POESIE : MAMY LOUISA EN NOVEMBRE

LE BLOG
DE TOM ET DOUCE

POÉSIE : Mamy Louisa en Novembre
Des poèmes, des émotions, des chansons et beaucoup d’amour…!!!

POÉSIE : MAMY LOUISA EN NOVEMBRE

A toi petite frimousse

Comme hier, tu tombes dans les bras de Morphée ;
Le museau blond, tu sembles sourire de douceur ;
Le canapé respire au rythme de ton plaid ;
…………………………………………….Je ne me questionne plus, tu es mon bonheur.

J’adore le duvet de tes oreilles soyeuses ;
Étonnant, tu ne me repousses pas, heureux ;
A mes bises qui surfent sur ta peau douce
J’entends notre osmose, nous faisons un duo.

La terre est rose, le ciel divinement bleu ;
Arbres et plantes sont de toutes couleurs ;
Je suis hypnotisée , un transfert merveilleux ;
Un parfum de lilas , de rose et de bleu.

Tout est subtilisé: tes rêves , ta douceur;
Tes coussinets éclosent comme des fleurs ;
Ton blond pelage n’est plus qu’une douceur ;
L’horloge soudain, ne marque plus les heures.

Louisa

Ce Que Révèle la Position de Ton Chien Lorsqu’il Dort

Des souvenirs

Un grand-père qui restaure un vélo
Pour qu’il ne s’ennuie pendant ses vacances
Des plats de nems et de poulet colombo
Souvenirs qui lui reviennent malgré le temps.

Tout cela tient dans la mémoire d’un enfant,
L’amour qu’il vienne d’ici ou d’ailleurs ;
Le redonne t il à un escargot à une fleur ;
Souvenirs des fraises mûres rien que pour tes yeux d’enfant…..

Je comprends pourquoi tu aimes les fraises
Je comprends pourquoi le minichou aime le vélo
Je comprends pourquoi tous les cadeaux te plaisent
Aux fêtes, anniversaires, et aux noëls: des gros lots.

Louisa

 

 

 

 

 

  peinture de jep papy pour Louisa    La pluie est là

Mais que sont devenus les bois de muguet ?
Les forêts de champignons avec leur faune ?
Envolés avec mes oiseaux avec l’éternel
L’air est redevenu doux et dépolluée.

J’admire les bois, qui donnent des champignons
J’admire les écureuils qui cherchent un abri
La pluie en a, délogé , et détruit leur nid ;
Des feuilles tourbillonnent pour faire des ronds.

 J’aime la pluie qui tambourine sur les volets
La kyrielle d’oiseaux qui s’abattent sur un sureau
Comme des fruits qui vont tomber;
j’aime cette verdure qui gicle d’un ruisseau.

Les enfants vont être bercés par le bruit du clapotis
Les avenues seront des pataugeoires ;
Je pense à toi, alors il fait un temps magnifique
Soudain plus besoin de parapluie, qu’un miroir;

La pluie divise les gens brouille le ciel ;
Certains en ont trop, d’autres pas assez ;
Mais j’aime cette eau que parfume un gazon coupé ;
J’aime cette eau qui nous vient du ciel.

Louisa

Une confidence pour le ciel.

Il faisait gris, elle faisait plus que son âge ;
Son mari travaillait,ses enfants, elle les élevait ;
L’argent ne coulait pas dans son paysage ;
Comme par hasard, elle acheta un billet.

Par chance, elle gagna, ce jour là, le gros lot ;
Le temps de réaliser, elle embrassa le billet ;
Ses enfants, le mari, le monde s’était arrêté ;
Les enfants ont eu le plus beau Noël, le gros lot.

La petite a eu son vélo, le frère, sa mobylette ;
Il y a de cela, cinquante ans maintenant
C’est avec des larmes qu’il me confia cette fête;
Dieu entend, souvent ses enfants.

 


UN JOUR TU VERRAS
  La mobylette n’existe ne sert plus ni le vélo
Les parents usés, sont déjà partis là-bas ;
Seuls restent les souvenirs, les plus beaux.
La sœur chérie a rejoint les parents là-bas.
    Louisa

 

META


The Hobbit – Misty Mountains Cold on STL Ocarina

Elle est là, cependant voudrait être là-bas :
Voir le reflet d’une jeune femme joyeuse
Courir dans un pré en respirant les cieux ;
Regarder pour la première fois, ta joie.

L’orage venant qui ne donne aucun ruisseau
Que des nuages qui n’apportent aucune pluie
Mais un sol fendillé où tout est ennuie :
Des champs sans blé et des herbes sans coquelicot.

Mais au saule-pleureur, résonnent des chants d’oiseaux
Qui font germer des lotus et des myosotis
Scintiller quelques cailloux, comme des joyaux
L’orpailleur avait oublié ses bombes de rubis.

Téléportée, elle est dans un beau jardin ;
Sa villa regorge de souvenirs, le rêve d’un matin ;
Le jardin planté d’arbres et d’un bel olivier
Un enfant qui joue dans le sable des allées.

Louisa

Quand le soleil se lève

Il y a qu’un soleil, celui qui règle notre humeur
Le même, qui gère nos plantations, nos fleurs ;
Pour les sourires c’est différent et aussi beaux ;
Il y a ceux qui suppriment les maux ;

Tous les jours, nous rencontrons ceux des enfants ;
Ils ont la magie de vous faire sourire
Qu’ils soient enfants, bébés ou adolescents
La beauté de leur visage resplendit .

La sincérité qui s’y dessine est unique
Ils n’ont pas le sourire de l’enfant bien éduqué
Pas le sourire du commerçant du quartier;
Ils ont quelque chose de singulière unique.

Souvent il est inutile qu’ils s’expriment,
Leur sourire est un cadeau avant noël
Un clin d’oeil pour passer une belle journée
Ou un bon souvenir qui n’est pas de la frime.

Louisa

 

L’automne d’une petite fille

Dans la rue déserte, dormaient quelques mendiants
Quand tu passais, tenant la main de ta maman ;
De ton beau sourire un peu édentée ;
Le soleil et moi t’avons remarquée.

 

D’une autre main, tu serrais une grenade
Laissant au Dieu Râ admirer les beaux saphirs
Le temps de la promenade
Le temps d’un sourire.

 

Devant tant de cadeaux, j’ai cueilli ton aumône
J’ai admiré autrement le ciel , l’automne ;
Je souriais encore lorsque je rentrais chez moi ;
Dans ma menue chaumière au feu de bois

Louisa

 Les chemins de l’automne
– Isabelle Aubret

Alison Balsom – Autumn Leaves
(Les Feuilles Mortes)

UN CHIEN QUI AIME LES CHATS

Heureusement ou malheureusement, mon animal est trop sensible
Il aime tout le monde, les humains, les chiens et les chats
Il vivrait bien à côté de Mounie, la chatte de la cousine
Mon amour de chien, aime bien, je crois, les chats.

peinture de jep papy pour Louisa

Il promène sa luxueuse beauté partout, à la campagne,
Dans notre quartier ou bien dans des rues incertaines ;
Il avance noble et fier en évitant les bris de vaisselle,
Les canettes , tout ce qui pouvait blesser ses pattes.

Il est joueur quand un chien jouait avec lui ;
Il pouvait être sérieux quand on se moquait de lui ;
Brave chien qui, jamais n’aboie; mord par moment ;
Un chien qui , avec sa cataracte , a un tempérament.

Une seule fois, il s’était approché de la Mounie
La fameuse chatte de notre cousine
Et, a reçue illégitimement une fessée ;
La Mounie, dépitée, est venue le consoler.

La Mounie, la douce chartreuse, l’a deviné.
Et sur le même tapis ils se sont envolés.

Louisa

Il est jours fastes et d’autres jours pas du tout.


Alison Balsom, Haydn Trumpet Concerto

Afin de de les connaître, il faudrait regarder le calendrier
Et surtout ne pas vouloir sauver le monde, ou faire des projets ;
Qu’importe si la lune est pleine autant que le frigo ;
Qu’importe si le chien est calme et veut faire le beau.

Surtout ne pas solfier , laisser cela au dieu de la musique ;
La vaisselle est à faire mais pas avec vos doigts maladroits ;
Vous vous cognez partout alors que la pièce est magnifique ;
Les objets tombent, et vous hurlez comme un putois .

Voilà que la nuit tombe elle en même temps que la pilule
Que vous devez donner au chien, nom d’un d’une libellule !!!
Là bas, les plantes et les fleurs attendront d’être arrosés ;
Le téléphone sonne, on attendra d’être plus calme, moins excitée

Louisa

Dans quelques semaines ce sera Noël


La reine de la nuit pense à lui resté la bas

Père Noël c’est la première fois qu’à toi, je m’adresse ;
Non que je veuille une poupée qui pleure ,qui parle
Non pour te parler de mon frère resté la-bas
C’est pour te dire que je pense à lui sans cesse.

Tu dois être âgé et recevoir beaucoup de lettres
Qui te demandent des jouets de toutes sortes
Cette année est différente si tu savais, peu importe,
Je ne vais pas te raconter les misérables par lettre.

Nous venons d’un pays où il fait plus chaud qu’ici…
Je sais que les dattes commencent à mûrir,
Je ne sais comment vont mes copains et copines
Ce n’est pas ma tasse de thé d’écrire, je suis trop petite.

Je sais que tu te fais âgé et qu’on te demande l’impossible
Moi, je dis que les gens âgés devraient ne plus travailler ;
Ils devraient, soit garder leurs petits enfants, soit se reposer ;
Dis-moi Père Noël viendras tu dans mes rêves impossibles ?

Louisa

CHOU BLANC
retour sur la rubrique du même tabac
« La poésie, c’est le sourire du langage« 

RETRO :
C’est du même tabac…..

Share Button

3 réflexions sur « POESIE : MAMY LOUISA EN NOVEMBRE »

  1. Ping : ADIEU MAMY TOUTOU Il nous reste Louisa | JOURNAL LA CHOUETTE

  2. OLIVER

    bonjour , toujours un bonheur de revisiter mes poèmes, dans META la musique jouée à la flute est merveilleuse, tout est merveilleux – MERCI – BONNE JOURNEE Jean-Pierre –

    Répondre
  3. OLIVER

    BONSOIR Jean Pierre, il me vient l’idée de t’adresser un jour une photocopie d’une illustration d’un JOURNAL que notre entreprise tenait , c’est amusant , mais c’est le même caractère qui ressort,sur cette photocopie , j’ai revisiter la page de mes poèmes, et j’ai aimé tout la page surtout de la pluie, My Way par Fabio VETRO que je suis sur internet pour jouer certains airs qui ont des partitions et aussi Isabelle AUbray DANS SA CHANSON de l’automne, la trompettiste , je la regarderai à nouveau, elle joue formidablement bien. C’est une belle page de poésie , tu as trouvé de magnifiques peintures qui s’accordent avec mes thèmes et je t’en remercie. Celui que j’ai aimé aussi c’est la position d’un chien dans son sommeil. Tu dois faire un tas de recherches pour cela , et je t’en remercie. bonne soirée – AMITIES – Danielle

    Répondre

Répondre à OLIVER Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *