le Cheval blanc d’Uffington est probablement la plus ancienne figure de craie (géoglyphe) connue en Angleterre.
La silhouette du cheval est linéaire et tracée dans la craie sous-jacente à la couche d’humus.
La figure mesure 123 m et n’est visible que du ciel

Avons nous une explication sur son origine..?

Pendant longtemps, on a cru que le Cheval blanc avait été créé par le roi Alfred en 871 pour commémorer sa victoire sur les Danois.

D’autres  pensaient au chef anglo-saxon Hengist qui vécut au Ve siècle.

D’autres groupes encore  pensaient que la silhouette représente le dragon combattu par saint Georges (saint patron d’Angleterre) sur Dragon Hill, une colline proche.

Une chose semble sûre, la figure date de l’âge du bronze.

Une datation plus récente, menée dans les années 1990 par Simon Palmer et David Miles de l’Oxford Archaeological Unit, démontre néanmoins que la figure date de l’âge du bronze.
Le cheval blanc d’Uffington est donc, parmi les géoglyphes équins d’Angleterre, probablement le seul que l’on puisse rattacher à la civilisation celtique.
Daté du bronze final, il offre une représentation schématique du cheval avec un corps allongé et des jambes disjointes, très proche de ce que l’on peut observer sur les pièces de monnaie celtiques.

La silhouette représente probablement une divinité locale ou est une figure tracée pour honorer les dieux (ce qui expliquerait qu’elle ne soit bien visible que du ciel)

Un cheval entretenu par respect de la traditionet l’animation qui s’y rattache

Le Cheval blanc a toujours été régulièrement entretenu.
La tradition rapporte que le propriétaire du terrain local procède tous les sept ans à son entretien.
La population locale participe à l’organisation et au financement de cet entretien.
Actuellement l’évènement a pris un caractère plus folklorique avec une fête et un marché au fromage, bénéfique pour le tourisme local.

– Il existe également une reproduction du cheval blanc d’Uffington au Mexique.
.

SOURCE : les-insolites-de-google-earth


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FABLE : Entraide… Le cheval et l’âne


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BLOC NOTE LITTÉRAIRE
BIBLIO ROSE

par
Chou Blanc

chouette-prof
Jean de La Fontaine, né le à Château-Thierry et mort le à Paris, est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure pour ses contes. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d’opéra qui confirment son ambition de moraliste.
Œuvres principales   
– les Fables (1668-1694)

LE CHEVAL ET L’ÂNE

 En ce monde il se faut l’un l’autre secourir.
Si ton voisin vient à mourir,
C’est sur toi que le fardeau tombe.

Illustration : image (chromo)Un Âne accompagnait un Cheval peu courtois,
Celui-ci ne portant que son simple harnois,
Et le pauvre Baudet si chargé qu’il succombe.
Il pria le Cheval de l’aider quelque peu :
Autrement il mourrait devant qu’être (1) à la ville.
La prière, dit-il, n’en est pas incivile : (2)
Moitié de ce fardeau ne vous sera que jeu.
Le Cheval refusa, fit une pétarade ; (3)
Tant qu’il vit sous le faix mourir son camarade,
Et reconnut qu’il avait tort.
Du Baudet, en cette aventure,
On lui fit porter la voiture, (4)

Et la peau par-dessus encor.

Illustration contemporaine : Foré, carte postale   Sources : Esope, Le cheval et l’âne.
(Nevelet, p.188)

(1) avant d’être
(2) impolie
(3) ruade accompagnée de pets
(4) la charge des charrettes

LA MORALE DE PAPY DIT C’EST : L’ENTRAIDE

La nécessité de l’entraide est très présente dans les fables de La Fontaine

L’entraide a débuté autour de nous dès notre naissance, grâce à l’amour qu’apporte notre famille. Elle est notre refuge face à tous les moments difficiles qui arpentent notre vie.
Elle continue de le faire chaque jour, grâce à notre entourage qui nous épaule, facilitant notre vie et la rendant plus attrayante au quotidien.

Chaque petites actions peuvent faire part à de l’entraide, personne n’est d’ailleurs inutile s’il allège le fardeau des autres, voilà là la plus belle preuve de bonne intention dans cette mutualité.

Elle permet à des gens ordinaires comme vous et moi de, une fois qu’ils sont réunis, faire des choses extraordinaires, inatteignable seul.


Et voici ce qu’apporte un peu de réflexion ; elle mène à la solidarité :

cliquez pour lire: Il est pertinent, de toujours prendre une main tendue…..L’entraide est un accompagnement, une aide mutuelle, un appui à chaque instant. Certain ne se sentent pas capable d’atteindre des sommets même accompagnés, c’est pourquoi l’entraide sert aussi à pousser ces personnes, il s’agit d’une main tendue qui s’offre à nous et reste à nos côtés pour nous aider à rebondir.

SOURCES:
http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/chevane.htm Livre VI, fable 16

LE CHOURISTESource intarissable d’émerveillement, Les Fables de La Fontaine ne cessent d’irriguer notre imagination tout en distillant, génération après génération, leur malicieuse sagesse.
Trente-six fables sont adaptées par des dessinateurs de haut vol.
Parfaitement fidèles au texte original, ils font revivre la comédie animalière de La Fontaine avec une exubérance et une jubilation communicatives.


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CHOU BLANC
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POÉSIE : La Complainte du petit cheval blanc


LE BLOG
DE TOM ET DOUCE

 

Elles existent encore, dans mes vieux rêves, ces cours de récréation où les enfants déclamaient avec éloquence, et chacun leur tour, des poèmes appris l’heure d’avant…
Des poèmes courts souvent faciles à retenir que
TOM ET DOUCE vous feront revivre de temps en temps histoire de vous dire qu’il n’est pas encore venu le temps des poètes disparus…
Écoutez les ..!

La Complainte du petit cheval blanc (Paul Fort)

Au milieu des vacances ensoleillées profitez de l’instant présent en découvrant cette célèbre complainte, mise en musique plus tard par Brassens, elle fut écrite par Paul Fort, né à Reims le 1 er février 1872, et proclamé plus tard, en 1912, prince des poètes ainsi qu’il est inscrit en marge de son acte de naissance.

 

https://i0.wp.com/storage.canalblog.com/12/15/174955/14138412.jpg?resize=327%2C225

Le petit cheval dans le mauvais temps,
Qu’il avait donc du courage!
C’était un petit cheval blanc,
Tous derrière et lui devant.

 

Il n’y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage,
Il n’y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni devant.

 

Mais toujours il était content,
Menant les gars du village,
A travers la pluie noire des champs,
Tous derrière et lui devant.

 

Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage.
C’est alors qu’il était content,
Eux derrière et lui devant.

 

Mais un jour, dans le mauvais temps,
Un jour qu’il était si sage,
Il est mort par un éclair blanc,
Tous derrière et lui devant.

 

Il est mort sans voir le beau temps,
Qu’il avait donc du courage!
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant.

Merci Monsieur Brassens

Pour cette mise en musique….

CHOU BLANC
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« La poésie, c’est le sourire du langage »

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LADY LADINDE ….. taille des croupières

–  Camarade Firmin …Toi et moi sommes accusés de
« tailler des croupières » à notre collègue Lady Ladinde.
Quand je sors cette expression, j’ai la sensation de parler petit chinois.  Comme si personne ne la connaissait.

– Ah OUAIS….. Vrai  faut avouer qu’on l’épargne pas ?  Elle risque un jour de nous renvoyer la monnaie de notre pièce!!

– AH exact ….! Et vous…? vous la connaissiez cette expression ?

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs « – Messieurs Messieurs….  un peu de respect pour ceux qui découvrent …
Pour la quatrième  fois nous confirmons que LADY LADINDE est un femme qui n’est ni blonde… .ni cloche et répondons à M Meetic qu’elle n’ a pas vingt ans …!
Euh  en fait si …… elle  les a eu même  trois fois  .. donc Non elle n’est plus très JEUUUNE »

« ça la fait rire jeune …..heu non JAUNE….. » 


Musique d’ambiance


 dinde BLOC NOTE LADY LADINDE Bloc note

de LADY LADINDE

 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote… Aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire, je vais vous en faire part…. De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique  » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

« Les hommes doués d’intelligence ont une soif d’éducation semblable à la soif de pluie qu’éprouve un champ de culture... » Je te dis pas…! pour les femmes … c’est encore pire

AUJOURD’HUI LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR :

L’expression …. Tailler des croupières

Dès qu’un individu décide de mettre une personne dans l’embarras ou de faire obstacle à ses projets, on dit familièrement qu’il est en train de lui « tailler des croupières ».

« Tailler des croupières à quelqu’un », c’est donc lui causer des difficultés et lui en faire baver. Si l’expression est tombée un peu en désuétude, les occasions de la remettre au goût du jour ne manquent pas pour autant.

Cette  expression serait née au XVIIème  selon le linguiste GEORGES PLANELLES.
Dans le domaine équestre, la « croupière » fait référence à une pièce souvent en cuir, passée sous la croupe du cheval et reliée à la selle.
Conçue pour prévenir l’avancement de la selle sur le dos de l’animal, elle permet  également d’assurer la stabilité du cavalier. Lors des batailles, les soldats visaient souvent la croupière afin de la couper  d’un coup de sabre afin de déstabiliser le cavalier voire provoquer sa chute.
« tailler des croupières » était synonyme de « combattre rudement» Depuis l’expression  a pris le sens figuré qu’on lui attribue

L’image est donc ancienne mais néanmoins compréhensible. Au Moyen-Age, lors d’un affrontement entre cavaliers, la faction mise en déroute devait tourner le dos aux vainqueurs pour battre retraite. Ces derniers, par acquis de conscience ou pur sadisme, maintenaient pourtant leur effort et frappaient de leurs lances et flèches les croupes fuyantes des montures malchanceuses de leurs adversaires.

Plus précisément, ce sont les croupières des pauvres canassons qui prenaient. Un moindre mal pour des bêtes qui n’ont cure des problèmes géopolitiques des humains et que l’on a longtemps mêlées à de sanglantes boucheries.

Les croupières, ce sont des longes de cuir rembourrées qui sont attachées à la selle et qui passent sous la queue du cheval, le tout pour empêcher la selle d’avancer sur le garrot.
Pour les amateurs de prêt-à-porter féminin, on va dire que c’est l’équivalent de la partie basse d’un body.

ATTENTION…… Je n’ai pas dit « tailler dans la croupière »?


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dinde

 


 

 

 

« La vieille ne voulait pas mourir car elle en apprenait tous les jours »  

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