Archives par étiquette : théatre

THÉÂTRE : Côté cour, côté jardin


VIENT VOIR LES COMÉDIENS

C’est une nouvelle série pour ceux qui aiment les anecdotes
Le pote Régis  SEUR assurera cette rubrique sur le théâtre une fois par semaine

Musique et humour  – VIENS VOIR LES COMÉDIENS …..
Les magiciens qui arrivent….


VIENS VOIR LES COMÉDIENS

AUJOURD’HUI  RÉGIS PROPOSE DE DÉCOUVRIR :

ANECDOTE: CÔTÉ COUR, CÔTÉ JARDIN AU THÉÂTRE, POURQUOI?

Vous le savez Sûrement, au théâtre, quand on veut se situer dans l’espace scénique, on ne dit pas «côté gauche, côté droit» mais «côté cour, côté jardin», le côté cour se trouvant à gauche lorsque l’acteur regarde la salle, et le côté jardin, à droite.
Cette expression fait désormais partie de notre vocabulaire courant, mais saviez-vous que son origine n’est pas si lointaine ?
Elle date en effet de la fin de 18e siècle, et n’a été réellement popularisée qu’après la Révolution française. Je vous propose de découvrir pourquoi.


Notre anecdote commence  en 1784.
Alors que les sociétaires de la Comédie Française se préparent à répéter le Mariage de Figaro, les travaux non-achevés du nouveau théâtre de l’Odéon où ils doivent jouer, et le manque de place, les poussent à organiser les répétitions au Palais des Tuileries, dans la salle des machines, cette ancienne salle de spectacle du château également appelée Théâtre des Tuileries.

Or pour que la troupe, et surtout les techniciens et machinistes se repèrent, on va trouver un moyen simple et approprié pour les lieux: à gauche, lorsque l’on regarde la salle depuis la scène, se trouve la cour du Louvre.

On dira alors que l’on se place «côté cour». À droite, en revanche, la salle donne sur le jardin des Tuileries.

Pour comprendre pourquoi on a gardé cette expression: Il faut savoir qu’auparavant, on désignait le côté gauche (la cour, donc), par le «côté de la Reine», et le côté droit (le jardin), par le «côté du Roi», en référence à l’emplacement de leurs loges respectives se faisant face de part et d’autre de la scène.
Or la révolution et ses idées arrivant, on a choisi d’utiliser des termes dénués de sens royaliste, et les formules «côté cour, côté jardin» sont restées.

Pour s’en rappeler, les acteurs utilisent un moyen mnémotechnique simple:
Lorsqu’ils sont face à la salle, le côté cour se trouve côté cœur, soit à gauche, et le côté jarDin, avec un D comme ‘Droite’, se trouve donc côté droit.

SOURCES:
https://www.lescarnetsdigor.fr/post/anecdote-c%C3%B4t%C3%A9-cour-c%C3%B4t%C3%A9-jardin-au-th%C3%A9%C3%A2tre-pourquoi


 

 

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POTINS SUR LE THÉÂTRE: Les trois coups


VIENT VOIR LES COMÉDIENS

C’est une nouvelle série pour ceux qui aiment les anecdotes
Le pote Régis  SEUR assurera cette rubrique sur le théâtre une fois par semaine

Musique et humour  – VIENS VOIR LES COMÉDIENS …..
Les magiciens qui arrivent….


VIENS VOIR LES COMÉDIENS


Pour symboliser
la Trinité

Le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Autre hypothèse: le Roi, la Reine et le public.

Exception à la Comédie Française: 6 coups, 3 coups pour chacune des
2 compagnies qui fusionnèrent au
17eme siècle.

Au théâtre les trois coups sont frappés avec un bâton appelé brigadier sur le plancher de la scène, juste avant le début d’une représentation, pour attirer l’attention du public, particulièrement quand il y a un lever de rideau.
Cette tradition, plus particulièrement française, peut venir du Moyen Âge, où trois coups, symbolisant la Trinité, terminaient le Mystère. Ces trois coups pouvaient être précédés d’onze autres martelés (douze apôtres moins Judas).

Mais encore, un appel aux neuf Muses de la Grèce Antique. Il y aurait donc neuf coups rapides plus les « trois coups » donc, douze coups. Le douze étant dans sa symbolique, un nombre parfait, symbole de l’unité du théâtre. C’est cette version que j’ai adoptée lors des représentations données par les ateliers.

Une autre explication fait correspondre les trois coups à trois saluts que les comédiens exécutaient avant de jouer devant la Cour : le premier vers la reine (côté cour), le deuxième vers le roi (côté jardin), et le troisième pour le public.


– Vous allez pas me croire je connais un brigadier complètement marteau


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LADINDE : Au théâtre ce soir

hypnose-002ba.jpg dinde BLOC NOTE LADY LADINDE Bloc note
de LADY LADINDE

 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire,  je vais vous en faire part….
De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique
 » Et si je ne voulais pas mourir idiote »

AUJOURD’HUI  LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR :
LE THÉÂTRE ET SES SUPERSTITIONS


dindePour symboliser
la Trinité

Le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Autre hypothèse: le Roi, la Reine et le public.

Exception à la Comédie Française: 6 coups, 3 coups pour chacune des 2 compagnies qui fusionnèrent au 17eme siècle.

Au théâtre les trois coups sont frappés avec un bâton appelé brigadier sur le plancher de la scène, juste avant le début d’une représentation, pour attirer l’attention du public, particulièrement quand il y a un lever de rideau.
Cette tradition, plus particulièrement française, peut venir du Moyen Âge, où trois coups, symbolisant la Trinité, terminaient le Mystère. Ces trois coups pouvaient être précédés d’onze autres martelés (douze apôtres moins Judas).

Mais encore, un appel aux neuf Muses de la Grèce Antique. Il y aurait donc neuf coups rapides plus les « trois coups » donc, douze coups. Le douze étant dans sa symbolique, un nombre parfait, symbole de l’unité du théâtre. C’est cette version que j’ai adoptée lors des représentations données par les ateliers.

Une autre explication fait correspondre les trois coups à trois saluts que les comédiens exécutaient avant de jouer devant la Cour : le premier vers la reine (côté cour), le deuxième vers le roi (côté jardin), et le troisième pour le public.




dinde

Parce que Molière est mort en scène habillé de vert

Il est dit que le célèbre comédien est mort vêtu d’un habit vert lors de sa dernière représentation sur scène.
Par ailleurs, la teinture verte de l’époque était composée d’arsenic, très probablement à l’origine d’intoxications chez les acteurs du fait de la chaleur.

wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs


- "Attention gamine.... Il n?est pas mort sur scène mais chez lui deux heures après... et toc..!
« 

dinde

Parce qu’il faut souhaiter « beaucoup de merdes » aux artistes

 Cela porte malheur de souhaiter bonne chance à un acteur ou un membre de la production.  Au lieu de cela, pour éviter un désastre, l’expression est simplement Merde!
Cette expression daterait de l’époque où les spectateurs de faisaient déposer en calèche devant l’entrée, halte au cours de laquelle les chevaux ne manquaient pas de garnir de leur crottin le parvis du théâtre. Cette « garniture » étant directement proportionnelle au nombre de spectateurs, c’était faire preuve de bienveillance que de souhaiter « beaucoup de merdes » aux artistes.
wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteurs

« Eh gamine …Sais tu que l’on ne doit pas non plus prononcer le mot « corde » sur scène ou dans les coulisses.
La personne qui dit le mot « corde » sur scène doit payer une amende qui consiste en une tournée de vin blanc.
L’origine de cette superstition viendrait des premiers machinistes qui étaient d’anciens marins.
Sur un bateau, de nombreuses cordes servaient aux manœuvres et chacune d?elles porte un nom différent (filin, ganse, etc.) et l’on désigne par « corde » celle qui sert à tirer la cloche avec laquelle on salut les morts »

SOURCES:
–  illustration originale de Catala pour la Chouette

blog expressite-libre 
blog distusaispourquoi


dinde

 

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ALICE …..MAIS SAPRITCH..TI C’EST VOUS MES TCHERI TCHERI….

les indiscretions  du salon de coiffure BLOC NOTE
de Chou Frisé

 Pour la sainte Alice j’ai une pensée pour celle qui m’appelait mon chou et le plus souvent tcheri tcheri.
Pour les jeunes générations qui n’ont pas connu le jex four…..
J’ai nommé la meilleure amie de mes amis  homosexuels  :
ALICE SAPRITCH

Alice Sapritch, de son vrai nom Alice Sapric,  est née le 29 juillet 1916. Cette actrice et chanteuse d’origine arménienne naturalisée française est .morte le 24 mars 1990 à Paris

À force d’obstination, de  petits  rôles et de présence au théâtre,  le succès arrive en 1971, à l’âge de
55 ans.
Elle impressionne le public avec deux rôles la même année :

L’un comique, dans le film La Folie des grandeurs (quatrième plus gros succès de Gérard Oury et régulièrement rediffusé à la télévision), où elle est Doña Juana et exécute un strip-tease comique. Elle y rivalise avec Louis de Funès (déjà croisé dans Sur un arbre perché) et Yves Montand.

L’autre, dans le téléfilm Vipère au poing, révèle son talent de tragédienne.
Elle y incarne Folcoche, la mère indigne et infâme qui maltraite ses enfants.

Thierry Le Luron l’imite beaucoup, ce qu’elle prend assez mal au début.
Dans les années 1980, elle participe régulièrement à l’émission radiophonique Les grosses têtes où elle est la cible récurrente des moqueries de ses camarades sur son âge et fait aussi preuve d’auto-dérision (« Avant, j’étais moche ») en tournant des spots publicitaires pour les produits d’entretien Jex Four.

Personne ne s’étonnera que la Chouette ait une préférence pour le téléfilm « Le cri de la  chouette » tiré du roman d’Hervé Bazin

Les potes âgés eux, se rappelleront de sa dernière prestation en « Catherine Médicis » en 1989, un an  avant qu’un cancer ne nous en prive.

SOURCE : Wikipédia

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  Comment les « jeunes » vivent ils cette artiste disparue ..?

ILS L’ONT DIT SUR LE NET

– Je l ai vu à Cholet dans ma ville? quand j était petit !! je lui avais demandé, si elle avait fait beaucoup de film !! Elle ma répondu :
« 
Oui mon ptit chou… Mais surtout des navets !! ».
Je m’en souviendrai toujours…..

– Que dire d Alice mis a part que? c’était une femme d exception au talent incroyable … dramatique , comique , une façon de s’approprier les rôles d une façon tellement charismatique, que personne ne peut encore rivaliser aujourd?hui sur des rôles au cinéma qui ont été les siens et qu elle s est appropriée a la force de son talent incroyable et unique . elle manque cruellement au cinéma encore aujourd?hui. Paix à son âme.

 – Je remarque les « Bonsoir Madame Sapritch » et « Bonsoir Monsieur Sabatier ». Eh oui, à l’époque, on insistait beaucoup sur les formules de politesse. Cela tend à se dégrader de nos jour. Je remarque aussi une certaine qualité? de la langue qui se dégrade sérieusement de nos jours.

– De quand date ce passage? il me semble que c’est de 1985, si quelqu’un avait la? date exacte 🙂

– Alice tu nous manques trop… Trop marrante cette femme?

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 LU SUR LE  NET PAS NET c'est TUNET qui tire la chasse

MAIS NON   ...JE PERDS PAS MON PANTALON... NON MAIS ...!– Dans ces forums, il y en a même que nous avons refusé de publier … QUOI..! Merde, c’est fait … COUPEZ … COUUUUPEEEEZ

 

– Ils sont 2 : Il y en a 1 qui la prend par devant, et l’autre par derrière. Comme dirait Francky Vincent :
« Alice ça glisse, au pays des merveilles… »   CQFD LOL !!!

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