INFO DU 19 08 2013 – LE CHOURIANT – IL Y A QUELQUE CHOSE QUI CLOCHE

 LA CLOCHE SE DÉTACHE PENDANT LA MESSE
 France 18/08/2013 – 16:52

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Les paroissiens de l’église de Saint-Pierre-du-Champ, en Haute-Loire, en sont quittes pour une grosse frayeur: pendant la messe, dimanche, la cloche d’une tonne s’est détachée, sans heureusement éventrer le plafond de l’église.

« Il y a eu un bruit énorme, on pensait que c’était une bombe », a témoigné un paroissien septuagénaire. Seule une paroissienne a été très légèrement blessée au bras par des débris de plâtre tombés du plafond.

Vers 10 heures, l’une des deux cloches s’est décrochée, la pièce en bois et métal qui la retenait ayant cédé. Vraisemblablement usée par le temps, car les cloches installées depuis 1937 carillonnaient les heures et les demi-heures… nuit et jour.

Pour ne prendre aucun risque, le maire de cette petite commune de 500 âmes a décidé d’arrêter le carillon et de fermer l’Eglise jusqu’à nouvel ordre.

minilogo chouriant

 PEPONE CETTE CLOCHE DE DON CAMILLO EST A RÉPARER …
C’EST CLOCHE MERDE… !

Non mais tu déconnes Jésus ou quoi… !!! Même les grenouilles du bénitier  demandent leur mutation…. Trop dangereux … !
Je comprends maintenant que les églises ne soient plus fréquentées que par des potes âgés… n’ayant plus rien à perdre, ils n’ont pas peur  que le ciel  leur tombe sur la tête…
Là le ciel, il était un peu chargé … une tonne… !
Songez y  mémé vous qui craignez toujours que le curé  par mégarde vous colle un coup de goupillon sur la tronche..Là on fait plus dans la dentelle… ! Tu la prends sur le pied et tu repars à cloche pieds… !

Et puis quand même saint Pierre t’aurais pu la retenir quelques heures de plus … !
Mais la lâcher pendant la messe … ! La quête n’était pas bonne…ou quoi ? c’est la crise tu sais … !
Ça sent la contestation là haut… moi qui pensais y trouver le calme et la sérénité…… c’est donc comme ici bas…. on baisse les bras …. bras en croix  …. partout tout fout le camps….
ya vraiment quelque chose qui cloche … !

L’attraction terrestre,  ce n’est pas rien … ! Surtout quand tu as deux cloches d’une tonne chacune !
C’est presque comme les seins de la Lucette … ! Vu ce qui est arrivé, va bien falloir que quelqu’un aille contrôler s’ils tiennent bien … Je veux bien me porter volontaire… C’est moins dangereux que d’aller à la messe.. Bien que si les affinités sont concordantes, en dehors du risque d’étouffement au  moment du contrôle,  il restera à gérer  le risque de passer après au confessionnal…… mais heureusement que lui, il est loin du clocher … !

Notre père qui êtes aux cieux … Ben restez y… ! Personne n’a envie de vous prendre sur la tronche..! Là je crois que c’est trop je vais encore me faire sonner les cloches …!

Vous voyez  quand on est âgé ( et pas vieux…! non mais ..!) on peut rire de toux…. ça dégage les bronches….

SAINT JEAN EUDES
Fondateur des Eudistes et de l’Institut Notre-Dame de Charité (✝ 1680)

Il est contemporain de saint Vincent de Paul et sa vocation s’explique en grande partie par la situation religieuse de la France à son époque.
Le peuple, écrit-il, «avait remplacé la foi par la sorcellerie et la superstition»; les puissants «donnaient l’exemple de tous les vices»; les prêtres étaient «ignorants et souvent corrompus, abandonnant leur troupeau dès qu’apparaissaient la peste ou une épidémie». Pour y remédier, s’appuyant sur ses dons évidents pour la prédication, il organise des «missions paroissiales», en Bretagne, en Normandie, en Bourgogne et jusqu’à la cour du roi Louis XIV, pour une annonce systématique de l’Évangile, près de cent quinze missions entre 1632 et 1675.

Pour mieux se consacrer à cet apostolat, il quitte l’Oratoire en 1643 et fonde, à Caen, « la Congrégation de Jésus et de Marie » (les Pères eudistes), qui se voue aux missions ainsi qu’à la fondation des séminaires pour la formation d’un meilleur clergé.

En 1642, il crée également « l’Institut Notre-Dame de Charité », dont les religieuses se consacreront, entre autres ministères, à la réhabilitation des femmes prostituées.
Son action s’appuie sur la compassion du cœur de Marie et la miséricorde du cœur de Jésus.
Ayant renoncé à la charge de premier supérieur général de sa congrégation, il s’éteint à Caen en 1680, à l’âge de soixante-dix neuf ans. Il a été canonisé le 31 mai 1925.

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