Au delà de l’eau…..


MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau….avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance

Comme on dit….. on PASSE de l’autre côté du miroir …
Dans l’au-delà .. au delà de l’eau

l'eau delàLe passeur

J’aime à croire qu’il y a un PASSAGE à faire, entre le monde des vivants et celui des morts…. et pour cela les vieilles traditions ( encore fait de nos jours dans certaines familles) me plaisent surtout celle de placer un euro dans la main gauche ou la poche ( celle du cœur) du défunt.. pour payer le passeur de ce fleuve qui au soleil couchant fait confondre le miroir et l’eau du fleuve dans l’immensité de la lumière

LE CHOURISTE Charon ou Caron était le nocher des Enfers dont la fonction était de faire franchir le Styx aux ombres qui devaient payer avec une obole leur passage (c’est pour cela qu’il était coutume de mettre cette pièce de monnaie dans la bouche des morts avant les funérailles). De surcroît elles devaient ramer et se faisaient gourmander par Charon qui ne faisait que barrer la barque.
Il est souvent représenté comme un vieillard fort laid, tyrannique, irascible, barbu et couvert de haillons.

Paix à nos âmes…. de l’autre côté c’est le royaume des cœurs qui nous ont aimé …un jour… la vie continuera pour nous .. le parcours de notre âme immortelle aussi ….

Le passage du fleuve dans l’Égypte ancienne

Avant de se présenter devant le juge Osiris, le défunt doit :
– traverser le fleuve qui le sépare du royaume des dieux.

Pour cela, il doit demander à tous les éléments du bateau de s’assembler, décliner son nom et sa destination.
Puis il nomme tous les composants de la barque funéraire (amarres, gouvernail, mât, voile etc.) pour les mettre en mouvement.
– triompher des embûches du monde souterrain : passer des portes gardées, combattre le serpent Apophis… Pour cela, le défunt est aidé par les amulettes, les formules magiques du Livre des Morts et certains dieux lui portent aussi de l’aide (Atoum), de la nourriture (Hathor).
Quand le défunt a triomphé de tous les obstacles du monde souterrain il peut enfin affronter le jugement d’Osiris (scène ci-dessous).
Chaque composant du bateau est un symbole divin : les rames sont les doigts d’Horus, la voile représente la déesse Nout, l’écope est la main d’Isis, la barque elle-même symbolise la jambe d’Isis tandis que les flancs du navire se nomment « fils d’Horus ».

Les égyptiens considéraient qu’après le décès, l’âme du défunt pouvait renaître et accéder au « royaume des morts » et au repos éternel.

Le mythe de la mort peut être décomposé en deux parties :

A GAUCHE LE POT CONTENANT LE CŒUR DU DÉFUNT A DROITE LA PLUME DE MAAT

– la première étape qui est le voyage du défunt vers l’au-delà avec la cérémonie de l’embaumement ;
– la seconde étape qui correspond au jugement de l’âme du défunt par le dieu Osiris lorsque celui-ci atteint l’au-delà pour être jugé et peut-être accéder au repos éternel.

La mort dans la Rome ancienne

Introduction :

Dans la vie quotidienne des Romains il y a la naissance, le mariage et la mort. Nous allons donc vous présenter la mort.

I. L’incinération et l’inhumation

Jusqu’à l’époque de Marc Aurèle (II°siècle), les Romains n’avaient qu’un seul rite dominant : l’incinération : les restes brûlés étaient ensuite insérés dans une urne funéraire à cet usage puis enterrés. Mais au II° siècle, l’inhumation réapparaît depuis l’Orient. Cette nouvelle pratique se développe et c’est alors que la production des sarcophages et autres contenants s’amplifie. Les deux modes coexistent jusqu’au IV° siècle où l’inhumation prend finalement le dessus suite à l’influence chrétienne.

II. Cérémonies funéraires

Des préparateurs professionnels s’occupent du corps pour la crémation ou l’enterrement. Ils lavent le défunt, l’embaument parfois les revêtissent d’une toge. Le défunt est transporté sur une litière jusqu’à la nécropole. Une fois à l’intérieur, ils se rendent dans l’ustrinum (endroit de l’incinération). Ils invoquent le nom du défunt, avant de lui mettre le feu et une fois que le bûcher est consumé on rassemble les cendres dans une urne.

 

Charon faisant traverser le fleuve A. Litovchenko (St Petersbourg) - See more at: http://mythologica.fr/grec/charon.htm#sthash.ZvI6pA4u.dpuf

Charon faisant traverser le fleuve A. Litovchenko (St Petersbourg) –

III. Rituels funéraires

A côté du mort, les familles déposaient des objets pour l’accompagner dans son chemin vers l’au-delà comme dans l’Egypte ancienne.

Ainsi voit-on apparaître l’obole de Charron qui consiste à déposer une pièce de monnaie dans la bouche ou la main du mort.

Celle-ci servira à payer Charron, le passage sur le fleuve qui sépare les morts des vivants.

Les Romains ont une vision positive de la mort.

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc
retour sur la rubrique du même tabacRETRO :
C’est du même tabac…..

Share Button

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *