Paroles de chou rouge » C’est la crise …la vie est grise…pour les potes âgés… Faut du pinard pour les soulager »
Porter un nom à coucher dehors
Si tu portes un nom à coucher dehors cela veut dire que ton nom n’inspire pas confiance.
Cela date d’un époque où les déplacements se faisaient à pied, et dans la nuit sans croissant de lune.
Il fallait demander l’hospitalité pour coucher chez l’habitant. Comme dans le noir, le délit de sale gueule était impossible, vous donniez votre nom à travers la porte.
Alors, il valait mieux dire que vous étiez le Marquis de la Bretelle Fine que de dire Arok Breizinsky…. sinon à le dire à la porte du cabanon du jardin.
Les temps n’ont pas beaucoup changé…… Allez voir une logeuse en disant: « Je suis Mohamed Ben Abdhala », même en disant que vous êtes un cheik on verra très vite qu’il est sans provisions.
Vous avez dit Solidarnosk ou solidarité …. heureux ou heuros!
Les animaux pas si bête l’ont bien compris, ils ont opté depuis longtemps pour le mobil home.
C’est pour cela que les potes âgés n’ont aucun scrupule à les expulser du jardin des plaintes
Cela ne fait jamais de salade……. même avec les grosses légumes.
CHOU VERT – Lire le dernier coup de gueule de CHOU VERT avec la complicité de Catala
à la planche à « desseins »
A NOTER : « Si tu te présentes à la porte les mains vides…. On te dira » le maitre dort »…. Si tu viens avec un présent …On te dira » le maitre vous prie de bien vouloir attendre » (PROVERBE TURC)
Capacités de notre cerveau à découvrir l’amour qu’on nous porte
« L’AMOUR A-T-IL BESOIN DE SE DIRE..? » « – En quoi le fait de dire un sentiment est-il quelque chose de plus que d’exprimer un sentiment sans le dire.«
Histoire du cordon du professeur
Un professeur avait l’habitude, en fin d’études, de donner à ses étudiants un cordon violet sur lequel on pouvait lire « Qui je suis fait toute la différence » imprimé en lettres dorées.
Il disait à chaque étudiant à cette occasion pourquoi il l’appréciait et pourquoi le cours était différent grâce à lui.
Un jour, il a l’idée d’étudier l’effet de ce processus sur la communauté, et envoie ses étudiants remettre des cordons à ceux qu’ils connaissent et qui « font la différence« .
Il leur donne 3 cordons en leur demandant ceci :
« – Remettez un cordon violet à la personne de votre choix en lui disant pourquoi elle fait la différence pour vous, et donnez-lui deux autres cordons pour qu’elle en remette un elle-même et ainsi de suite. Faites-moi ensuite un compte-rendu des résultats. »
L’un des étudiant s’en va, et va le remettre à son patron (car il travaillait à mi-temps) un gars assez grincheux, mais qu’il appréciait.
« – Je vous admire beaucoup pour tout ce que vous faites, pour moi vous êtes un véritable génie créatif et un homme juste. Accepteriez-vous que j’accroche ce cordon violet à votre veste en témoignage de ma reconnaissance ? »
Le patron est surpris, mais répond « – Eh bien, euh, oui, bien sûr…«
Le garçon continue « – Et accepteriez-vous de prendre des 2 autres cordons violets pour les remettre à quelqu’un qui fait toute la différence pour vous, comme je viens de le faire ? C’est pour une enquête que nous menons à l’université. »
« – D’accord«
Et voilà notre homme qui rentre chez lui le soir, son cordon à la veste. Il dit bonsoir à son fils de 14 ans, et lui raconte :
» – Il m’est arrivé un truc étonnant aujourd’hui. Un de mes employés m’a donné un cordon violet sur lequel il est écrit, tu peux le voir, « Qui je suis fait toute la différence ». Il m’en a donné un autre à remettre à quelqu’un qui compte beaucoup pour moi.
La journée a été dure, mais en revenant je me suis dit qu’il y a une personne, un seule, à qui j’aie envie de le remettre.
Tu vois, je t’engueule souvent parce que tu ne travailles pas assez, que tu ne penses qu’à sortir avec tes copains et que ta chambre est un parfait foutoir… mais ce soir je voulais te dire que tu es très important pour moi. Tu fais, avec ta mère, toute la différence dans ma vie et j’aimerais que tu acceptes ce cordon violet en témoignage de mon amour. Je ne te le dis pas assez, mais tu es un garçon formidable !«
Il avait à peine fini que son fils se met à pleurer, pleurer, son corps tout entier secoué de sanglots.
Son père le prend dans ses bras et lui dit
» – Ça va, ça va… Est-ce que j’ai dit quelque chose qui t’a blessé ? » » – Non papa… mais… snif… j’avais décidé de me suicider demain.
J’avais tout planifié parce que j’étais certain que tu ne m’aimais pas malgré tous mes efforts pour te plaire.
Maintenant tout est changé… »
Choucaline tout cela mérite quelques commentaires
Cette histoire risque d’agacer ceux qui ont horreur des distributions de prix et de bons points. Mais elle ne manque pas d’intérêt. Si nous pouvions déclarer à ceux que nous côtoyons le plus souvent un peu d’affection seulement pour leur dire qu’il ne nous sont pas indifférents, ce serait un véritable cadeau. La formule employée ici est assez étrange :
Dites lui que pour vous « il fait la différence« .
Cela signifie surtout, dites lui qu’il compte pour vous et que vous avez de l’affection pour lui. Il y a quelque chose de plus dans la déclaration d’un sentiment que dans le sentiment lui-même. C’est un sujet du bac : En quoi le fait de dire un sentiment est-il quelque chose de plus que d’exprimer un sentiment sans le dire. C’est donc toute la question de savoir ce que devient le sentiment quand il est exprimé.
L’amour a-t-il besoin de se dire? L’amour pour être n’a besoin que de se donner. Il peut fort bien exister dans le silence et être de l’amour. Cependant l’amour qui se dit se partage, se déclare, c’est ouvrir à l’espace de la parole l’affection que l’on porte. L’inverse peut-être trompeur. Il ne suffit pas de « dire: je t’aime » pour que cela soit une preuve d’amour, mais quand on aime, le dire ne gâche rien, bien au contraire, cela ouvre au coeur l’espace de la communication.
Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient :
le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l’Amour y compris.
Un jour on annonça aux sentiments que l’île allait couler.
Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.
Seul l’Amour resta.
L’Amour voulait rester jusqu’au dernier moment.
Quand l’ile fut sur le point de sombrer, l’Amour décida d’appeler à l’aide.
La Richesse passait à côté de l’Amour dans un luxueux bateau.
L’Amour lui dit, « Richesse, peux-tu m’emmener? »
« Non car il y a beaucoup d’argent et d’or sur mon bateau. Je n’ai pas
de place pour toi. »
L’Amour décida alors de demander à l’Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau,
– « Orgueil, aide-moi je t’en prie ! »
– « Je ne puis t’aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais
endommager mon bateau. »
La Tristesse étant à côté, l’Amour lui demanda, « Tristesse, laisse-moi venir avec toi. »
« Ooh… Amour, je suis tellement triste que j’ai besoin d’être seule ! »
Le Bonheur passa aussi à coté de l’Amour, mais il était si heureux qu’il n’entendît même pas l’Amour l’appeler !
Soudain, une voix dit, « Viens Amour, je te prends avec moi. »
C’était un vieillard qui avait parlé.
L’Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu’il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu’ils arrivèrent sur la terre
ferme, le vieillard s’en alla.
L’Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir
« Qui m’a aidé ? »
« C’était le Temps » répondit le Savoir.
« Le Temps ? » s’interrogea l’Amour.
« Mais pourquoi le Temps m’a-t-il aidé ? »
Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit :
« C’est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la Vie. »
(Histoire proposée au club positif par Christian Boucher)
Si chaque goutte de pluie disait: » Une goutte ne fait pas l’océan » Il n’y aurait aucune flaque, ni aucune mer.
Si chaque grain de sable disait : un grain ne fait pas une montagne Il n’y aurait aucune terre, aucun continent.
Si chaque goutte de pluie disait Une goutte ne fait pas l’océan Il n’y aurait aucune flaque, ni aucune mer.
Si chaque note de musique disait Une note ne fait pas la symphonie, Il n’y aurait pas même le début d’une mélodie.
Si chaque mot disait Un mot ne fait pas une bibliothèque Il n’y aurait même pas de livre.
Si chaque brique disait Une brique ne fait pas un mur Personne n’aurait de maison.
Si chaque graine disait Une graine ne fait pas un champ Il n’y aurait pas de moisson.
Et vous ? Vous êtes un père, une mère, un enfant dans une famille, un joueur dans une équipe, un salarié dans une entreprise, un membre actif dans une association… Demain, si vous ne faites plus partie de ces touts, votre famille, votre équipe, votre entreprise, votre association…. Seront-elles exactement les mêmes ?
Non bien sûr. Car c’est vous, être singulier, qui faites toute la différence…!