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Pandémie Covid-19: Grande manipulation

 


BLOC NOTE LITTÉRAIRE

par Chou Blanc

«  DÉFENSE DES HOMMES »

Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu


Pour Feuilleter

Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu
Broché
– Livre grand format,
2 novembre 2022



Le Professeur Christian Perronne a été pendant une décennie chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches.
Il est médecin, spécialiste des virus et professeur d’université.

 Ses deux best-sellers (Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? et Décidément, ILS n’ont toujours rien compris), ont créé la polémique.
Ancien expert auprès de l’OMS, le professeur Christian Perronne s’est vu reprocher sa position très critique sur la gestion de la crise sanitaire du Covid 19.
Celui qui n’a jamais été interdit d’exercer, ni radié par le Conseil de l’ordre des médecins, ni jugé coupable de diffamation par un tribunal, persiste et signe dans ce nouveau livre.
Il répond ici aux questions que tout le monde continue de se poser mais que les « autorités compétentes » laissent en suspens :
 Pourquoi le Covid-19 est-il si résistant ?
Les vaccins sont-ils tous aussi efficaces ?
Avec le recul, quel est le vrai bilan de la politique sanitaire en France ?
Pourquoi les polémiques ont-elles été aussi violentes ?
Comment se sont comportés pendant cette crise les laboratoires pharmaceutiques mondiaux ?
Sommes-nous condamnés à nous faire vacciner tous les 6 mois ?
… Et 27 autres questions sans réponse !

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Nantes: Christian Perronne à la rencontre de ses partisans
Auteur Alain Tranchant, pour France-Soir

TRIBUNE/RENCONTRE – Salle comble pour le professeur Perronne vendredi 5 mai au soir dans un établissement de la banlieue de Nantes, où il donnait une conférence à l’invitation de la librairie Dobrée ainsi que de plusieurs collectifs de soignants.
Et moment d’émotion quand, en prenant la parole, il salue sa sœur Catherine présente dans la salle, puis évoque la mémoire de son beau-frère décédé à Nantes lors de la première vague de Covid. « On a laissé crever mon beau-frère », avait-il dit à l’époque, puisque les traitements précoces ne lui avaient pas été appliqués.

Je n’ai pas assisté à un rassemblement de gens cagoulés..!!!

Complétant ce tableau préliminaire, j’ajouterai que je n’ai pas assisté à un rassemblement de gens cagoulés, venus à la nuit tombante ourdir je ne sais quel complot.
J’ai vu des femmes et des hommes paisibles, acquis bien sûr à la cause que le professeur Perronne a servie, lui réservant un tonnerre d’applaudissements à la fin de son propos.

« Apprenez à dire : non ! »

Que le pouvoir se rassure ! Je n’ai pas entendu parler de la prise de la moindre Bastille.
Et, quand le professeur Perronne a déclaré, avant de se prêter aux questions-réponses : « Apprenez à dire : non ! », des précédents historiques sont là pour lui donner raison.
J’ai hésité à donner à cet article un titre sibyllin : « 3 mois et 400 milliards… ». Tant il est vrai qu’à l’heure où la pandémie a tourné les talons (« ce sont aujourd’hui des grippettes, des bronchites, et on a tous les outils pour traiter »), il est désormais possible de mesurer, avec le recul donné par le temps qui passe, le poids des erreurs, et même des fautes, commises par nos gouvernants dans la gestion de ce qui a été « une épidémie réelle, mais pas une tragédie ».

Ce n’était « pas pire que la canicule »

Christian Perronne observe qu’au total, « la mortalité a été extrêmement faible dans tous les pays du monde, et n’a fait que diminuer avec le temps ». Ce n’était « pas pire que la canicule », et s’il y a eu une surmortalité, c’est pour les gens âgés, les personnes ayant des problèmes cardio-vasculaires, respiratoires.
Surtout, « si on avait traité, on aurait évité la plupart des morts », et « cela aurait été terminé en 3 mois », pour une simple raison : « Les traitements précoces avaient fait la preuve de leur efficacité ». L’étude de Raoult était « fantastique », son application à Garches en avait confirmé l’efficacité, à la seule condition de « donner très tôt » le protocole azithromycine – hydroxychloroquine.

 « donner très tôt » le protocole azithromycine – hydroxychloroquine.

Mais voilà ! Si l’on avait appliqué ces traitements – et, avant même l’arrivée de la pandémie en France, le gouvernement avait supprimé la chloroquine des médicaments en vente libre -, il n’était pas possible de faire la promotion d’un « vaccin » d’un genre vraiment nouveau, puisqu’il n’empêche ni d’attraper, ni de transmettre la maladie, ce qui devrait tout de même mettre la puce à l’oreille des détracteurs du professeur Perronne.

Il a donc fallu avoir recours à « une utilisation frauduleuse de la PCR », dont l’inventeur avait pourtant dit qu’il ne fallait jamais l’utiliser en population générale, pour « faire croire qu’il y avait des vagues énormes ».

« créé une épidémie de faux cas pour maintenir la peur »

On a ainsi « déclaré cas Covid des gens en parfaite santé » et « créé une épidémie de faux cas pour maintenir la peur », justifier les confinements de la population et légitimer le recours à un « vaccin » qui ne se justifiait pas, « étant donné la mortalité extrêmement faible ».

« Un vaccin, c’est 10 ans de développement, et on ne peut pas raccourcir à moins de 6 – 7 ans »

Fort de son expérience en matière de vaccination, et des hautes fonctions occupées dans ce domaine au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour la grande Europe, de l’Atlantique à Vladivostok, Christian Perronne avance tranquillement : « Un vaccin, c’est 10 ans de développement, et on ne peut pas raccourcir à moins de 6 – 7 ans ». Et, surtout, l’autorisation de mise sur le marché n’aurait jamais dû être donnée à ce produit qui est « toujours en phase expérimentale ».
Cela étant, « s’ils avaient reconnu que l’hydroxychloroquine, ça marchait, ils étaient cuits ! »

« On a mis en danger des femmes enceintes »

Le professeur l’affirme également : « On a mis en danger des femmes enceintes (pour lesquelles, normalement, un vaccin doit avoir 20 ans d’application), des enfants. Les obligations vaccinales – qui, étrangement, ne concernent pas les policiers- sont illégales, puisqu’il s’agit d’un produit expérimental », et « c’est assimilable à un crime contre l’humanité ».

Au total, la France aura dépensé « 400 milliards d’euros pour le Covid » (alors que le pouvoir est à la recherche de 12 à 13 milliards pour les retraites !), et cela « pour un pseudo vaccin toxique ». Comme il n’était pas possible de nier qu’il n’empêchait pas la transmission du virus, l’idée a été répandue qu’il protégeait des formes graves et de la mort.
Hélas ! il est apparu rapidement que « les gens vaccinés avaient plus de chances de faire des formes graves et de mourir » (4 fois plus suivant une étude parue en Angleterre).

« augmentation de 20 % de la mortalité », pour une cause inconnue !

Et, maintenant, les conséquences de l’application de ce produit expérimental apparaissent en toute clarté. Le journal Le Parisien faisait état récemment d’une « augmentation de 20 % de la mortalité », pour une cause inconnue ! Une « augmentation énorme » des myocardites, des thromboses, des AVC, des embolies, est également observée.

Christian Perronne le dénonce avec force : ce qui est « très inquiétant, c’est la flambée actuelle des cancers (des généralistes n’ont jamais vu ça de leur vie) », des « turbos-cancers », disent certains. On assiste à « une flambée des cancers du pancréas, mais on ne sait pas d’où ça vient ». Également à « une augmentation importante de la stérilité, qui concerne aussi bien les hommes que les femmes ».

Et le diagnostic du médecin n’est pas meilleur quand il s’applique à nos grandes institutions.

La Justice n’a pas été indépendante du pouvoir politique, la médecine est « en grand danger« , « on a tué l’hôpital », on a « supprimé la liberté d’expression des médecins, des universitaires » (même si la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins d’Ile-de-France lui a reconnu « non seulement le droit, mais l’obligation d’émettre un avis divergent » sur la manière dont la pandémie a été gérée).

Tels sont, pour l’essentiel, les propos tenus par Christian Perronne au cours de cette belle soirée nantaise.

  Dans le droit fil du combat qu’il mène depuis trois ans, le professeur Perronne poursuit inlassablement son action, alors qu’il pourrait couler des jours tranquilles depuis son départ à la retraite. 
À l’évidence, la charge est lourde (son nom figure sur « une liste de quatre personnes à abattre » !).
Mais il la porte avec un courage qui force le respect et mérite le soutien de ses partisans.
INTERVIEW DU 10 FÉVRIER 2022

il était venu présenter le livre de Robert Kennedy Jr : « Antony Fauci, Bill Gates et Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », dont il a préfacé la version française.
Le livre, publié aux éditions Marco Pietteur

« On ne peut plus accepter ces mensonges d’État »
Christian Perronne
CLIQUEZ POUR Y ALLER NDLR : Ce lien vers FRANCE SOIR  a été réparé 3 fois et doit visiblement déranger car il est retiré par une main inconnue la même qui retire notre article des moteurs de recherche ( cherchez vous verrez)
LIEN RESTAURÉ LE 09 05 2023 à 15h
Nous plaçons ci-contre une autre interview sur youtube


ILS L’ONT DIT SUR LE NET


Ce livre est passionnant. A lire absolument pour tout comprendre. Tout a été une duperie ignoble.

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ILS L’ONT DIT SUR LE NET

QUI VEUT LA PEAU DE PERRONNE

 🇫🇷 le 20 novembre 2022

Tout comme Raoult, Perronne, cette sommité au CV impressionnant, hier encore coqueluche des élites et responsables au sein des plus grandes institutions, est aujourd’hui voué aux gémonies, accusé de complotisme, de fakisme etc etc… Comme si ces gens, de ce niveau intellectuel et ayant connu un tel parcours avaient des velléités narcissiques d’adolescents, au point d’aller faire leurs intéressants dans les médias pour le plaisir de se faire remarquer !
Non la vérité, c’est qu’ils furent de ceux qui refusèrent d’entonner la petite musique des dirigeants Européens et Français, les complices de big pharma et des actionnaires de la mondialisation, et que pour cela il devaient payer !
Tous les chapitres ne se valent pas, à mon avis. Certains sont très étayés, référencés, documentés, imparables. D’autres relèvent plus du ressenti, et l’on n’est pas obligé de partager toutes les appréciations portées.
Mais c’est toujours intelligent, voire humoristique, ou ironique, et même si l’on a suivi le dossier de près et que l’on est relativement informé, on y apprends encore néanmoins des choses. En tout cas, c’est une remarquable somme de l’ensemble des dysfonctionnements de nos dirigeants sur ce sujet, même si tout n’y figure pas.

SOURCE :   Auteur(s) Alain Tranchant, pour France-Soir
Publié le 07 mai 2023 
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