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C’ est quoi l’assomption Mamy..?

Le 15 août est la grande fête religieuse de l’été et de la période des congés.
Pendant nos vacances, arrêtons nous pour réfléchir et célébrer la Vierge Marie.
Le 15 août  nous rapproche de Marie et nous rappelle qu’elle veille sur nous chaque jour.
Nous avons au ciel une Mère qui intercède pour ses enfants.

Dans la  série « Des femmes et Jésus « .
Nous ne pouvions que commencer par MARIE sa mère..!
Nous viendrons, de temps à autre, vous faire croiser la route de celles qui souvent méconnues étaient pourtant si présentent sur le chemin de Jésus.

barre verte

PEINTURE DE MURILLO

– C’ est quoi l’assomption Mamy..?

IL S’AGIT DE L’ASSOMPTION DE LA VIERGE MARIE
MON CHOUPINET

Musique d’ambiance

 L’Assomption de Marie au ciel

Au terme de sa vie terrestre, Marie, la mère de Jésus, a été « élevée corps et âme » au ciel. L’Assomption de Marie est souvent confondue avec l’Ascension du Christ,  Marie a été enlevée au ciel tandis que Jésus est monté au ciel. L’assomption ne veut pas dire que Marie n’est pas morte. Elle est morte comme toute personne humaine, comme Jésus lui-même est mort.

  Dans l’Église catholique, l’Assomption de la Vierge Marie est un dogme, c’est-à-dire une vérité de la foi qui fait autorité

Mais pour moi Mamy, c’est quoi la fête de l’Assomption…?

Le 15 août est la grande fête religieuse de l’été et de la période des congés. Pendant nos vacances, arrêtons nous pour réfléchir et célébrer la Vierge Marie. Le 15 août  nous rapproche de Marie et nous rappelle qu’elle veille sur nous chaque jour. Nous avons au ciel une Mère qui intercède pour ses enfants.

 La fête de l’Assomption  élève notre esprit : Marie par son assomption au ciel est déjà ce que nous serons. Elle nous invite à  nous élever spirituellement au-delà de nos préoccupations purement terrestres et à nous rendre attentifs aux valeurs importantes que nous négligeons souvent.
Aujourd’hui, notre regard doit s’élever vers le ciel de toutes nos espérances.

Mamy tu connais une prière pour la fête de l’Assomption ?

Aujourd’hui,
notre regard doit s’élever
vers le ciel de toutes nos espérances.

Marie, notre soeur Marie,
fille de notre terre,
est élevée dans la gloire
parce qu’elle est aussi
la mère de notre Dieu.

Marie est la première
à pouvoir placer ses pas
dans les pas de son fils…
…jusqu’au bout du voyage.

Nos chemins, eux aussi,
conduisent à la gloire.
Nous ne le voyons pas,
mais Marie nous le dit
par son Assomption.

Toi, Notre-Dame,
consolide en nos coeurs
la foi et l’espérance
et remplis-nous de cet amour
qui vaincra toute mort
le jour de notre propre assomption.

CHOUPINETTE CONNAIS-TU L’HISTOIRE DE L’ASSOMPTION…?

Consécration de la France à Marie en 1638. Vœu de Louis XIII et fête de l’Assomption.

Lors ce qu’il eu la certitude d’avoir un enfant (Louis XIV né en 1638) après 22 ans de mariage, Louis XIII en reconnaissance fit la consécration de la France à Marie.
C’est à Toulouse que ce voeux a été fait, dans la chapelle des pénitents bleus.
Il déclare, le 10 février 1638, qu’il prend la très sainte vierge comme protectrice et patronne du Royaume de France. 

Il demande que tous les ans, le jour de la fête de l’Assomption, on fasse, dans toutes les églises, commémoraison de la consécration de la France à Marie à la Grande Messe et qu’après les vêpres on fasse une procession solennelle. 

Le 15 août fête nationale en France

Le 15 août fut longtemps le jour de la fête nationale en France et le demeurera jusqu’à la fin de l’empire, mais il faut dire que c’était le jour anniversaire de la naissance de l’Empereur Napoléon Ier.
Celui-ci, qui est né le 15 août 1769, a fait du 15 août la Saint Napoléon qui redeviendra la fête de l’Assomption à la Restauration.
L’histoire de la fête nationale en France a une période un peu  complexe. Le 14 juillet est fête nationale depuis 1880.

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CONTE: L’enfant de la bonne vierge


logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Dans la Chouette ma Mamy se transforme en conteuse

Aujourd’hui dans ce conte nous allons parler d’une enfant recueillie par la vierge…
L’enfant de la bonne vierge

UN CONTE  :
L’enfant de la bonne vierge

Un Conte de Wilhelm et Jacob Grimm

Près de l’entrée d’une grande forêt vivait un bûcheron avec sa femme et son seul enfant, qui était une jeune fille âgée de trois ans. Mais ils étaient si pauvres qu’ils ne savaient que lui donner à manger, car ils n’avaient que leur pain de chaque jour.
Un matin le bûcheron s’en alla tout soucieux travailler dans la forêt, et, comme il fendait du bois, une grande et belle femme se présenta tout à coup devant lui : elle portait sur la tête une couronne d’étoiles brillantes, et, lui adressant la parole, elle lui dit :
« Je suis la Vierge Marie, mère du petit enfant Jésus; tu es pauvre et misérable, amène-moi ton enfant; je l’emporterai avec moi, je serai sa mère et j’en prendrai soin. »
Le bûcheron obéit; il alla chercher son enfant et le remit à la Vierge Marie, qui l’emporta là-haut dans le ciel.
Là l’enfant se trouvait très heureuse; elle mangeait du biscuit, buvait d’excellente crème; ses vêtements étaient d’or, et les anges jouaient avec elle.

Quand elle eut atteint quatorze ans, la Vierge Marie l’appela un jour et lui dit :
« Ma chère enfant, j’ai un grand voyage à faire; je te confie ces clefs des treize portes du paradis. Tu peux en ouvrir douze et voir les merveilles qu’elles renferment; mais la treizième porte qu’ouvre cette petite clef que voici, celle-là t’est défendue; garde-toi bien de l’ouvrir, car il t’arriverait malheur. »
La jeune fille promit d’obéir, et, quand la Vierge Marie fut partie, elle commença à visiter les appartements du ciel; chaque jour elle en ouvrait un jusqu’à ce qu’elle eût achevé de voir les douze. Dans chacun se trouvait un apôtre entouré de tant de lumière que de sa vie elle n’avait vu un pareil éclat ni une telle magnificence.
Elle s’en réjouit, et les bons anges qui l’accompagnaient toujours s’en réjouissaient avec elle.
Maintenant restait encore la porte défendue; elle se sentit une grande envie de savoir ce qui était caché là derrière, et elle dit aux bons anges :
« Je ne veux pas l’ouvrir tout entière, mais je voudrais l’entrebâiller un peu, pour que nous puissions voir à travers l’ouverture.
« Oh ! non, » dirent les bons anges, « ce serait un péché : la Vierge Marie l’a défendu, et il pourrait, bien t’en arriver malheur. »
La jeune fille ne dit rien, mais le désir et la curiosité continuèrent à parler dans son cœur et à la tourmenter sans lui laisser de repos. Quand les bons anges furent enfin partis, elle pensa en elle-même : « Maintenant je suis toute seule; qui me verra ? » Et elle alla prendre la clef.
Quand elle l’eut prise, elle la mit dans le trou de la serrure, et, quand elle l’y eut placée, elle tourna.
La porte s’ouvrit et elle vit au milieu du feu et de la lumière la Trinité assise; elle toucha légèrement la lumière du bout de son doigt, et son doigt devint couleur d’or.
Alors elle eut peur, elle ferma bien vite la porte et se sauva. Mais elle continua d’avoir peur, quoi qu’elle fit, et son cœur battait toujours sans vouloir se calmer, et la couleur de l’or restait sur son doigt et ne s’effaçait pas, quelque soin qu’elle prît de le laver.

Au bout de peu de jours la Vierge Marie revint de son voyage, appela la jeune fille et lui demanda les clefs du paradis.
Pendant qu’elle présentait le trousseau, la Vierge la regarda et lui dit : « N’as-tu pas aussi ouvert la treizième porte ? »
– « Non, »
répondit-elle.
La Vierge porta la main à son cœur; elle sentit qu’il battait et battait très fort, et s’aperçut bien qu’elle avait violé son commandement et ouvert la porte défendue.
Elle lui dit encore : « En vérité, ne l’as-tu pas fait ? »
– « Non, » dit une seconde fois la jeune fille.
La Vierge regarda le doigt qui s’était doré en touchant la lumière du ciel, et ne douta plus que l’enfant ne fût coupable, et lui dit une troisième fois : « Ne l’as-tu pas fait ? »
– « Non, »
dit la jeune fille une troisième fois.
La Vierge Marie dit alors :
« Tu ne m’as pas obéi et tu as menti; tu ne mérites plus de rester dans le ciel. »

La jeune fille tomba dans un profond sommeil, et, quand elle se réveilla, elle était couchée sur le sol, au milieu d’un endroit désert.
Elle voulut appeler, mais elle ne pouvait faire entendre aucun son; elle se leva et voulut se sauver, mais, de quelque côté qu’elle se tournât, elle était arrêtée par un épais taillis qu’elle ne pouvait franchir.
Dans le cercle où elle était ainsi enfermée se trouvait un vieil arbre dont le tronc creux lui servit d’habitation. La nuit elle y dormait, et, quand il faisait de la pluie ou de l’orage, elle y trouvait un abri.
Des racines, des baies sauvages étaient sa seule nourriture, et elle en cherchait aussi loin qu’elle pouvait aller. Pendant l’automne, elle ramassait les feuilles de l’arbre, les portait dans le creux, et quand la neige et le froid arrivaient, elle venait s’y cacher.
Ses vêtements s’usèrent à la fin et se détachèrent par lambeaux; il fallut encore qu’elle s’enveloppât dans les feuilles. Puis, dès que le soleil reprenait sa chaleur, elle sortait, se plaçait au pied de l’arbre, et ses longs cheveux la couvraient de tous côtés comme un manteau. Elle demeura longtemps dans cet état, éprouvant toutes les misères et toutes les souffrances du monde.


Un jour de printemps, le roi du pays chassait dans la forêt et poursuivait une pièce de gibier.

 

L’animal s’étant réfugié dans le taillis qui entourait le vieil arbre creux, le prince descendit de cheval, sépara les branches du fourré et s’y ouvrit un chemin avec son épée.
Quand il eut réussi à le franchir, il vit assise sous l’arbre une jeune fille merveilleusement belle, que ses cheveux d’or couvraient tout entière jusqu’à la pointe des pieds. Il la regarda avec étonnement et lui dit :
« Comment es-tu venue dans ce désert ? » Elle resta muette, car il lui était impossible d’ouvrir la bouche.
Le roi lui dit encore : « Veux-tu venir avec moi dans mon palais ? »
Elle fit seulement un petit signe de la tête. Le roi la prit dans ses bras, la porta sur son cheval et l’emmena dans sa demeure, où il lui fit prendre des vêtements et lui donna tout en abondance. Quoiqu’elle ne pût parler, elle était si belle et si gracieuse qu’il se prit pour elle d’une grande passion et l’épousa.

Une année à peu près s’était écoulée quand la reine mit au monde un fils.
La nuit, comme elle était couchée seule dans son lit, la Vierge Marie lui apparut et lui parla ainsi : « Si tu veux enfin dire la vérité et avouer que tu as ouvert la porte défendue, je t’ouvrirai la bouche et te rendrai la parole; mais si tu t’obstines dans le péché et persistes à mentir, j’emporterai avec moi ton enfant nouveau-né. »
Alors il fut permis à la reine de répondre, mais elle dit :
« Non, je n’ai pas ouvert la porte défendue. » Et la Vierge Marie enleva de ses bras son enfant nouveau-né et disparut avec lui. Le lendemain matin, quand on ne trouva plus l’enfant, un bruit se répandit parmi les gens du palais que la reine était une ogresse et qu’elle l’avait tué. Elle entendait tout et ne pouvait rien répondre; mais le roi l’aimait trop tendrement pour croire ce qui se disait.

Au bout d’un an la reine eut encore un fils; la Vierge Marie se présenta de nouveau la nuit devant elle et lui dit :
« Si tu veux enfin avouer que tu as ouvert la porte défendue, je te rendrai ton enfant et je te délierai la langue; mais si tu t’obstines dans ton péché et continues à mentir, j’emporterai encore ton nouveau-né. »
La reine dit comme la première fois :
« Non, je n’ai pas ouvert la porte défendue. » Et la Vierge lui prit dans ses bras son enfant et l’enleva dans le ciel. Le matin, quand les gens apprirent que l’enfant avait encore disparu, ils dirent tout haut que la reine l’avait mangé, et les conseillers du roi demandèrent qu’on lui fit son procès.
Mais le roi l’aimait si tendrement qu’il n’en voulut rien croire et qu’il ordonna à ses conseillers de ne plus reparler de cela sous peine de la vie.

La troisième année, la reine donna le jour à une belle petite fille, et la Vierge Marie lui apparut encore pendant la nuit et lui dit :
« Suis-moi. »
Elle la prit par la main, la conduisit dans le ciel et lui montra ses deux premiers-nés qui lui souriaient et jouaient avec le globe du monde. Et comme la mère se réjouissait de les voir, la Vierge Marie lui dit : « Si tu veux avouer maintenant que tu as ouvert la porte défendue, je te rendrai tes deux beaux petits garçons. »
La reine répondit pour la troisième fois :
« Non, je n’ai pas ouvert la porte défendue. »
La Vierge la laissa retomber sur la terre et lui prit son troisième enfant.

 

Le lendemain matin, quand on ne le trouva plus, chacun dit tout haut :


« La reine est une ogresse; il faut qu’elle soit condamnée à mort. »
Et le roi ne put cette fois repousser l’avis de ses conseillers.
Elle fut appelée devant un tribunal, et comme elle ne pouvait ni répondre ni se défendre, elle fut condamnée à périr sur le bûcher.
Le bois était amassé, elle était attachée au poteau, et la flamme commençait à s’élever autour d’elle, lorsque son cœur fut touché de repentir : Si je pouvais avant de mourir, pensa-t-elle, avouer que j’ai ouvert la porte !
Et elle cria : « Oui, Marie, je suis coupable ! »
Comme cette pensée lui venait au cœur, la pluie commença à tomber du ciel et éteignit le feu du bûcher : une lumière se répandit autour d’elle, et la Vierge Marie descendit, ayant à ses côtés les deux fils premiers nés et portant dans ses bras la petite fille venue la dernière.
Elle dit à la reine d’un ton plein de bonté :
« Il est pardonné à celui qui avoue son péché et s’en repent. »
Elle lui présenta les enfants, lui délia la langue et lui donna du bonheur pour toute sa vie.

SOURCE:    https://contes.servicegratuit.fr/index.php?home=#debut
https://www.childstories.org/fr/lenfant-de-marie-1826.html

logo mamy raconte aux pitchousALLEZ MAMY RACONTE…!
retour sur la rubrique du même tabac

RETRO : C’est un retour sur une histoire déjà racontée….

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SCULPTURE: C’est moi qui l’ai fait !.. signé Michel Ange


logo lardon 1L’ART ET LA PALETTE
AU
CHOU :


Coucou c’est toujours moi …
Merci d’être revenu nous voir …
Aujourd’hui je vous propose de découvrir:

Un détail de la Pietà de MICHEL ANGE
La Pietà est une statue en marbre de Michel-Ange de la basilique Saint-Pierre du Vatican à Rome, représentant le thème biblique de la « Vierge Marie douloureuse », tenant sur ses genoux le corps du Christ…
Nous allons voir ensemble pour quelle raison Michel-Ange a choisi de signer sa Pietà…. Et surtout comment ….!!!!

Michel-Ange, () est un sculpteur, peintre, architecte, poète et urbaniste florentin de la Haute Renaissance.Ses œuvres les plus connues sont universellement considérées comme des
chefs-d’œuvres de la Renaissance :


Par une froide nuit à Rome en 1501, Michel-Ange pénètre le plus discrètement possible dans la Basilique Saint-Pierre, s’assurant auparavant que personne ne l’ait repéré.
Il s’approche de sa propre sculpture, La Pietà, réalisée quatre ans plus tôt, pour y rajouter un détail d’importance...

La Pietà, cette sculpture exceptionnelle qu’il a achevée en moins d’un an, est le fruit d’un travail acharné.

logo lardon D  Elle représente la Vierge tenant dans ses bras son fils Jésus après la descente de la croix. L’ensemble est taillé dans un unique bloc de marbre qu’il a lui-même choisi.
Michel-Ange est très fier de cette Pietà qu’il a réalisée à la demande d’un cardinal. C’est sa première grande commande d’artiste alors qu’il n’a que 24 ans.
Un jour, alors qu’il souhaitait voir une dernière fois son oeuvre avant de partir à Florence, Michel-Ange surprend la conversation de visiteurs venus admirer la sculpture.
L’un d’eux déclare que son auteur ne serait pas Michel-Ange, mais plutôt un certain Gobbo le Milanais… 

logo lardon DMichel-Ange est un homme au caractère difficile.

Il peut se montrer agressif, querelleur et…susceptible !
Profondément blessé par cette absence de reconnaissance, il décide alors de s’introduire et de s’enfermer de nuit dans la Basilique.
cest-moi-qui-lai-faitÉclairé à la lumière vacillante d’une bougie fixée sur son casque, il sculpte toute la nuit un bandereau sur la poitrine de la Vierge sur lequel il grave «MICHAL.AGELUS BONAROTUS FLORENT.FACIEBAT», c’est à dire « Michel-Ange Buonarroti le Florentin l’a fait».

Une manière de montrer à tous et pour l’éternité qu’il était bel et bien un génie.
Et cela, ses contemporains l’ont compris, puisque La Pietà est la seule œuvre qu’il ait eu besoin de signer durant sa carrière…

Voici  ci-dessous, une révélation du chef d’œuvre de Michel-Ange, comme personne ne pourra plus le voir, photographié par l’artiste autrichien Robert Hupka.
Cette Interview exclusive de Robert Hupka à été réalisée lors de l’exposition présentée à la Chapelle de la Sorbonne à Paris en 1997
Une révélation unique saluée par toute la presse.


Video réalisée pour Arstella par Sebastien Cochin, 


SOURCE wikipedia
http://www.artips.fr article de Caroline Pochart
https://www.toutpourlesfemmes.com/archive/savoie-la-pieta-de-michel-ange

logo lardon 1LE LARDON

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C’est la fête de l’Immaculée Conception



BLOG
de MAMY KT


– Mamy ne fait pas que du point de croix

Elle est là aujourd’hui 8 décembre pour vous parler de l’immaculée conception qui fait l’objet de confusions multiples….

 

ON NE PEUT COMPRENDRE CE QU’EST L’IMMACULÉE CONCEPTION SANS PARLER AU PRÉALABLE  DU PÉCHÉ ORIGINEL
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l’état dégradé de l’humanité depuis la Chute, c’est-à-dire la désobéissance d’Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu qui, selon le Livre de la Genèse, mangent le fruit défendu de l’arbre de la connaissance du bien et du mal

L’Immaculée Conception est la conception de la Vierge Marie
« sans tache »,

Paul Rubens musée du Prado

 

L’Immaculée Conception est la conception de la Vierge Marie « sans tache », c’est-à-dire exempte du péché originel.
Il s’agit d’un dogme de l’Église catholique qui a été proclamé, le par le pape Pie IX , mais cette croyance existait déjà chez les Pères de l’Église au IVe siècle.
Elle est souvent confondue avec la conception virginale de Jésus-Christ, c’est-à-dire le dogme de l’Incarnation, mais elle ne concerne que la conception de Marie elle-même.

L’Immaculée Conception est célébrée par l’Église catholique le  lors de la fête qui lui est dédiée.

De nombreuses églises de par le monde sont dédiées à l’Immaculée Conception.
Dans l’art, en peinture comme en sculpture, l’Immaculée Conception est l’objet d’une iconographie importante.

En 1 minute  24

De la médaille miraculeuse

Médaille de l’Immaculée Conception, ou médaille miraculeuse (1830).

Lors des apparitions mariales dont Catherine Labouré s’est dite favorisée, rue du Bac à Paris en 1830, la Vierge se serait présentée, selon son récit, comme « conçue sans péché ». La médaille miraculeuse, frappée avec l’invocation « Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous », popularise la foi en la conception immaculée de Marie.

La langue de Bernadette était l’occitan de la montagne Bigourdane.
Elle a dit qu’elle avait interrogé la dame de l’apparition et que celle-ci lui a répondu dans sa langue:

 » Que soi era immaculata conception »
( je suis l’immaculée conception ).


SOURCE :  https://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/connaitre-et-aimer-dieu/marie/371604-la-fete-de-limmaculee-conception/

MAMY KT

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