La Partition de MA2 (Sortie de son piano, MA2 nous revient)
Musique à deux
AUJOURD’HUI UNE OPÉRETTE : LE PAYS DU SOURIRE est une opérette romantique en trois actes : composée par Franz Lehár d’après un livret en allemand de Ludwig Herzer et Fritz Löhner.
La durée de sa représentation est d’environ 100 minutes.
– Alors MA2 vas y pour la découverte du PAYS DU SOURIRE – Minute donne moi le temps de leur présenterFranz Lehár (1870-1948)
Franz Lehár, ), est un compositeur autrichien d’origine hongroise.
Il est célèbre pour ses opérettes, dont la plus connue est La Veuve joyeuse représentée pour la première fois à Vienne en 1905. On retient aussi Le Pays du sourire présenté aujourd’hui aux potes âgés
LE PAYS DU SOURIRE
Il s’agit de l’une des dernières œuvres de Lehár ; son dénouement de tonalité douce-amère rencontra un grand succès auprès du public viennois.
Le titre est une allusion à la coutume chinoise de sourire quelles que soient les vicissitudes de la vie.
Le personnage principal, le prince Sou-Chong interprète, au début du spectacle, un air intitulé « Immer nur lächeln » (« toujours sourire ») décrivant cette particularité.
La création de l’opérette dans sa première version a eu lieu le 9 février 1923 à Vienne ; l’œuvre a été créée le 10 octobre 1929 au Berliner Metropol-Theater.
L’action se déroule à Vienne et dans la Chine de 1912.
Au premier acte, à Vienne, l’héroïne la comtesse Lisa épouse le prince chinois Sou-Chong, puis l’accompagne pour vivre avec lui dans son pays, malgré les mises en garde de ses amis et de sa famille.
Le pays du sourire: Mon amour et ton amour · Marcel Merkès, Paulette Merval
BERNARD SINCLAIR -PRENDRE LE THÉ A DEUX
ILS L’ONT DIT SUR LE NET
LE PAYS DU SOURIRE – Prendre le thé a deux musique légèrement lointaine ,mais qui a toujours un certain charme désuet et plein de romantisme…. la vidéo est superbe .alors rêvons et buvons .à votre santé
À l’acte II, à Pékin, elle se rend compte qu’elle est incapable de s’accommoder de la culture de son mari et surtout de sa polygynie. Bien que son mari s’efforce de la rassurer en lui déclarant qu’il s’agit d’une simple formalité, le malheur est inévitable et Lisa vit enfermée dans le palais. Son amour se change en haine.
À l’acte III, Lisa regagne l’Autriche et Sou-Chong se retrouve seul. Sa sœur, la princesse Mi s’était de son côté attachée au diplomate viennois Gustav et le dénouement est ainsi doublement triste. Néanmoins, le prince respecte les usages : toujours sourire.
– Allez MA2 encore une petite dernière
Lehár – Pays du Sourire (Je T’ai Donné Mon Coeur)
M A 2 Ma musique à deux Mise en page et sonorisation réalisée avec la complicité de CHOU BLANC
L’ART ET LA PALETTE AU CHOU
par Chou Blanc – Wiki..! On a paumé les pinc eaux…
– On s’en fout, c’est de la peinture à l’huile….
PEINTURE : Les arbres
et John Constable
Mesdames mesdames êtes-vous amoureuses de la belle gueule de John constable car vous avez été plusieurs en nous demander de traiter son œuvre moins superficiellement.
Comme un malheur n’arrive jamais seul plusieurs amateurs de nature nous ont ,pour ce même article, demandé à la chouette de descendre de son clocher pour monter à l’arbre ..
C’est chou blanc qui s’y colle pour tenter de satisfaire vos souhaits avec un article qui donne la biographie de John Constable associée à une rubrique sur la place de l’arbre dans la peinture en général et dans celle de ce grand paysagiste en particulier
L’Arbre dans la peinture
Source : (Au fil des lectures livre audio) « Il n’est fleur, il n’est femme, grand Être aux bras multipliés, qui plus que toi m’émeuve et de mon coeur dégage une fureur plus tendre… Tu le sais bien, mon Arbre, que dès l’aube je te viens embrasser : je baise de mes lèvres l’écorce amère et lisse, et je me sens l’enfant de notre même terre. […] »
L’arbre a été un modèle récurrent dans l’histoire de la peinture.
Si avec la Renaissance beaucoup de peintres abandonnent le sacré pour le profane, la peinture au XVIe siècle est encore habitée par les grands thèmes bibliques auxquels s’ajoutent ceux issus de la mythologie. L’arbre, comme sujet de création artistique, a donc une valeur plus symbolique qu’esthétique.
Dès la fin du XVIIIe siècle, les peintres n’envisagent plus la nature comme simple cadre symbolique de leur oeuvre, mais bien comme objet à part entière. Fondant sa peinture sur l’étude réelle de la nature plus importante à ses yeux que les modèles artistiques, John Constable (1776-1837) fut à cet égard l’un des principaux peintres de paysages du XIXe siècle.
C’est en effet à partir de croquis précisément dessinés dans la nature qu’il réalise la plupart de ses peintures. Ainsi, dans L’Étude d’un tronc d’orme, où chaque détail, de l’écorce aux branches, est rendu avec une précision infinie, comment ne pas être frappé par ce que Reynolds nommera son « naturalisme photographique ».l’arbre de Constable est, tellement réaliste qu’on croirait en voir couler la sève,
Par la suite sous son influence, les impressionnistes ont pris habitude de peindre en plein air afin de saisir les colorations variées et fugitives que pouvait offrir la nature. L’arbre, vecteur de lumière et de couleurs, constituait donc pour eux un modèle de prédilection.
Peintre paysagiste britannique et précurseur de l’Impressionnisme.
Fils de minotier prospère John Constable est né à East Bergholt en Angleterre. Il s’inscrit à la Royal Academy de Londres en 1799 et devient l’élève de Joseph Farington, un paysagiste. Il y rencontre Turner, l’autre grand paysagiste britannique du XXe siècle. Il expose mais ne parvenant pas à s’imposer John Constable retourne chez lui, où sa famille le presse de gagner de l’argent. Il réalise majoritairement des portraits, le plus souvent de notables de la région. A la mort de son père, il perçoit un héritage considérable qui lui permet de se consacrer entièrement à son art
Constable est influencé par la peinture paysagiste du XVIIe siècle (Claude Lorrain). C’est avant tout un grand observateur de la nature.
Il révolutionne la peinture en étant l’un des premiers à peindre la nature sur le vif.
Sa reconnaissance en Angleterre est tardive, il est nommé sur le tard et d’extrême justesse à la Royal Academy. C’est en France qu’il rencontre un véritable succès. Les oeuvres exposées au Salon de Paris en 1824, font forte impression et marquent durablement la peinture française en même temps qu’elles annoncent l’impressionnisme. Les peintures de Constable ont influencé Delacroix (1798-1863) Géricault (1791-1824), et les maîtres de Barbizon et les impressionnistes.
Il meurt à Londres en 1837
PARLE NOUS UN PEU DE TOI JOHN… !
«Je suis né pour peindre mon propre pays, ma chère Angleterre. »
« J’aime chaque haie, chaque tronc d’arbre, chaque ruelle de mon village et tant que ma main pourra tenir un pinceau, je ne me lasserai pas de les peindre. »
« Jamais deux jours ne se ressemblent, ni deux heures, et depuis la création il n’y a jamais eu deux feuilles d’arbre exactement pareilles. »
« La nature renaît, tout fleurit, tout s’épanouit autour de moi et à chaque pas il me semble entendre ces paroles de l’Écriture sainte : Je suis la Résurrection et la vie ! »
ON DIT QUE TU ES UNE ARTISTE SCRUPULEUX DONNE NOUS UN EXEMPLE :
C?est exact, j?ai pour habitude de noter la date, l’heure et les changements de climat au dos de mes toiles, afin de mieux comprendre la luminosité.
Laissons au vieux de la vieille que je suis, le plaisir de citer « le chêne et le roseau »
« L’Arbre tient bon ; le Roseau plie.
Le vent redouble ses efforts,
Et fait si bien qu’il déracine
Celui de qui la tête au ciel était voisine,
Et dont les pieds touchaient à l’empire des morts.