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Les portraits de Saint Pierre


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LES PORTRAITS DE SAINT PIERRE

El Greco, « Les larmes de saint Pierre »

Cette représentation du Greco montre l’humanité du saint. La justesse de l’étude anatomique, le soin de la composition et le dessin permettent de situer l’œuvre à la première étape de Tolède.

Saint Pierre, les yeux baignés des larmes de son sentiment de culpabilité après avoir renié le Christ lors de la Passion, se tourne vers le ciel, le suppliant de lui accorder le pardon divin.

D’autres versions sur le même thème, considérées de facture plus maladroite par les experts, sont aussi conservées à la cathédrale de Tolède et à l’hôpital de Tavera.

Voir ce tableau et tous ses détails dans le site
Musée du Greco

Tolède Castille-La Manche

logo lardon DJean Restout, Saint Pierre en prière
Église Saint-Jacques-du-Haut-Pas , Paris.

Les églises étaient, depuis le X V I Ie siècle, un lieu privilégié pour voir librement des œuvres d’art. Les toiles religieuses étaient souvent parmi les plus impressionnantes présentées au Salon et servaient même de morceau d’agrément à certains peintres pour leur entrée à l’Académie royale.
Les tableaux les plus réussis étaient ensuite signalés dans les guides de visite de la capitale et assuraient la notoriété de leur auteur.

Jean Restout, dit Jean II Restout ou Jean Restout le jeune, né à Rouen, , est un peintre rococo français.

Il appartient à l’illustre famille des peintres normands Restout.
Lui-même était le fils du peintre Jean Ier Restout et de Marie Jouvenet, sœur et élève de Jean Jouvenet.

Jean Restout, Saint Pierre en prière, 1728, huile sur toile, 1,14 x 0,97 m. Église Saint-Jacques-du-Haut-Pas (COARC), Paris. © Ville de Paris – COARC – Christophe Fouin.

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JEAN RESTOUT  – Saint Pierre guérissant les malades de son ombre

collection particulière

Hyacinthe Rigaud, Saint Pierre (1702). Perpignan, musée Rigaud

Au fameux Salon de 1704, Rigaud avait déjà exposé un Saint Paul (perdu) un Saint Pierre (Perpignan, musée Rigaud), dont la force improvisatrice et l’épaisseur virile de la pâte rappelait indéniablement au curieux que Van Dyck et Rubens étaient ses maitres. Mais si ce type de figure avouait sa dette à l’expressive école du Nord, il n’en oubliait pas un certain côté baroque italien hérité des productions de Guido Reni, pour ne citer que lui.
La comparaison entre le Saint Pierre et celui tout aussi inspiré de Guido Reni à l’Hermitage de Saint Petersbourg est à ce titre édifiante.


Guido Reni dit Le Guide (né à Bologne  1575, 1642 ) est un peintre italien qui appartient à l’école de Bologne.
Guido Reni est imprégné par l’idéal maniériste de la grâce Michelangelesque


SOURCES :  https://www.lequotidiendelart.com
http://hyacinthe-rigaud.over-blog.com/2015/02/rigaud-et-la-peinture-d-histoire-le-saint-andre.html
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GUIDO RENI : LA COULEUR ET LE DESSIN


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L’Union du Dessin et de la couleur de Guido Reni

logo lardon DGuido Reni dit Le Guide (né à Bologne 1575, 1642 ) est un peintre italien qui appartient à l’école de Bologne.
Guido Reni est imprégné par l’idéal maniériste de la grâce Michelangelesque

Voir ce tableau au musée du Louvre (PARIS)
© Musée du Louvre/A. Dequier – M. Bard
Denon  1 e étage
Grande Galerie  –  Salle 716


Le sujet met en parallèle la vie conjugale et les rapports liant le Dessin, sous les traits d’un jeune homme attentif, et la Couleur, sous ceux d’une jeune femme tendrement sollicitée.

Rubens contre Poussin. La querelle du coloris dans la peinture française du XVIIe siècle

A l’origine, la prépondérance du dessin sur la couleur est une conséquence de la volonté d’anoblissement de la création artistique, marquée dès 1648 par la fondation de l’Académie royale de peinture et de sculpture.
Cette domination du dessin est remise en cause par la  » querelle du coloris  » dans les années 1670.
Pour Charles Le Brun,  » tout l’apanage de la couleur est de satisfaire les yeux, au lieu que le dessin satisfait l’esprit « .
Le dessin est le prolongement immédiat de l’Idée, il s’incarne dans une forme et s’adresse à l’intelligence.

La couleur, quant à elle, naît de la pratique et s’adresse aux sens, au toucher autant qu’à la vue. Roger de Piles plaide précisément pour cette peinture sensible et sensuelle, qui  » plaît à tous universellement  » :  » Ce serait une chose étrange que les tableaux ne fussent faits que pour les peintres et les concerts pour les musiciens.
 » A travers ces débats qui ont opposé le dessin à la couleur et confronté les valeurs picturales de Poussin et de Rubens, c’est la peinture française de la fin du XVIIe siècle qui se donne à voir dans toute sa richesse aux  » amateurs  » que nous sommes.

Il existe un copie anonyme à Versailles

d’après Guido Reni (14 nov. 1575 – 18 août 1642), Anonyme (? – ?)
https://amzn.to/31f8NlV

Sources
L’Union du Dessin et de la couleur

Crédit:
Nous contacter au préalable pour la publicité. Photo (C) RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / Gérard Blot
Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon    http://collections.chateauversailles.fr/


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