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Les forces négatives qui nous ligotent


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Choucaline plus proche de toi tumeur

– BLOC NOTE
de Choucaline

« Les capacités de notre cerveau:


BONJOUR TRISTESSE ….. le bateau coule

Les forces négatives qui nous ligotent

Choucaline plus proche de toi tumeurQuelqu’un vient me voir et se plaint que rien ne marche pour lui, qu’il est découragé, déçu, etc.


Je le regarde et lui dis tout simplement :

« C’est que vous vous êtes inscrit dans l’école de la faiblesse. – Quelle école ? »

Je vois qu’il ne comprend pas et je lui explique :
« Voilà, dans cette école de la faiblesse, on ne fait aucun exercice pour se développer, affronter les difficultés, et on se réfugie dans les fauteuils, dans le confort, dans la paresse. »

C’est bien, c’est magnifique, mais que se passe-t-il à ce moment-là ?


 » On ralentit le mouvement intérieur, on diminue l’intensité de la vie, de la pensée, de l’esprit, et lorsque des problèmes, des épreuves se présentent on est immédiatement effondré.

Inscrivez-vous donc maintenant dans l’école de la force, c’est-à-dire essayez de maintenir toujours en vous l’activité, la vigilance, le dynamisme, l’enthousiasme, le courage.  

Sachant que les deux principes de la vie et de la mort sont éternellement en lutte, vous ne devez pas céder, ne pas laisser les forces négatives vous envahir et vous ligoter.

SOURCES: 
Omraam Mikhaël Aïvanhov  Voir le livre Puissances de la pensée (P0224FR),
chapitre VII

La pensée est une puissance, un instrument que Dieu a donné à l’homme pour qu’il puisse devenir créateur comme Lui, c’est-à-dire créateur dans la beauté, dans la perfection. Aussi doit-il être extrêmement vigilant et chercher sans cesse si ce qu’il fait avec sa pensée est vraiment bon pour lui et pour le monde entier. C’est de cela seulement qu’il doit s’occuper.
Puissances de la pensée Poche – 3 mai 2000
de Omraam Mikhaël Aïvanhov (Auteur)

Choucaline plus proche de toi tumeur

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LA TENDRESSE N°23 : DESTINÉE

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LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse 90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

DESTINÉE

Destinée est une chanson française, interprétée par Guy Marchand, écrite par Philippe Adler et Guy Marchand et composée par Vladimir Cosma. Elle a initialement été créée pour le film Les Sous-doués en vacances sorti en 1982.
Cette chanson a également été utilisée la même année dans le film
Le père Noël est une ordure lors d’une scène de slow entre Pierre Mortez (Thierry Lhermitte) et Katia (Christian Clavier).

  On était tous les deux destinés
À voir nos chemins se rencontrer
À s’aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

Destinée,
Inutile de fuir ou de lutter
C’est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C’est gravé


– Ce père Noël c’est pas le même que le mien … c’est sûr..!!!

papy-mamy-la-tendresse

Paroles de la chanson

DESTINÉE

On était tous les deux destinés
À voir nos chemins se rencontrer
À s’aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

Destinée,
Inutile de fuir ou de lutter
C’est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C’est gravé

L’avenir,
Malgré nous doit toujours devenir
Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués

Dans la vie,
Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.

Destinée,
Depuis longtemps j’avais deviné
Qu’à toi l’amour allait m’enchaîner
Quand je rencontrerai quelque part, ton regard,
Destinée,
Où es-tu toi qui m’est destinée
Si jamais vous vous reconnaissez
Je voudrais vous entendre crier
M’appeler

L’avenir,
Malgré nous doit toujours devenir
Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués

Dans la vie,
Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.

Destinée,
Encore une fois le cœur déchiré
Je suis un clown démaquillé
Le grand rideau vient de se baisser
Sur l’été

Destinée,
On était tous les deux destinés
À voir nos chemins se rencontrer
À s’aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

L’avenir,
Malgré nous doit toujours devenir
Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.

Destinée,
On était tous les deux destinés
À voir nos chemins se rencontrer
À s’aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

Destinée
Inutile de fuir ou de lutter
C’est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C’est gravé

Destinée
Encore un fois le cœur déchiré
Je suis un clown démaquillé
Le grand rideau vient de se baisser
Sur l’été

papy-mamy-la-tendresse
Paroles de la chanson

Couchés Dans Le Foin par Mireille

Il ne faut pas que je vous cache
Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches
Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches
Dans ma famille c’est un tort
Hélas le métier de toréador
N’a jamais été notre fort
J’aimerais mieux qu’on m’injurie
Qu’on me pende ou qu’on m’expatrie
Plutôt que de toucher un pis,
Un pis de ma vie
Je suis ainsi tant pis
Et c’est dommage
La fille de la fermière est charmante
Et on a le même âge
Par bonheur pour les amoureux
Il est au grand air d’autres jeux
Des jeux que j’aime davantage

REFRAIN
Couchés dans le foin
Avec le soleil pour témoin
Un p’tit oiseau qui chante au loin
On s’fait des aveux
Et des grands serments et des voeux
On a des brindill’s plein les ch’veux
On s’embrasse et l’on se trémousse
Ah! que la vie est douce, douce
Couchés dans le foin
Avec le soleil pour témoin

2
Vous connaissez des femmes du monde
Qui jusqu’à quatre vingts ans restent blondes
Qui sont folles de leur corps

Pour leurs amours il leur faut des décors
Des tapis des coussins en or
De la lumière tamisée
Et des tentures irisées
Estompant sous leurs baisers
Des appâts trop usés
Eh bien tant pis, tant pis
Mais c’est dommage
Quand on est vigoureux, quand on aime
Et qu’on a mon âge
Tous ces décors sont superflus
Les canapés je n’en veux plus
Je ne fais plus l’amour en cage
Gardez, gardez vos éclairages

♪♫♫♫♫♫♪

Sources:
www.paroles.net


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Mamy et Papy

Tendresse


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Une complainte pour les gens âgés…

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BLOC NOTE POÉTIQUE
par
Chou Blanc


– Un poème en chanson d’ANDRÉ  SYLVAIN…
Comme ils disent au « BALTO » …
« C’est beau comme un camion »

Les gens âgés.

.

Les gens âgés.

Les gens âgés écoutent la radio
Mais on ne joue jamais des chansons pour eux
Ce n’est pas payant
On leurs vend des calmants, des pilules des onguents,
Mais ce n’est n’est que d’amour
Dont ils ont besoin comme médicaments.

Les gens âgés, on les a oubliés
Tout au fond des foyers ou les gouvernements les ont enfermés
Ils ont tout donné, leur amour, leur santé,
Tout ça pour les enfants, ils ont tout sacrifié
Même les rêves les plus grands.
Une seule fois tous les ans
On viendra les visiter
Des parents s’est occupé
Une seule fois tous les ans
On viendra les embrasser, ça oblige le jour de l’An.

Refrain

On est tous des vieux
Qu’on le veuille ou non
On s’ra un jour comme eux
Même riches à millions
On est tous des vieux
Ce n’est qu’une question de temps
Heureux ou malheureux
D’avoir eu des enfants.

 

Les gens âgés, ne parlent même plus
Ils ont trop à dire, une vie à raconter
Qui va les écouter?
Ils se courbent le dos, et regardent leurs pieds
Se demandent pourquoi au bout du chemin
Ils sont arrivés
Ils ont tout donné, leur amour leur santé
Tous ça pour les enfants, ils ont tout sacrifié
Même les rêves les plus grands
Et du fond de leurs prisons
Ils relèvent parfois le front
Quand ils viennent pour signer
C’est quand vient la fin de mois
et le chèque de leurs pensions
Qu’on fait semblant de leur donner.

 

Les gens âgés ont le goût de pleurer,
Car ils ont tout le temps de renaître au passé
Revivre leurs 20 ans
Ils n’ont rien oublié, si leur dos à courbé
C’est qu’ils ont trop souvent
Porté les chagrins et les peines des enfants
Les gens âgés ont le temps de prier
Car ils sont devenus au fil des années de simples enfants
Ils demandent au Bon Dieu de parfois penser à eux,
S’Il a une minute ou deux
Ils demandent au Bon Dieu,
pourquoi il a oublié de venir fermer leurs yeux

ANDRÉ  SYLVAIN

Paroles et musique: André Sylvain– Editon Mirage-Socan-Canada.

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez  retour sur la rubrique du même tabac  RETRO : C’est du même tabac…..


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LA TENDRESSE N° 19 : C’est aujourd’hui dimanche

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LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

« Les Roses Blanches » pour MAMAN

Chanson réaliste, elle raconte l’histoire d’un pauvre « Gosse de Paris » n’ayant pour toute famille que sa mère hospitalisée, à laquelle il apporte chaque dimanche des roses blanches. Un matin d’avril, n’ayant plus un sou, il tente de voler des fleurs, se fait surprendre, mais la fleuriste apitoyée par son histoire les lui offre finalement. Lorsqu’il arrive à l’hôpital, sa mère est morte.

Les Roses blanches est une chanson de 1926, paroles de Charles-Louis Pothier et musique de Léon Raiter
C’est un grand succès interprété par plusieurs artistes : Mary Ketty, Berthe Delny, Priollet, Sandrey, Emma Liebel ; puis elle est reprise par Berthe Sylva, Lucienne Delyle, par le groupe Les Sunlights, ainsi que par Michèle Torr, Régine, Céline Dion, Sanseverino et Tino Rossi (1956).

Paroles de la chanson

« Les Roses Blanches »

C’était un gamin, un gosse de Paris,
Pour famille il n’avait qu’ sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux flétris,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :

« C’est aujourd’hui dimanche,
tiens ma jolie maman

Voici des roses blanches,
toi qui les aime tant

Va quand je serai grand,
j’achèterai au marchand

Toutes ses roses blanches,
pour toi jolie maman »

Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant
le pauvre mioche,

Furtivement vola des fleurs
La marchande l’ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :

« C’est aujourd’hui dimanche
et j’allais voir maman

J’ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches,
pour ma jolie maman »

 

papy-mamy-la-tendresse

La marchande émue, doucement lui dit,
« Emporte-les je te les donne »
Elle l’embrassa et l’enfant partit,
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit « Tu n’as plus de maman »
Et le gamin s’agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :

« C’est aujourd’hui dimanche,
tiens ma jolie maman

Voici des roses blanches,
toi qui les aimais tant

Et quand tu t’en iras,
au grand jardin là-bas

Toutes ces roses blanches,
tu les emporteras »


Quel plus bel hommage on peut rendre à sa maman. C’est le plus joli cadeau pour toutes les mamans du monde. Un grand merci

Vous redemandez des roses
Une page spéciale leur a été récemment consacrée

           Sources: www.paroles.net


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Mamy et Papy

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