POÉSIES :
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Autoportrait avec un ami ou Double Portrait est une peinture à l’huile sur toile de 99 × 83 cm, datant de la période 1518-1520, réalisée par le peintre Raphaël |
C’est formidable un ami
Un ami qui vous écoute, c’est une âme soeur – LOUISA |
Le printemps est plein de promesses
Après l’accalmie de la pluie, du vent,
Mes roses éclosent, exposent leur parfum;
Autour de mes arbres fruitiers, une abeille vient calmement
Dans la nature, elles sont aimantées et se nourrissent de parfum.
A l’abri de la lumière du soleil, des regards,
Avec les oiseaux , avec la pluie elles font leur concert
Du toit, du jardin, de la terre
Résonnent une harmonie qui me dit bonjour, et bonsoir.
Aujourd’hui je n’ai besoin de rien , aujourd’hui j’écoute.
LOUISA
Je l’admire et je continuerai à l’aimer à le regarder
avec les mêmes yeux qu’il y a quinze ans déjà ;
Pourtant , il n’a plus les cinq sens, mais c’est un détail,
Pourtant , il reconnaît à l’odeur, les gens qu’il aime ;
Pourtant, pour l’appeler, je suis obligée de hurler son prénom.
A part ses moustaches blanches, son regard dans le vague,
A part sa démarche un peu plus lente,
Son affection royale et rare m’est destinée.
Je me demande si je ne suis pas devenue un canidé
Sa météo , son sommeil, sa sieste sont devenues les miens ;
Comment ne pas le prendre pour un ange quand
Il saute dans mes bras lorsque je rentre de courses
LOUISA-
LE CRI DE LOUISA :
ELLE n’est pas belle la vie !!!
J’aurais aimé te ressembler : être silencieux et observateur ;
J’aurais aimé te ressembler, et sourire intérieurement ;
J’aurais aimé te ressembler et garder pour moi, mes sentiments ;
J’aurais aimé te ressembler et garder pour moi le bonheur.
Mais, j’ai une voix qui porte , je crie, je hurle, pour décompression
Je m’éclate de rire d’émotions, je pleure sans raison ;
J’adore pourtant un vol de papillon, le silence de ma respiration
J’adore un sourire sans raison, une fleur en éclosion
LOUISA-
Comme le crépuscule inonde les Albères
Elle inonde mon âme de sa douce voix ;
Maigre, elle ne devait pas manger certains soirs,
Ce jour là, la promenade m’était nécessaire.
Elle a donné toute sa vie, toute sa sève
Elle a surtout soigné, les vieilles personnes
Sa voix détonne plus qu’il ne tonne
Mais je l’admire, c’est une reine.
Un soir, elle a été sauvé par un vieil homme
Un soir, que des gamins embêtaient sa grise mine
Qui pourtant transfigurait tout, de sa bonhomie
Cet homme a parlé avec sa langue natale.
Depuis, elle traverse le quartier sous des regards
Des sourires bienveillants, depuis ;
Sa vie c’est un joli crépuscule qui, comme un phare,
Me montre le chemin, de la vie.
LOUISA
Mes arbres ont entendu leur appel
Des cris, des souffles et des pleurs leur parviennent ;
Combien, je n’en sais rien, le hérisson et sa famille ;
La renarde et la laie et de nombreuses familles ;
Et le joli mas caché parmi les oiseaux, prie le ciel.
Mes arbres, parmi l’oranger en fleur, s’abstiennent de respirer ;
Louisa
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Elle vous direz rêveuse… Mon carré magique
Louise Attaque – J’t’emmène au vent (Clip Officiel remasterisé) | Kendji Girac – Encore ft @FlorentPagnyOfficiel (Clip Officiel) |
Hugues Aufray – Stewball (Audio Officiel) |
Mon p’tit loup · Pierre Perret |
Il y a quelque part un guide pour chacun ;
On ne fait pas, des pas simplement ;
Sinon le sable emporterait nos empreintes;
Sinon la pluie les effacerait ou bien le vent.
Il y a quelque part un guide pour chacun ;
Penser, méditer, prier, c’est déjà soigner son chagrin.
Lui faire confiance , il vous écoutera,
Lui parler, même en chuchotant, c’est lui notre roi.
La vie est remplie de tant de mystères
L’avenir aussi, quel qu’il soit sur cette terre
Nous ne sommes que des enfants
Qui croient , qui espèrent, infiniment.
Louisa
Toujours aussi jeune, je l’adore un sacré bonhomme et chanteur et de superbes chansons que Dieu te bénisse pour tout
Le soleil du sud une pépite – |
Te rappelles-tu enfant, nous et le soleil du sud ?
La gentillesse des chiens des rues, et de leur maître ?
Comme si c’était hier, j’ai découvert ce brillant du sud ;
Qui faisait , germer; fleurir, et ta générosité naître.
Un franc par ci, un franc par là, on n’avait plus de monnaie ;
Tu récoltais le beau regard d’un chiot .
Le sourire édenté si sincère d’un sans papier ;
Ta joie , à chaque fois, ne faisait pas défaut.
Te souviens-tu enfant, tu découvrais le sud ;
Puis , en grandissant, tu leur offrais, une cigarette,
Qu’ils te demandaient, rien d’autre parfois, qu’une allumette.
Mais je savais qu’ils avaient faim, soif, c’était le sud.
Aujourd’hui, c’est le printemps, mais ces souvenirs
Viennent et reviennent , que sont ils devenus ces inconnus ?
Aujourd’hui, le soleil darde et fait fleurir
D’un joli bouton, le coeur, d’un autre inconnu
Louisa.
CHOU BLANC
« La poésie, c’est le sourire du langage«
RETRO :
C’est du même tabac…..