Archives par étiquette : douces

LES GRANDS MAGNETISEURS: Maitre Philippe de Lyon

 retrouver régulièrement la rubrique le mal maltraitéBLOC NOTE LADY LADINDE Bloc note Choulager

de CHOU BLANC

Ma grand mère magnétiseuse comme moi…. me parlait parfois des modèles de son époque, ceux des siens qui faisaient  en ce temps là son admiration et font depuis référence pour moi comme pour d’autres…… Jugez plutôt

MAITRE PHILIPPE DE LYON

Monsieur Philippe (1849-1905) opérait des guérisons qui semblaient tenir du miracle. Aussi, certains le tenaient-ils pour une réincarnation du Christ ou de l’un des apôtres. Mais il démentait ces rumeurs:

«Je ne vous ai jamais dit que j’avais été l’un quelconque des apôtres du Christ. Je suis un pauvre pêcheur du temps de Notre Seigneur Jésus; j’étais avec les apôtres, voilà tout.»

Serge Hutin décrit Monsieur Philippe comme un être de foi et de charité intenses en même temps qu’un médecin et guérisseur aux pouvoirs quasi miraculeux.

Nizier Anthelme Philippe naquit le 25 avril 1849 dans un petit village de Savoie. Ses parents étaient de pauvres paysans. Au cours de sa grossesse, sa mère rendit visite au Curé d’Ars qui lui annonça qu’elle aurait un fils et qu’il serait un être très élevé.

Premières guérisons à 13 ans

À l’âge de six ans, Nizier était l’objet de manifestations qui inquiétaient le curé de son village. À treize ans, il obtenait déjà des guérisons, mais ne se rendit pas compte des choses étranges qui s’opéraient en lui.

Parlant de son enfance et de ses dons, il disait :

«J’ignore tout de moi, je n’ai jamais compris ni cherché à m’expliquer mon mystère. J’avais six ans à peine et déjà le curé de mon village s’inquiétait de certaines manifestations, dont je n’avais pas conscience… J’obtenais des guérisons dès l’âge de 13 ans, alors que j’étais encore incapable de me rendre compte des choses étranges qui s’opéraient en moi.»

Plus tard il décida d’étudier la médecine et suivit assidûment les cours de ses quatre premières inscriptions… Il fut refusé à sa 5e inscription, sous prétexte qu’il s’adonnait à la médecine occulte et était un véritable charlatan. Ce geste stupide de la part de la Faculté ne l’empêcha nullement de se pencher sur la souffrance des autres ni de leur apporter le réconfort et la guérison.

En 1885, il s’installe à Lyon. Et c’est là qu’il donnera ses plus retentissantes consultations et obtiendra certaines de ses guérisons les plus troublantes. Il recevait ses malades en groupe deux fois par jour…. brusquement, il touchait un malade, et , le regardant plus fixement encore, il lui donnait l’ordre de guérir, lui affirmant que la guérison s’opérait au fur et à mesure q’il lui faisait des passes magnétiques.

«On n’en finirait pas, écrit Serge Hutin, d’énumérer ses guérisons de sujets que l’on croyait condamnés. Des guérisons instantanées qu’aucun délai de convalescence ne devait suivre et qui comportaient, dans certains cas, d’appréciables reconstitution des tissus cellulaires (…). Il voyait au fond des êtres. il lisait la véritable personnalité. Il croyait à la réincarnation, donc, à des vies antérieures, et savait les révéler

Des médecins le firent traduire devant le Tribunal pour «exercice illégal de la médecine», Il fut condamné à 75 amendes successives. Mais, ses adversaires les plus hargneux se découragèrent et plusieurs praticiens officiels lui adressèrent, par la suite, leurs cas difficiles.

Beaucoup de célébrités de l’époque tenaient à rencontrer ce personnage exceptionnel, considéré pourtant en France, comme un vulgaire charlatan, Le Tsar Nicolas II le fit venir à St-Petersbourg. Il devint le conseiller du couple impérial et opéra en Russie de nombreuses guérisons. Le tsar le fit nommer médecin de l’armée russe et conseiller d’état avec rang de général.

De retour en France, Monsieur Philippe, celui qu’on appelait alors le Médecin des pauvres, ne cessa de soulager la misère humaine, malgré les sarcasmes et les calomnies qu’on lui prodiguait.

Monsieur Philippe mourut le 2 août 1905 à la suite d’une longue maladie qui lui apporta des souffrances épouvantables: «Je suis crucifié vivant», disait-il.

Guérison d’une hydropique

Parmi les nombreuses guérisons opérées par Monsieur Philippe, en voici une très spectaculaire. Son intérêt, en plus de son instantanéité, tient au fait qu’elle fut opérée en présence de trois médecins qui y ont assisté comme témoins oculaires.

Le professeur Brouardel avait été envoyé à Lyon pour assister à une séance de guérison chez Monsieur Philippe. Il s’y était rendu avec les docteurs Encausse et Lalande.

La commission choisit parmi ses malades une énorme hydropique qui paraissait à toute extrémité. Ses jambes étaient comme des pilastres, son torse comme une tour et ses bras comme des courges de Provence, le tout sur le point de fendre.

Monsieur Philippe leur demanda «Eh bien! que pensez-vous de cette femme?» Celui-ci déclara qu’elle était hydropique au dernier degré et qu’elle n’avait probablement que quelques heures à vivre.

Alors Monsieur Philippe lui ordonna assez rudement de marcher. «Je ne peux pas.» – «Viens!» Elle fit en gémissant quelques pas, puis, au bout d’un moment, elle se mit à marcher normalement. Tout à coup, elle s’écria: «Maintenant, je vais danser.» Ce qu’elle fit, retenant ses vêtements devenus subitement beaucoup trop grands.

Elle était guérie. Le professeur l’examina. L’enflure monstrueuse avait disparu et il n’y avait sur le plancher aucune trace de liquide.

Les médecins Encausse et Lalande établirent immédiatement un constat, le professeur Brouardel, tout en s’inclinant devant l’évidence, refusa d’apposer son paraphe à côté des leurs, sous prétexte qu’il n’avait pas compris ce qui s’était passé. Il se retira après avoir salué Monsieur Philippe et les personnes présentes.

Hommage  à Maître Philippe de Lyon

Papus (Dr Gérard Encausse)

«Dans les rues de la ville qu’il habite, on le voit passer, humble entre les humbles. Les pauvres gens, seuls, le bénissent et le connaissent (…..) (NDLR : car ils sont nombreux à lui devoir leur vie ou celle de leur enfant.)

Demandez à tous ces gens le nom de cet homme, ils vous diront: «C’est le père des pauvres.» Interrogez cet homme, demandez-lui qui il est, d’où il tient ses pouvoirs étranges et terribles, il vous répondra: «Je suis moins qu’une pierre. Dès treize ans, j’opérais des guérisons miraculeuses. je suis un intermédiaire inconscient entre l’humanité et un pouvoir supérieur qui plane au-dessus d’elle. Les résultats stupéfiants que j’obtiens chaque jour, je les admire et ne les comprend pas.»

Chaque magnétiseur sans être au niveau de maitre Philippe de LYON vous dira la même chose que lui

« Les résultats stupéfiants que j’obtiens chaque jour, je les admire et ne les comprends pas.»

« C’est une sotte présomption d’aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne nous semble pas vraisemblable. J’en faisais ainsi autrefois; et si j’oyais parler ou des esprits qui reviennent ou du pronostic des choses futures, des enchantements, des sorcelleries ou faire quelque autre conte où je ne pusse pas mordre, il me venait compassion du pauvre peuple abusé de ces folies. Et à présent, je trouve que j’étais pour le moins autant à plaindre moi-même ». (Montaigne)

retrouver régulièrement la rubrique le mal maltraité

Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez Chou Blanc

Share Button