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La métaphore orientale de la calèche

Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline– BLOC NOTE
de Choucaline

– « Les capacités de notre cerveau:

La métaphore orientale de la calèche

Conscient et Inconscient
  Le voyage de notre vie


Dans cette métaphore orientale de la calèche, l’existence se présente comme un voyage.
Pour qu’il soit réussi, les 4 plans de l’être doivent être respectés :
corps / mental / émotionnel / spirituel.

 

Cette métaphore est tirée du livre de Michel Odoul sur la psycho-énergétique intitulé
« Dis-moi où tu as mal, je te dirais pourquoi » – Les cris du corps sont des messages de l’âme.

Selon lui le symptôme et le mal-être n’est pas le fruit du hasard ou de la fatalité, mais un indicateur de la nécessité de changement. « Pour la médecine orientale, la maladie témoigne d’un obstacle à la réalisation du Chemin de Vie. La conscience exprime ainsi par des troubles énergétiques générateurs de maladie les entraves à son plein épanouissement […] »

La santé personnelle est une des choses sur lesquelles nous avons un véritable pouvoir et dont nous pouvons avoir l’intention légitime de posséder.

Quelle symbolique…?

Tout d’abord, la calèche avec ses roues et son habitacle constitue notre corps physique.

Cette Calèche est tirée par deux chevaux, un blanc (Yang) qui est à gauche et un noir (Yin) qui est à droite.

Ces chevaux symbolisent les émotions, ce qui nous montre à quel point ce sont elles qui nous tirent, ou nous mènent dans la vie
Ils sont l’énergie qui nous permet d’aller de l’avant.

Cette Calèche est conduite par un Cocher qui représente notre mental, notre Conscient. C’est la partie consciente, la raison qui gouverne nos pulsions.

Elle possède quatre roues, deux devant (les bras), qui impliquent la direction donnée par le Cocher aux chevaux, et deux derrière (les jambes) qui portent et transportent la charge (d’ailleurs toujours plus grosses que celles de l’avant).

A l’intérieur de la Calèche il y a un passager que l’on ne voit pas. Il s’agit de notre Inconscient. Ce passager est notre nature profonde, notre moi intime, notre voix intérieure ou même notre âme.

Ainsi, cet attelage avance sur des routes et dans des conditions climatiques qui représentent notre chemin de vie. Il est une sorte de fil conducteur que tout individu suit au cours de sa vie.

Notre Calèche personnelle avance donc sur le chemin de la vie, dirigée en apparence par le Cocher. En apparence, car si c’est bien lui qui la conduit (la conscience), c’est en fait le passager (l’Inconscient) qui a donné la destination.

Le Cocher, qui est notre mental conscient, conduit donc la Calèche. De la qualité de sa vigilance, de sa conduite (ferme mais en douceur) va dépendre la qualité et le confort du voyage (existence).

 

S’il brutalise les chevaux (émotions) et les brime, ceux-ci vont s’énerver ou s’emballer à un moment donné et risquer de conduire la Calèche à l’accident, de la même manière que nos émotions nous conduisent parfois à des actes irraisonnables voire dangereux.

 

Choucaline a fait une synthèse détaillée et illustrée à partir des deux sites abordant cette question .
Cliquez

le voyage de la vie avec ma calèche


Conclusion

La métaphore de la calèche permet de porter un
regard imagé sur le processus de fonctionnement de l’être humain, parce qu’elle présente l’existence comme un voyage.

Pour qu’il soit réussi, il est nécessaire de respecter les 4 plans de l’être :

  • Premièrement, si la calèche (corps physique) est en mauvais état, comment pouvons-nous avancer sur notre chemin ?

         Par conséquent, il s’agit d’entretenir notre corps et de le respecter.

  • Deuxièmement, sans l’élan des chevaux (émotions), aurions-nous la force d’avancer ?

         S’il   est   nécessaire   de  nourrir  positivement  nos  choix  et  de  maintenir notre cap, nous  devons  également  apprendre à maîtriser nos émotions.

  • Troisièmement, si le cocher (mental) ne dirige plus et  ne maitrise pas ses chevaux, ou encore s’il ne prend pas soin d’écouter ses chevaux, que se passe-t-il ?

         Ce dernier risque de se couper de ses émotions. Or, elles sont un élan moteur de notre vie.

    • Et enfin, si le voyageur (voix intérieure) est mis de côté, comment pensons-nous trouver le sens profond de notre vie ?

Choucaline plus proche de toi tumeur

CHOUCALINE
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