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MON MONDE BIZARRE : Le hollandais volant est le vaisseau fantôme…le connaissez vous..?


MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS
Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau….avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….
CHOU BLANC nous entraine dans son monde…son monde bizarre ….Ambiance…Ambiance


Laurent Terzieff « le bateau Ivre » Rimbaud

LE HOLLANDAIS VOLANT

Le Hollandais Volant est le plus célèbre des bateaux, et celui-ci navigue toujours depuis… le XVIIè siècle.
Il est condamné à errer en mer éternellement entre le Cap Horn et le Cap de Bonne-Espérance, par la faute de son inconscient capitaine Van Der Straeten !

Un jour de l’an 1665, le capitaine, homme borné et intransigeant, refusait de faire relâche dans un port pour que son équipage puissent se reposer et refaire des vivres.
Il fallait à tout prix rattraper le retard du navire. Le capitaine souhaitait traverser le Cap de Bonne-Espérance par tempête, son équipage lui a demandé de patienter, mais le capitaine inflexible refusa.
Il chanta des chansons obscènes à la dunette, avant de rentrer dans sa cabine se saouler encore et encore. La tempête était encore pire que ce que l’on pouvait craindre, et l’équipage terrorisé décida de se mutiner.
Mais alors que le chef des mutins prenait la barre, le capitaine, totalement ivre, sortit et abattit le mutin avec son pistolet, et prononça le poing levé face au vent mugissant, les terribles paroles :
«Je franchirai ce cap, dussais-je naviguer jusqu’à la fin des temps !»
La légende raconte qu’un fantôme apparut alors. Le capitaine voulut l’abattre, mais le fantôme prononça sa malédiction, ce à quoi le capitaine répondit : «
Amen !».

Depuis, perpétuellement pris par un vent de tempête, le bateau erre sur les mers, incapable de trouver le repos… on le nomme le Hollandais Volant.

Légende ou pas ?

D’après l’écrivain historien Hugo Verlomme, de nombreux témoins qui auraient aperçu le hollandais volant décrivent un navire à moitié naufragé mais qui ne coule pas, dont les voiles sont complètement déchiquetées et surtout une ambiance terrifiante à bord avec des hommes véritables mort-vivants qui réclament assistance, avec une odeur pestilentielle

Depuis 3 siècles, ce navire maudit entourait les mers du globe, et de nombreux témoins auraient croisé son sillage.
Des rapports font état d’un navire qui apparaît mystérieusement dans les tempêtes.

En 1835, un capitaine britannique fit état d’un navire fonçant sur lui, mais qui disparut mystérieusement.

Le 11 juillet 1881, le futur roi d’Angleterre, George V, alors Duc d’York fut le témoin d’une de ces apparitions le long des côtes australiennes. Alors qu’il prenait le frais sur le pont du HMS Bacchante, il aperçut un halo rougeâtre dans la nuit noire et opaque. Un immense vaisseau apparut et passa devant le bateau, sans aucun bruit… Le lendemain, un des marins de quart cette nuit là, tombait d’un mât et se tuait. Quelques jours plus tard ce fut le tour de l’amiral qui commandait cette flotte.
Certains pensèrent à une malédiction provenant du Hollandais Volant. Le journal de bord de La Bacchante relate les faits :
« Quatre heures du matin, un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L’homme de bossoir le signala sur l’avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève officier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d’un navire réel. Seize personnes ont été témoins de l’apparition. La nuit était claire et la mer calme. Le Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l’étrange lumière rouge ».

– En 1887 par l’équipage de l’Orion, vaisseau américain naviguant vers la Chine.

En mars 1939, de nombreux baigneurs sur une plage d’Afrique du Sud virent un navire à voile dont la description ressemble fortement à celle d’un brick. Ce dernier apparaît filant sur les flots, toutes voiles dehors alors qu’il n’y avait aucun vent, puis disparaît aussi mystérieusement.

En 1942 durant la bataille de l’Atlantique, les 50 marins de l’équipage de U-Boot l’aurait entre-aperçu en pleine mer …!

SOURCES : Citations tirées du livre:
« Le Petit Dictionnaire des Superstitions de Marins »
Patrice Bottet, aux éditions Mosée.

 Alors, phénomène naturel, mirage ou simple légende maritime, le mystère reste entier. Bizarre bizarre vous avez dit bizarre …. Quel monde étrange..!

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