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Savoir pourquoi vous avez toujours froid…


LE BLOC NOTE
DE COM’ POTE

– C’est l’information du pote âgé faite par un pote pas con … mais très COM…!!!

« De tes aliments tu feras ta médecine » – Hippocrate

littel com potePourquoi avez-vous souvent froid ?

Les raisons sont nombreuses et concernent votre âge, votre alimentation, votre médication, votre métabolisme aussi…


Pourquoi certai
nes personnes sont-elles plus frileuses que d’autres ?
Nous ne sommes pas tous égaux face à la baisse des températures, et cela s’explique par des différences d’activités métaboliques, pour commencer.
On ne fonctionne pas tous de la même manière !

Voyons les raisons principales…..

 

Les 6 raisons principales

Vous mangez peut-être trop peu, ou pas assez riche
Régimes stricts et hypoglycémies peuvent être à l’origine d’une sensation de froid. Pourquoi ? Simplement parce que pour produire de l’énergie, le corps se nourrit de… calories !
Il faut donc lui en apporter. Notre thermogenèse (le travail du corps pour réguler notre température) dévore 50% des calories que nous ingérons chaque jour.
D’autre part, il brûle plus de calories s’il fait froid, parce que cela lui demande plus d’efforts de se maintenir à 37 degrés.
Ajoutez à cela les calories dépensées en bougeant et en se dépensant…
Bref, donnez-lui suffisamment à manger

Vous êtes malade
Il existe des maladies qui ont tendance à nous donner froid, notamment les maladies infectieuses : cystite, grippe, rhume, sinusite, gastro-entérite, méningite…
Avoir froid est un symptôme précurseur de la fièvre, vous ne savez peut-être pas encore que vous allez être malade, mais la sensation de froid peut être un indice.
On peut aussi avoir des frissons quand on fait une allergie.
Une pathologie de la circulation du sang rend les extrémités froides, il s’agit de la maladie de Reynaud.

Vous manquez peut-être de fer
Le fer est essentiel pour permettre à notre organisme de produire de l’énergie. Lorsque vous êtes anémié (que vous présentez une carence en fer), le processus de réchauffement ne se fait plus comme il le devrait, le corps ne régule plus sa température correctement.
Avoir des frissons répétés, même s’il ne fait pas particulièrement froid, ou avoir les extrémités (mains, pieds) toujours froides, peuvent alerter.

Vous vieillissez…
Quand on vieillit, notre température corporelle est naturellement moins élevée.
On l’estime entre 36 et 36,6 degrés, contre une moyenne entre 36,6 et 37,5 degrés avant d’atteindre le grand âge.
Cela s’explique de différentes manières :
le rétrécissement de nos vaisseaux sanguins qui irriguent moins bien nos mains et nos pieds, une perte de masse graisseuse, une réduction de l’exercice physique, un thermostat interne qui globalement fonctionne moins bien à mesure que le corps prend de l’âge…

Vous prenez un traitement dont c’est l’effet secondaire
On a arrêté de lire la longue liste d’effets secondaires de tous les médicaments que l’on consomme, à tort ! Certains traitements peuvent être à l’origine d’une hypothermie, sans que vous soyez forcément au courant. Certains médicaments contre l’hypertension, contre l’épilepsie, qui permettent de dilater les vaisseaux sanguins (vasodilatateurs), des traitements qui sédatent aussi, des antipsychotiques…

Vous êtes fatigué
Quand on est fatigué, on a souvent froid. Quand l’organisme est fatigué, il se protège et se concentre sur ses fonctions vitales.
Or, le fait de conserver sa température à 37 degrés n’en fait pas partie. La thyroïde, qui est un peu notre thermostat, se met en mode économie d’énergie et ne fonctionne plus aussi bien.
De fait, on produit moins de chaleur et on a davantage tendance à avoir froid.

Pourquoi certaines personnes sont-elles plus frileuses que d’autres ?

Des études en cours font la part belle à :
Une récente étude expliquait qu’environ 1,5 milliard de personnes posséderait un gène qui protégerait du froid.
Il leur permettrait d’y être plus résistants, de moins en souffrir, et serait du à une mutation survenue au fil de la migration de l’Homme de l’Afrique vers l’Europe, nettement plus fraîche. Peut-être donc avez-vous froid car vous ne possédez pas ce gène ?

– Une histoire de surface corporelle et de métabolisme

Ainsi, les personnes particulièrement frileuses souffriraient avant tout d’un rapport défavorable entre leur surface et leur masse :
« Les gens qui ont « toujours froid » ont généralement une masse musculaire trop faible par rapport à leur surface corporelle », explique le médecin américain Christopher Minton, spécialiste de la question, à Upworthy. « Leur température corporelle réelle n’est peut-être pas vraiment inférieure à la normale, mais ils ont froid parce que leur corps leur dit de conserver la chaleur. »

– Mais ce n’est pas tout. Les différences d’activité métabolique entre les individus entreraient également en ligne de compte.
« Nos cellules vont utiliser en permanence toute sorte de molécules carbonées pour faire différentes transformations », précise ainsi le professeur de biochimie Daniel Ricquier « Quand nos cellules fonctionnent, elles oxydent des substrats à partir de l’oxygène que nous inhalons. Et quand on oxyde des substrats, il y a inévitablement une partie de l’énergie d’oxydation qui est perdue sous forme de chaleur. »
Résultat :
celles et ceux qui, pour de mystérieuses raisons, bénéficient de cellules particulièrement performantes seraient donc moins frileux.

– Une loterie tout aussi injuste, par ailleurs, que celle de la graisse brune /
iL s’agit
  des tissus adipeux producteurs de chaleur repérés chez les animaux hibernants et les nourrissons, mais récemment découverts chez les adultes également.
Seulement là, aussi, tout le monde n’en affiche pas la même quantité. Ce qui pourrait expliquer pourquoi vous portez un pull quand d’autres se promènent en débardeur.

 SOURCES top santé.com

 

 

 

Les clés de l’alimentation anti-cancer et maladies inflammatoires, infectieuses,
auto-immunes… (Livre
Poche) –
Jean-Christophe Charrié
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comprendre ce qu’on fait et une partie pratique avec de bonnes recettes.
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Les recettes claires et pas trop compliquées vous ouvrent à d’autres façons de se nourrir
Ce livre explique clairement et simplement les conséquences de nos habitudes alimentaires sur notre santé et en particulier sur celle des malades du cancer, des dégénérescences mentales et les maladies inflammatoires ou auto-immunes.
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duo compoteCOM’POTE

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LA MALÉDICTION DES RUD

BLOC NOTE
CHOULAGER
par Chou-Blanc

 ON VOUS PARLE D’UN TEMPS OU LES HIVERS ÉTAIENT PLUS RUD…

  LA MALÉDICTION DES RUD

Depuis longtemps dans nos campagnes,  les paysans sont des gens simples, dont la vie au champ les fait vivre au rythme des saisons. Les RUD sont les parents de notre héros, dont je vais vous conter l’histoire. Ils  ne se creusent pas la tête pour trouver un prénom à leurs enfants, et prennent le prénom mentionné au calendrier des postes le jour de la naissance.
Comme sa sœur, née le 14 juillet qui se prénomme FETNAT, notre pauvre garçon né le 22 décembre premier jour de l’hiver est prénommé HIVER enfin presque….. Pour faire plus court, il se prénomme IVER.
C’est donc la vie d’IVER RUD, l’éternel frileux, dont il est question dans mon récit.


Le froid de toute une vie…!

Peut être du fait du nom qu’il porte, ou parce que cet hiver là est rude, IVER  ressent le froid de ses  couches humides, au point de regretter très vite de s’être oublié. Il est le premier enfant RUD à être propre très vite …..Mais aussi le seul, à tirer la couverture à lui avant d’aller sur le pot.


Enfant, il est plutôt enclin à tirer les marrons du feu, pour la simple et bonne raison qu’il y fait chaud et  que cela lui permet de lutter contre le froid permanent qui l‘envahit .


Jeune homme, son affectation aux chasseurs alpins ne fait qu’aggraver ce que l’on peut considérer comme sa maladie, elle décide de son avenir professionnel pour être à vie  boulanger de la commune de LA FORGE.
Avec un tel tempérament frileux et soucieux du maintien d’un environnement chaud, son entourage lui bat froid ce qui n’arrange pas les « chausses ».


Pour se marier, il recherche une femme qui lui fasse chaud au cœur, exigeant de l’agence matrimoniale qu’elle vienne d’un pays chaud…! Il s’éprend donc d’une volcanique réunionnaise, qui a des références puisqu’elle est née au pied du volcan du piton de la fournaise.


Il passe, à ses côtés, toute sa vie à avoir froid. Ses repérages pour éviter ses seins de glace, et ses efforts de réchauffement climatique ont eu pour résultat une famille nombreuse autour de lui…..pour lui tenir chaud.
Sa chaleureuse femme, pour l’aider à survivre dans son puit à glace obtient le Guinness des records des plus épaisses chaussettes, et celui du plus long cache nez de laine mais rien n’y fait.
Il est lui même élu couette frileuse au festival d’été de LA FORGE.
Au terme d’une vie de labeur face à son four de boulanger, il redoute sa retraite et ne trouve de satisfaction que lorsqu’il a de la fièvre. Il reste très frileux obligeant sa femme à chauffer le thermomètre avant de prendre sa température.
En fin de vie, il ne quitte plus le devant de sa cheminée, attendant l’heure et la perspective d’un  jour avoir plus chaud dans l’au delà.
L’heure vient…….. C’est plutôt la faux qui le frappe….dans une nuit glaciale de décembre.


Un au-delà tourmenté…mais toujours frileux


Arrivé au ciel…. à la seule attente le cul sur un nuage jusqu’au petit matin, il comprend qu’au milieu de ce courant d’air froid, il n’y fera pas de vieux os (façon de parler)
Le secrétariat de Saint Pierre enfin ouvert, il peut se mettre à l’abri et engage ses démarches sur ses conditions d’hébergement.
Voyant sa vie exemplaire, le préposé lui confirme, de sa propre autorité, qu’il a droit à une place de choix au paradis.
– y fait-il chaud ? Demande t il préoccupé
Moins qu’au purgatoire, mais c’est normalement chauffé
– Alors je préfère le purgatoire.. !
Réfléchissez… je vous propose trois mois, mais à l’essai… car Saint Pierre lors de son contrôle vous remettra surement au paradis…surtout avec le dossier béton que vous avez… !


Le séjour au purgatoire est un purgatoire ……les sorties en plein air pour purifier l’âme ne lui réussissent pas du tout, et il réclame régulièrement deux anoraks et une couverture de survie par sortie.
Très vite, Saint Pierre est alerté et demande à le rencontrer…
Saint Pierre, je n’ai pas mérité cela, le purgatoire c’est trop dur pour moi… !
Saint Pierre, habitué de cette phrase rituelle chez tous les pensionnaires du purgatoire, ne réagit qu’à la lecture de son dossier et du récit de sa vie exemplaire pleine de chaleur.
– Pas de problème mon cher IVER votre place est au paradis.
– Pas question du paradis… c’est plus froid qu’ici… !
– C’est évident cher Iver, plus  on s’éloigne de l’enfer et des flammes de Lucifer…..
– Alors mettez moi en enfer, au moins là bas au  milieu des flammes, je serai enfin bien.. !
– Inadmissible… ! Pas question…On ne choisit pas ici… ! Où vous vous croyez.. ?
-Je vous en prie Saint Pierre, J’ai mérité la paix pour mon âme…Oui…! Alors la paix pour moi c’est au bord du feu… Accordez-moi l’enfer.
– Accordez moi l’enfer …accordez moi l’enfer…. c’est vite dit mais je ne commande pas là bas …c’est Lucifer qui gère l’enfer…!
-Touchez lui en un mot …il vaut mieux s’adresser au bon DIEU qu’à ses saints
– Je vous en prie IVER…! On n’est plus en France
– PARDON mon père…mais j’ai besoin de votre intervention pour ce logement en enfer…… ça se fait surement ici aussi… !
– Ok ok ne parlons pas de ce qui fâches…Je vous emmène, je vais essayer de négocier cela avec Lucifer ne vous attendez pas à «  démons »  et merveilles


L’enfer est il le paradis ?



Aussitôt dit, aussitôt fait, voilà Saint Pierre chaussé de ses chaussures à semelle anti braise entraînant mon IVER RUD en charentaises, son dossier paradis-médical sous le drap et les couvertures dans lesquelles il est enveloppé..!
Ça descend, ça descend encore, et plus ça descend et plus ça chauffe … Saint Pierre, qui a déjà fait une ou deux fois le voyage pour réparer des erreurs d’aiguillages, commence à transpirer à grosses gouttes, alors que derrière lui, IVER RUD maintien ses couvertures, il ne s’aperçoit même pas que la semelle de ses charentaises se consume.
Enfin arrivés devant une porte en fer rougeoyante car chauffée à blanc, Saint Pierre s’arrête devant le paillasson cramoisi où est inscrit « WELCOME » en lettres de feu. Là un peu surpris, il  prend pour se protéger de la chaleur, un pan de sa tunique… il tape 3 coups avec le marteau brulant  en forme de tête de bouc. Un diablotin, au teint rouge écarlate, ouvre une petite fenêtre permettant  une discussion de conciergerie.
C’est à quel sujet mon père …
– Je souhaite dialoguer avec LUCIFER … au sujet d’un de nos ressortissants du paradis qui a un problème d’adaptation chez nous…! M RUD ici présent, demande donc le droit d’asile chez vous.
 Il examine le dossier et dit :

Très mauvais dossier pour nous….! Il arrive avec des idées subversives …mais c’est pas vrai … ! Il a rien pour lui votre bonhomme…. avec ce nom là, il est sans doute étranger…. et sans papier je suppose… ?….ils les perdent tous pensant que ça va brouiller les pistes…..il jette un coup d’œil à ses charentaises, enfin ce qu’il en restait, pour déclarer «En plus il ne connaît pas BESSON (chausseur homonyme du ministre de l’immigration)» ….
– Mon père il faut leur dire il n’y a pas de place en enfer pour eux.. !
Enfin nous avons quelques semblant de règles…… ils restent en enfer quelques mois et une commission présidée par LUCIFER décide toujours de les reconduire au-delà de l’enfer
Il y a donc pire lieu que l’enfer pour eux…s’enquit Saint Pierre
Oui… chez eux dans leur pays… !
On peut donc prendre RUD sur la base de ces conditions.
Saint Pierre accepta, à la condition qu’il soit pris à l’essai, et de pouvoir le reprendre avant la décision de cette commission, à tout moment, sur simple demande de la part d’IVER.
Le diablotin remis un récépissé provisoire de séjour à Saint Pierre à travers sa petite lucarne.
« Revenez dans 10 semaines »
La porte s’ouvre pour laisser pénétrer IVER. Là, des fumées imprégnées de souffre s’écartent pour laisser des flammèches venir lécher l’encadrement dégageant une chaleur qui ravit IVER RUD. Il entre souriant avec un dernier signe de sa main toujours enfouie sous sa couverture.
Tu seras au chaud…mais demande à revenir dès que tu veux mon petit ……je reviendrai te chercher … ! La porte de fer se referme au nez et à la barbe de Saint Pierre qui reprend la route du paradis.
Sur le trajet du retour, Saint Pierre se jure de revenir bien avant ce délai…!


Quelques semaines plus tard, Saint Pierre s’enquit auprès de son secrétariat si l’on avait des nouvelles d’IVER. A la huitième semaine inquiet et sans nouvelles d’IVER, il rechausse ses chaussures à semelle anti braise et reprend le chemin de l’enfer
ça descend, ça descend encore et plus ça descend et plus ça chauffe …! Saint Pierre qui a déjà fait le voyage la dernière fois connait les sensations et commence à transpirer à grosses gouttes.
Arrivé à la porte en fer sur le paillasson cramoisi où le welcome flambant est toujours là, le marteau à tête de bouc lui jette un regard énigmatique…
Il frappe trois fois, et dans le temps d’attente voit défiler les pires idées noires pour notre pauvre IVER…. l’angoisse le gagne. Le bruit d’ouverture de la petite lucarne le sort de ses pensées. C’est pas le même diablotin mais il semble le reconnaitre
– AH ? C’est vous mon père, vous venez pour IVER …Vous voulez voir comment il va… ! Attendez je vous ouvre.
Il ouvre la porte, et immédiatement fendant les fumées acres et les flammèches rouge, Saint Pierre entend, mêlée à un immense bouffée de chaleur, la voix d’IVER qui fait retentir un tonitruant :
« LAAAAA POOOOOORTE…..!»

Comme vous le voyez avec le dénouement de cette histoire
« l’enfer, c’est pas le paradis »


C’est ce que l’on appelle la malédiction des RUD dont on ne sait par quel miracle leur histoire nous est parvenue jusqu’à nous.

Mémé Marthe n’a jamais voulu me dire, comment elle savait ça …Quand je le lui demandais avec insistance, elle répondait:
«  C’est mon petit doigt qui me l’a dit «
« DIABLE …! Dans quelle oreille l’auriculaire de Mémé Marthe s’était-il donc fourré……?
Dans celui de Saint Pierre… à n’en pas douter..! »

« L’enfer a été fait pour les curieux » Saint Augustin



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