Archives par étiquette : facteur

MON POTE LE FACTEUR: Madame MOLE RAYMOND peinte par ELISABETH VIGÉE LEBRUN

OH HE LES MUCHACHOS ...J'APPORTE LE COURRIERpar
Mon pote le facteur
et son Muchacho Philochou

« Fils de paysan, je veux vivre et mourir pour prouver que dans ma catégorie, il y a aussi des hommes de génie et d’énergie »
Ferdinand Cheval (1836-1924)

– Philochou…..C’est moi de mon vrai nom Philippe ATHELISTE  mes copains m’appelle Phil…ATHELISTE
mais LADY LADINDE  quand elle  m’a vu au comité de rédaction …
elle m’a dit: « Toi chéri chéri…  Chou comme t’es, chez nous  tu vas t’appeler
 » PHILOCHOU »
Je fais équipe avec mon voisin SANTA CRUZ un facteur retraité… un espagnol originaire de Tarbes comme Henri Genes son idole…!
Alors il m’a dit « Oh hé le muchacho…. Viens avec moi on va leur porter le courrier…. tu seras mon comparse… nous leur ferons découvrir la culture et  le rêve  contenu dans le timbre poste »

– Allez ..MOTEUR … ACTION … Vas y Muchacho appuie sur ce bouton pour envoyer le générique 

Musique d’ambiance

SANTA CRUZ ET PHILOCHOU VOUS FONT REDÉCOUVRIR UNE SÉRIE  SUR LES PORTRAITS DE  FEMMES
Les 12 visuels des timbres représentent des portraits de femmes dans la peinture :

Le 8 mars 2012.
Ce carnet de 12 timbres autocollants est émis pour célébrer
la journée internationale de la FemmeLes timbres représentent des plans rapprochés sur les visages des femmes.
Ceci afin de voir, sur la petite surface du timbre, l’expression de chacune : espiègle ou mélancolique, austère ou rêveuse, pudique ou sereine, triste ou Consciente de sa  beauté et du pouvoir de sa  féminité, insolente ou charmeuse, fière ou ombrageuse …

 AUJOURD’HUI

  ELISABETH VIGÉE LEBRUN

PORTRAIT DE
Madame MOLÉ-RAYMOND
de la comédie italienne ( détail)
Musée du Louvre
par ELISABETH VIGÉE LEBRUN

ÉLISABETH VIGÉE LEBRUN
(1755 – 1842)

Elisabeth-Louise Vigée-Lebrun est née à Paris en 1755 d’un père artiste, Elisabeth décide à l’âge de 14 ans de consacrer sa vie à l’art. Formée par un peintre Élisabeth Vigée-Lebrun commence très jeune à peindre et a du succès très tôt.
C’est Vers 1770 qu’Élisabeth Vigée-Lebrun fait ses débuts dans le métier. Grâce à son talent, elle devient la première femme peintre connue et reconnue en France.

Elle épouse en 1775 Jean-Baptiste-Pierre Le Brun, un marchand de tableau avisé qui fera beaucoup pour la carrière de sa femme.

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A partir de 1780 Elisabeth Vigée-Lebrun devient la portraitiste de la haute société, elle sympathise avec la reine Marie-Antoinette et fera d’elle plusieurs portraits qui se trouvent au musée de Versailles.

Peintre attitré de la reine Marie-Antoinette, elle est obligée de s’exiler en 1789.

Elle se rend alors dans les diverses cours d’Europe où elle reçoit un bon accueil et continue d’exercer son art, celui du portrait.

Portrait d’ Anna Ivanovna Tolstoy (Baryatinskaya)

Il se trouve qu’Élisabeth Vigée-Lebrun est on succès à un revers, elle est critiquée, on lui reproche surtout son amitié avec la reine Marie-Antoinette qui est très impopulaire avant la Révolution.Dès 1789 elle émigre et fréquente les cours d’Italie, d’Autriche et de Russie où elle séjourne plusieurs années, peignant les nobles de Saint-Pétersbourg, dont la comtesse Skavronskaia, dame d’honneur de Catherine II.

C’est à Vienne, en 1793, qu’elle apprit la nouvelle de l’exécution de Louis XVI et de son amie Marie-Antoinette.

Après la Révolution, c’est  grâce aux démarches de son mari, marchand de tableaux et du peintre David qu’elle put revenir en France en 1802.Elle se consacre alors à la peinture des paysages.
En 1835 elle publie ses souvenirs, une vision personnelle de cette époque bouleversée qui connaît un grand succès.

Avant de vous laisser  poursuivre seuls la vie et l’oeuvre
de cette artiste, je vous propose de regarder avec moi son autoportrait avec sa fille et celui de Madame Molé-Raymond qui était actrice à la Comédie italienne( figurant sur le timbre et dont le portrait en pied figure ci dessous) , Regardez ces personnages qui semblent toujours vivants à travers les siècles.

« – Les femmes régnaient alors, la révolution les a détrônées ».

On peut s’étonner qu’une femme ait connu le succès en tant qu’artiste dans la société masculine du XVIIIe siècle, Elisabeth Vigée-Lebrun l’explique elle-même

« – Les femmes régnaient alors, la révolution les a détrônées »

Il est probable qu’Élisabeth Vigée-Lebrun ouvrit la voie aux femmes.
Mais il faut attendre un siècle, vers 1870, pour découvrir d’autres femmes peintres : Berthe Morisot, Mary Cassatt, Marie Laurencin et Marie Caire, par exemple.
Cliquez le portrait de
-La contesse Skavronskaia ci-dessus
et visitez une galerie de ses meilleurs tableaux

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LA FEMME DU JOUR : Madame Molé-Raymond

Le tableau dont le timbre représente un détail montre un visage enjoué, une richesse des tissus, des coloris chaleureux et brillants.

C’est le portrait de Madame Molé-Raymond, comédienne de théâtre.
Le tableau date de 1786.

SOURCE : MUSÉE DU LOUVRE – WIKIPEDIA   – PHIL@POSTE

 

 

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« Nous finirons tous timbrés »

RETRO: C’est du même tabac…..


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MON POTE LE FACTEUR : Berthe Morisot …. et sa jeune fille en toilette de bal

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Ferdinand Cheval (1836-1924)

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AUJOURD’HUI
BERTHE MORISOT
PORTRAIT DE
Jeune femme en toilette de bal (détail)
par Berthe Morisot
Musée d’Orsay, Paris

WIKIPEDIA : Portrait de Berthe Morisot dans Le Balcon d'Édouard Manet.Berthe MORISOT (1841-1895)

Le 14 janvier 1841 naît à Bourges Berthe Morisot.

    Issue d?une famille bourgeoise fortunée, Berthe Morisot, élève de Guichard, amie de Daubigny et de Daumier, peint des paysages dans l?esprit de Corot.
Sa rencontre avec Manet est décisive pour son évolution artistique et sentimentale.
Manet exécute de son modèle nombre de portraits, dont Le Balcon (1868). Berthe Morisot, épouse d?Eugène Manet, frère du peintre, se lance dans l?exécution de paysages de plein air.

De cette époque datent Vue du petit port de l?Orient (1869), La Chasse aux papillons (1874), L?Entrée du port (1874). Dans le même temps, Berthe Morisot s?attache à peindre des portraits et des scènes intimistes.
Le Berceau (1873), Dans la salle à manger (1886), Cousant dans le jardin (1881), Dans l?herbe à Maurecourt (1884), Le Cerisier (1891) figurent parmi ses toiles les plus réussies et les plus lumineuses.


LA FEMME DU JOUR: Jeune femme en toilette de bal 

Berthe Morisot (1841-1895) Jeune femme en toilette de bal, 1879 Huile sur toile, 71 x 54 cm Paris, musée d'Orsay

Si certains peintres, critiques et écrivains, tel Joris-Karl Huysmans, ne voient dans les toiles de Berthe Morisot qu?un « pimpant brouillis de blanc et de rose » ou « d?adorables délices de toilettes mondaines », d?autres, moins misogynes, ne s?y trompent pas, qui voient dans cette manière d?improvisation un « charme féminin sans mièvrerie » et des « valeurs d?une justesse rigoureuse ».

Lorsqu’elle présente une quinzaine de tableaux à la cinquième exposition impressionniste en 1880, dont celui-ci, Charles Ephrussi livre dans la Gazette des Beaux-Arts une description poétique et une analyse sensible de l’ensemble :
« Mme Berthe Morisot est française par la distinction, l’élégance, la gaieté, l’insouciance ; elle aime la peinture réjouissante et remuante ; elle broie sur sa palette des pétales de fleurs, pour les étaler ensuite sur la toile en touches spirituelles, soufflées, jetées un peu au hasard, qui s’accordent, se combinent et finissent par produire quelque chose de fin, de vif et de charmant« .
Ces considérations, pourtant générales, s’accordent parfaitement avec ce tableau. On y observe en effet un modèle plongé dans un environnement végétal qui résonne, tant par la forme que par le traitement, avec la garniture de son décolleté.

Jouissant également de la reconnaissance des artistes, Berthe Morisot vend immédiatement sa Jeune femme en toilette de bal au peintre d’origine italienne, Giuseppe de Nittis (1846-1884) qui avait participé à la première manifestation

SOURCE : MUSEE D’ORSAY – WIKIPEDIA   – PHIL@POSTE

Santa Cruz et Philochou
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MON POTE LE FACTEUR : Edouard Manet …Portrait de Berthe Morisot (1872)

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AUJOURD’HUI
EDOUARD MANET
PORTRAIT DE
BERTHE MORISOT 1872

UNE FEMME: Berthe Morisot au bouquet de violettes

Artiste Édouard Manet Année 1872 Technique huile sur toile Dimensions (H × L) 55 cm × 38 cm Localisation Musée d'Orsay

Berthe Morisot au bouquet de violettes est un tableau réalisé par le peintre Édouard Manet en 1872.
La toile représente la future belle-soeur de l’artiste, Berthe Morisot, elle-même peintre, qui épousera son frère Eugène Manet en 1874.

La jeune femme, qui arbore un bouquet de violettes, est représentée dans un habile mélange de clair et d’obscur donnant au tableau un esprit très particulier.

Une oeuvre de Manet à voir au Musée d’Orsay

« L’œuvre la plus réussie d’Édouard Manet. » (Paul Valéry)

La guerre franco-prussienne et la Commune ont profondément marqué Edouard Manet. Resté à Paris, il a servi dans la garde nationale et son activité artistique s’en est trouvée inévitablement ralentie. A la fin de l’année 1871 il se remet à peindre et retrouve alors ses anciens modèles dont Berthe Morisot, jeune peintre avec qui il partage une amitié profonde et qui épousera l’un de ses frères quelques années plus tard.

Plutôt que d’utiliser un éclairage homogène, comme souvent dans ses portraits, Manet préfère ici projeter sur son modèle une lumière vive et latérale, si bien que Berthe Morisot ne semble être qu’ombre et lumière. Ici avec les yeux noirs, ils étaient en réalité verts, elle est habillée et coiffée de noir, sans doute la meilleure façon d’exalter cette beauté « espagnole » remarquée dès sa première apparition dans l’?uvre de Manet en 1869. Avec cette sublime variation sur le noir, Manet livre une nouvelle preuve de sa virtuosité. Mais peut-être donne-t-il également un avertissement à sa jeune disciple en lui rappelant l’étonnante puissance des noirs, alors qu’elle peignait de plus en plus clair et filait droit sur le chemin de l’impressionnisme.

Ce portrait étrange et envoûtant a rapidement été considéré par ses proches comme un des chefs-d’oeuvre du peintre. Paul Valéry en fait également l’éloge en 1932, dans sa préface au catalogue de la rétrospective de l’Orangerie. « Je ne mets rien », écrit-il, « dans l’?uvre de Manet, au-dessus d’un certain portrait de Berthe Morisot, daté de 1872 ».
Source: Musée d?Orsay

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RETRO: C’est du même tabac…..

 
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