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Métaphore: Deux moines et une femme


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Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline


BLOC NOTE   de Choucaline

« 
Les capacités de notre cerveau
à marcher sur le chemin de vie »


LA FIN DU CHEMIN
Didier Barbelivien – Jean de France

Métaphore: Deux moines et une femme

Le Zen nous déprend de nos façons ordinaires de penser.

Il nous transmet, au-delà des concepts, des mots, une vérité qui pointe directement au cœur de l’homme.

 

En s’apprêtant à traverser la rivière, deux moines Zen rencontrèrent une très belle jeune femme qui désirait aussi traverser, mais qui avait très peur.

Aussi l’un des moines la prit sur ses épaules et la porta jusqu’à l’autre rive.
Son camarade était furieux. S’il ne dit rien, il bouillonnait à l’intérieur car ce qu’avait fait l’autre moine était interdit !
Un moine bouddhiste ne devait pas toucher une femme.
Et non seulement il l’avait touchée, mais il l’avait aussi portée sur ses épaules.

Après de nombreux kilomètres ils atteignirent le monastère. En franchissant la porte, le moine en colère se retourna vers son compagnon et lui dit:
– Eh bien, je vais devoir parler de cette affaire au Maître et lui raconter ce que tu as fait. Car ce que tu as fait est interdit !
Le premier moine avait l’air surprit  et demanda :
– De quoi parles-tu, qu’est-ce qui est interdit ?
– As-tu tout oublié ? demanda le second. Tu as porté cette belle jeune femme sur tes épaules !
Le premier moine rit et répondit :
– Oui, je l’ai portée. Mais je l’ai laissée près de la rivière, à des kilomètres en arrière.
Mais toi, es-tu encore en train de la porter ?


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La sorcière Yamamba en échec


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Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline BLOC NOTE
de Choucaline


« 
Les capacités de notre cerveau
à marcher sur le chemin de vie »


LE CHEMIN PAPA

Le Zen nous déprend de nos façons ordinaires de penser. Il nous transmet, au-delà des concepts, des mots, une vérité qui pointe directement au cœur de l’homme.

Il était une fois … deux moines, qui s’en allaient rejoindre leur couvent près d’Edo ». Ils avaient été retardés par un couple de paysans, qui leur avait demandé de bénir leur fils nouveau-né, et leur maison, et le troupeau. Ils avaient bu par politesse: et charité de cœur,
une ou deux coupes de saké. Maintenant, Ils se trouvaient à la lisière de la forêt, et déjà la nuit tombait.
Or l’un des deux moines était aveugle et son compagnon le guidait: . , .
«Ne crains rien, Djiro! dit le moine éclaireur; nous allons devoir traverser la forêt, où vivent, selon les légendes, monstres et sorcières, mais J ouvre 1 œil, et Je te protégerai contre tous les dangers. ».
Et il ajouta, d’une voix qu’il raffermissait :
«Tiens mon bras, et avançons hardiment! »
Les deux moines parvenaient au cœur de la foret » quand soudain une tarasque abominable sortit d’un fourré.
C’était Yamamba, la vieille sorcière édentée, l’effrayante dame des bois.
Elle était immense, avec ses grandes narines, un nez monstrueux, des yeux injectés de sang où semblaient tournoyer des roues de feu.
Sa langue rouge écarlate pendait jusqu’à sa taille .. Ses cheveux gris et sales flottaient au vent. Elle avait de très longs bras de squelette terminés par des griffes cauchemardesques, et ses pieds velus frappaient le sol avec rage. Le moine qui servait de guide se mit à trembler de
tous les os de son corps.
«Qu’as-tu, mon frère, je n’entends plus ta voix, et je te sens chanceler contre moi, parle-moi, je t’en prie !»
Le moine clairvoyant, paralysé de terreur, ne pouvait émettre aucun son. Et l’horrible Yamamba s’avançait toujours, elle tendait vers les deux moines ses griffes acérées; ses yeux rougeoyaient, et sa bouche se tordait en un rire épouvantable.
«Je sens que tu n’es pas bien, dit l’aveugle, je ne comprends pas pourquoi, mais laisse-moi te soutenir et te guider à mon tour, appuie-toi sur rnoi l » Et d’un pas ferme, l’aveugle entraîna son compagnon en direction de Yamamba, qu’il ne voyait pas.
Le monstre stupéfait vit les deux moines s’avancer droit sur lui. Ils ne manifestaient aucune peur et semblaient indifférents à son aspect effroyable.
Alors Yamamba tira son énorme langue rouge et visqueuse hors du gouffre de sa bouche, jusqu’à ses pieds velus.
Elle les foudroya de son regard incandescent, elle ouvrit et ferma ses griffes menaçantes. Tout cela en vain. Entraînés d’une main ferme par l’aveugle, les deux moines avançaient toujours.
Yamamba vaincue s’évanouit dans les airs, et disparut.

Choucaline plus proche de toi tumeur– Ce récit donne à réfléchir: des deux, qui était le véritable infirme?


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LIVRES : Les secrets du succès et de la paix intérieure


Vos poèmes, vos poèmes préférés – Les livres à nous signaler, vos impressions sur ceux que vous avez lus, et que vous voulez nous conseiller….

Pensez à nos potes âgés qui n’ont pas de jardin et cultivent leur esprit…!

Les secrets du succès et de la paix intérieure

 D’après le Docteur Wayne W.Dyer,
il existe dix secrets qui garantissent le succès et la paix intérieure.
Les voici :

1er secret : avoir un esprit ouvert à tout et attaché à rien

Cela signifie qu’il faut :

  • Croire que tout est possible si on a suffisamment de volonté
  • Renoncer totalement à ce à quoi on est attaché (lieu, objet, personne)
  • Accueillir ce que nous offre l’univers sans juger

2ème secret : ne pas mourir sans avoir joué sa propre musique intérieure

Cela signifie qu’il faut :

  • Écouter son coeur
  • Prendre des risques pour sa passion
  • Savoir que l’échec n’est qu’une illusion et qu’il ne faut pas en avoir peur

3ème secret : vous ne pouvez pas donner ce que vous ne possédez pas

Cela signifie qu’il faut :

  • Changer ce que nous n’aimons pas en nous
  • S’aimer soi-même et se respecter
  • Trouver son but

4ème secret : adopter le silence

Cela signifie qu’il faut :

  • Découvrir la valeur du silence
  • Intégrer plus de silence dans sa vie
  • Prendre consciemment contact avec Dieu

5ème secret : renoncer à son histoire personnelle

Cela signifie qu’il faut :

  • Ne pas se raccrocher au passé
  • Vivre l’instant présent et accepter la réalité telle qu’elle est

6ème secret : il est impossible de résoudre un problème avec le même esprit qui l’a créé

Cela signifie qu’il faut :

  • Accepter le monde tel qu’il est
  • Savoir qu’il existe un lien entre chaque individus, que nous sommes tous membre de la famille humaine

7ème secret : il n’y a pas de ressentiment justifié

Cela signifie qu’il faut :

  • Accepter l’opinion des autres même si elle est différente de la nôtre
  • Pardonner à ceux dont nous pensons qu’ils nous ont blessé

8ème secret : traitez vous comme la personne que vous aimeriez être

Cela signifie qu’il faut faire partout place à l’inspiration.

9ème secret : chérissez le divin en vous

Cela signifie que vous êtes Dieu créateur de votre vie et du monde dans lequel vous vivez.

10ème secret : la sagesse consiste à éviter toute pensée affaiblissante

Cela signifie que votre esprit se nourrit avec des pensées de paix, d’amour, d’acceptation et de bonne volonté.

Source : Les 10 secrets du succès et de la paix intérieure
Dr Wayne W. Dyer –  (Editions J’ai Lu)

Beauté Cosmétiques

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez CHOU BLANC  retour sur la rubrique du même tabac
« La poésie, c’est le sourire du langage »

    RETRO :
C’est du même tabac…..

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CONTE ZEN: Changez votre regard…..

Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline– BLOC NOTE de Choucaline
– « Les capacités de notre cerveau:

Les hommes gémissent dans des chaînes imaginaires alors qu’ils sont libres et heureux. (Henri Brunel)

« Jamais nous n’avons été aussi libres que sous l’occupation allemande » Jean-Paul Sartre, « La République du silence »

« Il suffit de changer le regard » dit le conte zen

Il était une fois un empereur qui voulait choisir en qualité de Premier Ministre le plus sage, le plus avisé de ses sujets. Après une série d’épreuves difficiles, il ne resta en lice que trois concurrents:

« Voici le dernier obstacle, l’ultime défi, leur dit-il. Vous serez enfermés dans une pièce. La porte sera munie d’une serrure compliquée et solide. Le premier qui réussira à sortir sera l’élu! »

Deux des postulants, qui étaient fort savants, se plongèrent aussitôt dans des calculs ardus. Ils alignaient des colonnes de chiffres, traçaient des schémas embrouillés, des diagrames hermétiques. De temps en temps, ils se levaient, examinaient la serrure d’un air pensif, et retournaient à leurs travaux en soupirant.

Le troisième, assis sur une chaise, ne faisait rien. Il méditait. Tout à coup, il se leva, alla à la porte, tourna la poignée: la porte s’ouvrit, et il s’en alla.


La solution est là, évidente et simple.
Il suffit pour la découvrir de « changer le regard ».
Les hommes gémissent dans des chaînes imaginaires alors qu’ils sont libres et heureux.

SOURCE: Extrait tiré des « Nouveaux contes zen » d’Henri Brunel

« Jamais nous n’avons été aussi libres que sous l’occupation allemande »

Jean-Paul Sartre, « La République du silence »

Loin d’idéaliser cette sombre période, l’intellectuel français loue, dans cet article paru dans les Lettres françaises en septembre 1944, sa définition de la liberté.

En fait, sa formule ne prend sens qu’au prix d’une nouvelle définition de la liberté. L’objectif théorique de L’Être et le Néant, publié en 1943, est de démontrer que l’homme est ontologiquement, par essence, liberté.

Par le simple fait d’exister et d’être conscient, tout homme est projet, visée.
Selon une citation de L’Être et le Néant, il est même « condamné à être libre ». « Être libre n’est pas choisir le monde historique où l’on surgit – ce qui n’aurait point de sens – mais se choisir dans le monde, quel qu’il soit. »

On peut ainsi être libre au milieu d’une guerre, dans un camp de travail, en prison ou même en montant sur l’échafaud. La liberté est toujours en situation, mais elle ne dépend pas de cette dernière. Elle a, dans la nature humaine, une assise plus profonde.

. Les actes, les paroles, les pensées prennent dès lors un poids qu’ils n’ont pas d’ordinaire. En temps de paix, nous accordons moins de prix à la liberté : tel est ici le paradoxe pointé par le philosophe.

Choucaline plus proche de toi tumeur
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