MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…
Son monde bizarre ….
Ambiance…
Ambiance…
Des preuves:
Quand on est mort, la vie continue de l’autre côté !
![]() L’incorporation médiumnique implique qu’un esprit désincarné s’exprime à travers le corps d’un médium, mais des pratiques similaires peuvent exister sans médium, où des esprits tentent de communiquer directement avec les vivants, souvent à travers des manifestations ou des signes. |
Le 8 février 1974, à 11 h 15, une jeune artiste décoratrice, Alexandra Toselli, s’effondre inanimée dans l’atelier de céramique où elle travaille, à Antibes. Œdème pulmonaire.
Ses collègues appellent aussitôt les pompiers.
Huit minutes plus tard, une étudiante en droit, Florence, passe en scooter en face de l’usine de céramique. Une copine lui fait un signe en la croisant. Elle tourne la tête pour lui répondre.
Un instant d’inattention, et sa roue avant heurte le trottoir.
Projetée violemment sur la chaussée, elle meurt sur le coup.
Le Samu, sitôt prévenu, arrive sur place. Avant les pompiers appelés par les ouvrières de l’usine. Celles-ci, folles d’angoisse sur le trottoir où elles attendent les secours, se précipitent vers les médecins du service d’urgence. Elles les supplient de venir au chevet de leur collègue sans connaissance, juste de l’autre côté de la rue.
Le temps de constater le décès de la conductrice du scooter, le Samu fonce dans l’atelier d’en face. Alexandra Toselli est en état de mort clinique.
Vingt minutes plus tard, on l’admet en réanimation à l’hôpital de la Fontonne.
La suite dépasse l’entendement. Après trois mois de coma profond, Alexandra se réveille. Mais elle n’est plus Alexandra. Elle ne reconnaît pas ceux qui prétendent être sa famille, ses amis. Amnésie traumatique, dissociation de la personnalité, schizophrénie ?
Elle dit qu’elle s’appelle Florence, qu’elle est étudiante en droit, et qu’elle veut voir sa mère.
Elle donne son nom, son adresse, décrit les lieux, l’aménagement de sa chambre… Elle précise qu’elle est morte trois mois plus tôt dans un accident de scooter, et qu’il faut absolument rassurer sa maman.
Médecins, parents, amis d’Alexandra : tous les témoins de ce récit abracadabrant sont sous le choc. Ils n’ont de cesse d’en vérifier les détails.
Tout concorde. Tout est rigoureusement exact.
Florence et Alexandra se connaissaient-elles, avant leur accident respectif ?
Non. Leurs familles sont formelles. Autant la mère de Florence est bouleversée de bonheur en « retrouvant » l’âme de sa fille dans un autre corps, autant les proches d’Alexandra sont effondrés de l’avoir « perdue » alors qu’elle est là, devant eux, en vie.
Mais elle va « revenir »… Peu à peu, la mémoire de la jeune décoratrice réinvestit son cerveau, ses propos.
La conscience de Florence prend des distances. Mission accomplie, message délivré, la squatteuse cède la place.
Que conclure de ce bref « emprunt d’âme si l’on se réfère au titre du livre qui en retrace les différentes étapes ?
Les conditions dans lesquelles Alexandra Toselli s’est réveillée, absente d’elle-même et remplacée par une défunte, m’ont tout de suite évoqué l’affaire Rosita, qui m’avait rendu bien perplexe il y a une vingtaine d’années.
Dans la banlieue parisienne, à l’issue d’un dîner, une jeune femme débarrasse la table que ses invités se sont mis en tête de faire tourner.
Sa vaisselle rangée dans la machine, elle finit par accepter de participer à une de ces séances de spiritisme « pour rire » qui peuvent être si dangereuses, et pas seulement pour l’équilibre mental des gens qui deviennent accros à ces pratiques.
Il ne se passe pas grand chose, ce soir-là. C’est à peine si le pied de la table se soulève pour épeler un prénom : Rosita.
Dialogue classique entre les convives : c’est toi qui appuies, mais non c’est toi, alors c’est qui, un vrai esprit ? … On se moque, on frissonne, on joue à se faire peur, et puis l’heure tourne et on se sépare.
Le lendemain, le mari trouve son épouse à la cuisine, l’air bizarre, en train de laver à la main la vaisselle qu’elle a sortie de la machine.
Il lui pose une question. Elle répond en espagnol. Il croit à une blague : elle ne parle pas cette langue, lui non plus, leurs enfants encore moins. Mais elle s’obstine. Elle fait comme si elle ne comprenait plus le français.
Excédé par cette mauvaise blague qui n’en finit plus, le mari fait venir la gardienne de l’immeuble. Une vraie Espagnole, elle. Et qui se met à converser avec l’épouse, ravie de découvrir qu’elle possède aussi bien sa langue. |
« Vous êtes de mèche, ce n’est pas possible, s’énerve l’époux, arrêtez cette comédie ! »
Mais la gardienne est devenue blême. Elle l’attire à l’écart, lui dit que sa dame pousse le bouchon un peu loin :
Elle prétend qu’elle s’appelle Rosita Lopez, qu’elle est morte huit jours plus tôt à Barcelone, et qu’il faut la mettre en rapport avec son veuf.
L’« infiltration » a été si forte dans son cerveau qu’elle semble avoir affecté la zone du langage, située dans le lobe gauche.
La jeune femme devra réapprendre le français.
Impossible de retrouver les sources de cette histoire authentique sur GOOGLE…!!!!
Cela dit, à la différence de la situation vécue par la jeune Antiboise, il ne s’agissait dans l’affaire Rosita que d’un détournement de cerveau à des fins personnelles. Une âme errante qui s’empare d’un corps, comme on pique une voiture pour rentrer à la maison. Une simple infestation. Un parasitage sans réciprocité.
En revanche, dans le cas de Florence fusionnant avec Alexandra, je ne pense pas que le but initial de la jeune défunte, comme le met en avant Réjane Ereau dans la revue Inexploré, soit de transmettre des paroles rassurantes à sa famille qui la pleure :
« Rien n’est terminé quand on est mort, la vie continue de l’autre côté l . »
SOURCE : LE NOUVEAU DICTIONNAIRE DE L’IMPOSSIBLE – Alexandre Grigoriantz, Prête-moi ton âme, Alphée-Jean-PauI Bertrand, 2006, et Trajectoires, 2014. — Inexploré, no 22, avril 2014.
Didier van Cauwelaert nous présente de nouveaux phénomènes, encore plus étonnants : des faits qui semblent a priori impossibles et sont pourtant explicables. Preuves scientifiques à l’appui…Guérisons inexpliquées, manifestations d’intelligence végétale et animale plus » impossibles » les unes que les autres, pouvoirs humains défiant la logique, communications audiovisuelles en provenance de l’au-delà, contacts extraterrestres analysés scientifiquement… Mais aussi complots tordus, supercheries délirantes montées par des savants, des militaires, des religieux, des médiums… Didier van Cauwelaert nous fait découvrir, dans les secrets de l’Histoire comme au travers de phénomènes tout récents, des cas incroyables attestés par des références solides. Et si » impossible » n’était pas terrestre ? De A jusqu’à Z, c’est notre conception du monde qui bascule à chaque entrée de ce Dictionnaire, pour le meilleur et (parfois) pour le pire. Mais l’intelligence, l’amour et l’humour qui, à la lecture de ce livre, semblent partout à l’œuvre dans l’Univers ne sont-ils pas les meilleurs antidotes à la bêtise et à la barbarie humaines qui, trop souvent, monopolisent notre attention ? |
![]() ![]() https://amzn.to/49VHUWR |