BLOC NOTE
de Choucaline
CHOULAGER :
»Les Capacités de notre cerveau et ses pensées positives »
LA PUISSANCE DE L’ESPRIT POUR GUÉRIR LE CORPS :
LE RÊVE LUCIDE
La relation entre le sommeil paradoxal, qui occupe environ le quart d’un cycle de sommeil, et le rêve est depuis longtemps démontrée
Il proposa l’expression « sommeil paradoxal »
En 1953, Aserinsky et Kleitman avaient découvert que les rêves tendaient à se produire durant des phases marquées par des mouvements oculaires rapides.
En 1959, Michel Jouvet remarquait que, lors de ces périodes, les ondes enregistrées sur un électro-encéphalogramme étaient comparables à celles de l’état éveillé y était associé à une absence totale de mouvements musculaires et à un sommeil très profond..
Il proposa l’expression « sommeil paradoxal » pour désigner ces phases particulières.
Sa découverte marque le début d’une série de recherches sur le rêve du chat et de l’homme, en particulier. Ces travaux conduisent à la mise en évidence de la relation entre le sommeil paradoxal, qui occupe environ le quart d’un cycle de sommeil, et le rêve.
Pourtant encore aujourd’hui le mystère des rêves restent loin d’être élucidé.
Ainsi, certaines personnes affirment être capables de devenir conscientes à l’intérieur de certains de leurs rêves. Elles parlent alors de rêves lucides.
Il est possible de prendre conscience d’être en train de rêver :
on parle alors de rêve lucide.
Cela a été vérifié par des mesures cliniques et scientifiques. On estime que tout le monde en fait l’expérience, au moins une fois dans sa vie, et certains s’entrainent à en avoir. Lorsque cela se produit, on peut alors contrôler son rêve.
Nous ignorons la plupart du temps que nous rêvons lorsque nous rêvons. Nos rêves semblent d’un tel réalisme pour notre cerveau endormi que nous leur accordons d’ordinaire un statut de réalité matérielle.
Dans la lumière crue du matin, ce qui nous paraissait si réel durant la nuit ne semble guère autre chose qu’un tour d’illusionniste, un mirage, ou un rêve.
Bien que le terme d’hallucination s’applique à la façon dont nous vivons généralement nos rêves en général, il existe une situation d’exception qui met en cause nombre d’hypothèses sur la nature du sommeil et les capacités du cerveau.
Cette exception significative est qu’il arrive parfois en rêve que nous sachions parfaitement que nous sommes en train de rêver.
Cet état mental remarquable est dénommé » rêve lucide « , un énoncé forgé par le psychiatre néerlandais Frederik Willems Van Eeden en 1913.