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L’accident de la gare Montparnasse….

les potes doivent être éclairésCHRONIQUES CHOUCROUTE
par le Pote H

Dans mes chroniques on m’’a demandé de cultiver les potes âgés pour leur montrer la différence entre culture et agriculture.
Vu leur sénilité précoce nous procéderons toujours, par des anecdotes, qui leur permettront de mieux mémoriser, et de bien comprendre le sens des choses …

L’accident de la gare Montparnasse

L’accident de la gare Montparnasse est un accident ferroviaire français survenu le à la gare de Paris-Montparnasse, lors de l’arrivée du train desservant la ligne de Paris à Granville.
Il provoque un décès et de nombreux dégâts matériels ; son caractère spectaculaire en fait l’un des accidents ferroviaires les plus connus de l’histoire des chemins de fer français.

Initialement construite par la Compagnie des chemins de fer de l’Ouest, et appelée de ce fait à l’origine « Gare de l’Ouest », la gare du boulevard du Montparnasse est en 1895 utilisée comme terminus  dont les six voies en cul-de-sac surplombent de neuf mètres le carrefour de la rue de Rennes et du boulevard du Montparnasse

Interrogés immédiatement après l’accident, le mécanicien et le chauffeur invoquèrent une panne du frein à air type Westinghouse, qui  s’était révélé défaillant à celui de la rue du Château, quelques centaines de mètres avant l’arrivée.
Ils avaient bien tenté de réduire leur vitesse, qui était alors de 65 km/h en renversant la vapeur et en sablant, tout en sifflant pour demander aux conducteurs d’actionner le freinage d’urgence, mais ces manœuvres s’étaient avérées insuffisantes pour arrêter le convoi à temps.

Malgré des tentatives de freinage on ne parvient pas à
s’arrêter à temps.

Suscitant l’affolement général en pénétrant sous le hall à une vitesse d’environ 40 km/h, il pulvérise le butoir formé de trois pièces de bois superposées, puis transperce le béton du terre-plein situé au bout des voies et le mur de la façade surmonté d’une cloison vitrée et, bien que fortement ralenti par ces obstacles successifs, traverse la courte terrasse surplombant la place de Rennes et défonce son balcon.

Emportée par son élan, la locomotive bascule dans le vide et son extrémité avant s’enfonce dans le sol à l’emplacement d’une station de tramway, détruisant un kiosque-abri.
Les attelages ayant résisté, le tender, qu’elle entraîne dans sa chute, reste suspendu, accroché au fourgon de tête demeuré avec le reste du train au niveau des voies. Il est exactement 16 h, comme en témoignaient les pendules électriques de la gare, toutes arrêtées lors de l’accident.


Le bilan de l’accident

L’évènement provoque un décès, celui d’une marchande de journaux installée à la station de tramway, Marie-Augustine Haguillard, 39 ans, mère de deux enfants de 5 et 9 ans, écrasée à la fois par une pierre tombée de la façade et par le cendrier de la locomotive.
Le mécanicien Pellerin et le chauffeur Garnier, projetés hors de leur machine lors du choc avec le butoir,  subissent de légères blessures.

Les voitures du train, dont la décélération brutale aurait pu provoquer un télescopage, restent sur les rails,  leurs passagers subissent quelques contusions sans gravité.

Causes et responsabilités

La Compagnie des chemins de fer de l’Ouest assuma sa responsabilité civile dans le décès de madame Aiguillard
Il  y eut  un arrangement amiable consistant à verser une modeste indemnité à son compagnon et à prendre en charge l’éducation de ses deux orphelins, avec promesse de leur trouver un emploi dans ses services.
Au pénal, le le mécanicien Pellerin et le conducteur-chef Mariette  sont renvoyés devant le tribunal correctionnel de la Seine.
Lors de l’audience, les deux ingénieurs du contrôle des chemins de fer entendus comme témoins émirent des opinions divergentes sur le frein à air, qui pour l’un avait fonctionné, mais n’avait pu arrêter le train arrivant trop vite sur les rails rendus glissants par la pluie, et pour l’autre était tombé en panne.
Le , le tribunal, reconnaissant qu’« il existe en leur faveur des circonstances très atténuantes », condamna pour homicide et blessures par imprudence le mécanicien Guillaume-Marie Pellerin à deux mois de prison avec sursis et 50 francs d’amende. La faute « des plus légères » du conducteur de tête Albert Mariette lui valut symboliquement 25 francs d’amende avec sursis.

CETTE ACCIDENT INSPIRA UNE DES SCÈNES DU FILM HUGO DONT VOICI LE RÉSUMÉ DU TRUCAGE

 

SOURCES :
https://www.msn.com/fr-fr/video/viral/l-accident-de-la-gare-montparnasse-l-un-des-plus-impressionnants-de-l-histoire-des-chemins-de/vi-AA13UQNF


POTACHE

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La Porsche maudite de James Dean…?


VETEMENTS ET ACCESSOIRES   SANTÉ ET SOINS DU CORPS  VOYAGES VALISES
MON MONDE EST BIZARRE ET PARFOIS PLEIN DE MYSTÈRES INEXPLIQUÉS

Nous vous ferons découvrir ce que le ciel, la terre, l’eau ,et le feu ont de plus beau…. avec toujours un mystère que la nature semble vouloir maintenir sur bien des choses bizarres et parfois étranges….

CHOU BLANC nous entraine dans son monde…
Son monde bizarre …. Ambiance… Ambiance

La Porsche maudite de JAMES DEAN

Le 30 septembre 1955, James Dean prend livraison de cette Porsche 550 Spyder, produite à quatre-vingt-dix exemplaires et perdra la vie à son volant.
À 24 ans, le héros de « La Fureur de Vivre » laissait orpheline toute une génération qui voyait en lui l’expression d’une adolescence rebelle.

Il l’avait appelée « Little Bastard». Ce n’est pas prudent de baptiser ainsi une voiture, surtout une Porsche 550 Spyder. Comme son nom l’indique, elle s’est vraiment comportée en petite salope.
Même après sa quasi-destruction. Même en pièces détachées. A côté d’elle, Christine, la Plymouth
Belvedere du film que John Carpenter a tiré du roman de Stephen King, est une compagne modèle.

Un bien étrange mystère plane au-dessus de la voiture de James Dean, une Porsche 550 Spyder, dans laquelle le jeune acteur trouva la mort. Dean était passionné de véhicule et de course automobile, c’est la raison pour laquelle il en fit l’acquisition. Il souhaitait participer à une course qui avait lieu à Salinas, Californie.

C’est en visitant un garage de Los Angeles qu’il avait aperçu ce bolide et en était immédiatement tombé amoureux.

Le 30 septembre 1955, James Dean il en prend livraison …..

Son ami Nick Adams, lui avait dit que sa voiture le rendait mal commode et Ursula Andress, sa nouvelle petite amie, ne la « sent» pas du tout.
Elle refuse de monter dans cette « Little Bastard ».
Rivalité de filles, se marre l’acteur de La Fureur de vivre. Il a tort. Il se tue au volant, le jour même, en se rendant à une course à Salinas. Refus de priorité, collision à 90 kilomètres à l’heure.
Et ce n’est que le début de l’histoire 1.

Son copain George Barris rachète l’épave
Son copain George Barris, qui lui avait « préparé» la voiture, rachète l’épave 2 500 dollars, afin
de la vendre en pièces détachées à la mémoire de Jimmy. Un bon investissement, pense-t-il. Le chauffeur du camion qui la lui livre perd le contrôle de la manœuvre: la voiture se décroche, lui tombe dessus et le tue. Heureusement pour George, l’épave
est intacte.

Dès l’annonce parue, deux médecins, cinéphiles
et passionnés de rallyes, se précipitent pour ache-
ter le moteur et la transmission de « Little Bastard ».
Ils en équipent leur voiture qui percute un arbre :
l’un meurt, l’autre sera paralysé à vie.

Et les enchères continuent. C’est un jeune fan do
James Dean qui fait l’acquisition des pneus. Ils sont
quasi neufs. Deux d’entre eux explosent au même
moment: le fan réchappe de justesse à l’accident
qui broie sa voiture.

Apparemment, « Little Bastard» n’aime pas trop qu’on touche à son intégrité…
Mais pas plus qu’on l’expose…!

George Barris a compris la leçon: il arrête de la vendre à la découpe.
Pour la rentabiliser tout de même, il loue la carcasse à une exposition consacrée aux accidents
de la route, dans le cadre d’une campagne de sécurité.
A peine la petite salope est-elle entreposée dans Ie show-room qu’un incendie se déclare.
Toutes les autres voitures accidentées qui participent à I’expo sont détruites, sauf elle.

Sa renommée est devenue telle que tous les organisateurs de manifestations se l’arrachent.
Au cours de la présentation suivante, où elle est suspendue dans les airs pour raisons esthétiques, son capot se détache et écrabouille un gamin de quinze ans. Bon
anniversaire, Jimmy : on est le 30 septembre.

Je continue…. Nouvelle expo à Salinas, là où l’acteur, un an plus tôt, voulait l’emmener participer à
une course. Accident du semi-remorque. Le chauffeur s’en tire, va voir si la voiture a souffert. Elle
lui tombe dessus et le tue. L’année d’après, rebelote.

La presse s’interroge. Pourquoi cette épave est-elle hantée?
Qui n’est pas content?

L’âme de James Dean en veut-elle à cette caisse de l’avoir tué prématurément, ou bien est-ce le fantôme d’un tôlier de l’usine Porsche, décédé en assemblant la voiture? A moins qu’il ne s’agisse d’une malédiction lancée sur le véhicule par une ex-petite amie lourdée par Jimmy, actrice de films d’horreur et membre d’une église sataniste

On raconte que James Dean avait été victime d’une puissante malédiction de magie noire.
Le mauvais sort aurait été lancé par Maila Nurmi, une actrice de film d’horreur à petit budget et membre d’une église sataniste, avec qui Dean aurait eu une aventure.
Après une brève romance, il aurait complètement démenti leur relation devant la presse, de peur que son association avec cette femme viennent abîmer sa réputation.
Humilié et profondément frustrée, elle aurait lancé cette malédiction durant le tournage du film Rebel Without a Cause.
Elle avait pour but de causer la perte de Dean, à la voiture qu’il venait tout juste d’acheter et aux jeunes acteurs qui tournaient avec lui. La scène amusa tout le monde, mais la malédiction était belle et bien lancée.
Quoique la véracité de cette histoire est discutable, tous ces acteurs sont effectivement mort jeunes et de cause non naturelles. James Dean est mort à 24 ans au volant de cette voiture, Sal Mineo fut poignardé à mort à l’age de 37 ans, Nick Adams est décédé suite à une overdose à 36 ans et finalement, Natalie Wood s’est noyée à 43 ans.

Quoi qu’il en soit, des ligues de vertu commencent à réclamer, au nom du Seigneur et de la prévention routière, l’exorcisme et la destruction de « Little Bastard» la bien nommée.

Son propriétaire décide de l’envoyer à la casse….. disparition….!!!

On serait à moins lassé par autant de tragédies. Si bien que Georges Barris décida en 1960 de faire disparaître une épave qui a tué à 6 reprises (sans compter les blessés). Expédiée au recyclage, non loin de Miami, la Porsche 550 Spyder n’y arriva jamais. La légende raconte que le camion arriva à vide bien que les joints d’expéditions semblaient intacts.
Aucune trace d’effraction …. Elle a disparu.
Personne ne reverra jamais « Little Bastard ».

Ou en sommes nous aujourd’hui?

En juillet 2011, la firme Porsche annonce en fanfare à la presse qu’elle va mettre en productionune nouvelle mouture de la 550 Spyder ‘.
« C’est fascinant de se dire qu’on va ressusciter la voiture mythique de James Dean !», se réjouit l’attaché de presse.
Une heure plus tard, il se fait renverser par un scooter.

Emmurée dans un immeuble ?
Depuis 1960, l’épave de la Porsche de James Dean est introuvable, cultivant ainsi le culte de la malédiction. Loin d’être résignés, les dirigeants du Volo Auto Museum (Illinois) offrent une récompense d’un million de dollars (environ 900 000 euros) à quiconque aurait des informations sur la localisation de l’épave. Le hasard fait bien les choses puisqu’à l’approche des 60 ans de la mort de James Dean, un homme s’est présenté comme sachant où demeure la carcasse.D’après le directeur du musée, Brian Grams, l’histoire de cet homme est « la piste la plus crédible à ce jour » puisque contrôlée par un polygraphe (le fameux détecteur de mensonge !). L’homme se rappellerait qu’à l’âge de 6 ans, il avait accompagné son père cacher la Porsche en l’emmurant dans un immeuble dans le conté de Whatcom, dans l’état de Washington, au nord-ouest du pays, complètement à l’opposé de Miami !D’après Jalopnik, qui a fait remonter cette étrange histoire, l’homme se monterait particulièrement prudent, exigeant un document officiel lui garantissant son million de dollars. Peut-être connaitrons-nous ainsi l’épilogue d’une auto que James Dean surnomma Little Bastard, formule peinte sur le capot moteur.

SOURCE :
www.dark-storles.corn/
« Ces stars victimes de la route », www.euro-assurance.ooru/
http://www.dark-stories.com/maledictions/la-voiture-maudite-de-james-dean.html
http://blog.autosphere.fr/media/buzz-e
t-insolite/a-t-on-retrouve-little-bastard-/7153/

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