La Partition de MA2 (Sortie de son piano, MA2 nous revient) Musique à deux
Saint-Saëns Camille – 1835-1921
Camille Saint-Saëns est un compositeur et musicien français de l’époque romantique, né à Paris le 9 octobre 1835 et mort à Alger le 16 décembre 1921.
Il était également pianiste et organiste. Il a écrit douze opéras, dont le plus connu est Samson et Dalila (1877), de nombreux oratorios, cinq symphonies, cinq concertos pour piano, trois pour violon et deux pour violoncelle, des compositions chorales, de la musique de chambre, des pièces pittoresques, dont Le Carnaval des animaux1886.
De plus, il occupe une place particulière dans l’histoire du septième art, puisqu’il est, en 1908, le tout premier compositeur de renom à composer une musique spécialement pour un film, L’Assassinat du duc de Guise.
Source: Wikippédia
LE CARNAVAL DES ANIMAUX
LE CARNAVAL DES ANIMAUX DE CAMILLE SAINT SAËNS
LA MARCHE DU LION
LE CYGNE
L’AQUARIUM
POULES ET COQS
L’ÉLÉPHANT
LES TORTUES
LA VOLIERE
LE KANGOUROU
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Le FINAL du carnaval
c’était too much
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Coup de de Louis Fine Tous les animaux racontés par claude PIÉPLU : ici le lion
M A 2 Ma musique à deux Mise en page et sonorisation réalisée avec la complicité de CHOU BLANC et Louis FINE
Avec le nom que j’ai, vous comprendrez aisément que je ne veuille pas mourir idiote aussi, lorsque je découvre des choses pour m’instruire, je vais vous en faire part….OK De temps en temps…. vous aurez à vous farcir Ladinde avec sa rubrique ” Et si je ne voulais pas mourir idiote”
AUJOURD’HUI LADY LADINDE PROPOSE DE DÉCOUVRIR
Le carré magique dit carré magique de DÜRER
Albrecht Dürer peintre et graveur et mathématicien allemand (1471-1528)
Selon la tradition familiale, Albrecht est lui aussi destiné au métier d’orfèvre.
À 13 ans, il devient donc l’apprenti pendant trois ans et apprend à se servir du burin et de la pointe.
En 1486 Voyant les dons de son fils pour le dessin, son père lui donne la permission d’entrer dans l’atelier d’un peintre.
Avec lui, il apprend à manier la plume et le pinceau, à copier et dessiner d’après nature, à réaliser des paysages à la gouache et à l’aquarelle et également à peindre à l’huile.
Il se familiarise également avec la technique de gravure sur bois.
Le peintre et la géométrie
Albrecht Dürer était un esprit très ouvert, curieux de tout. Il s’est ainsi intéressé aux mathématiques, entre autres, et en particulier à la géométrie.
En 1525, il publie un manuel de géométrie pratique dans lequel il donne notamment de nombreuses constructions pratiques de certaines figures, dont les polygones réguliers.
Cependant dans cet ouvrage, Dürer n’aborde pas la question des carrés magiques ni du carré magique de Durer.
Ce carré magique ci-dessous a été immortalisé par le peintre , qui l’a représenté dans sa célèbre gravure, souvent reproduite, ” Melencolia “, exécutée en 1514 : cette date figure dans les deux cases médianes de la dernière ligne de ce carré magique normal ; c’est aussi la date de la mort de Barbara, la mère d’Albrecht Dürer.
D’aucuns pensent que c’est la première apparition en occident de ce carré magique (cf. illustration)
“Nous allons voir que ce carré magique représenté dans la ” Melencolia “, connu sous l’appellation de ” Carré de Dürer ” et souvent donné comme référence, est doté de propriétés étonnantes….
Additionnez dans tous les sens vous trouvez toujours 34 … ???
Agaçant…. Mais je vais pas mourir idiote…! ”
LADY LADINDE “La vieille ne voulait pas mourir car elle en apprenait tous les jours”
ALLEZ MAMY…! RACONTE….! est une série pour les petits et les grands enfants..!
Tout les mercredi hiver comme été dans la Chouette, ma Mamy se transforme en conteuse de bord de mer….ou d’Arrière pays…. Ben avec elle..! On a de quoi se distraire….!
AUJOURD’HUI C’EST UN CONTE ALLEMAND :
LES SEPT CORBEAUX
– Mes chers enfants moi aussi j’avais une grand mère qui, se plaisait à me parler d’histoires qui m’aidaient à mieux me connaitre ou à découvrir le monde ..
– Dans ce conte je devenais, grâce à elle, cette petite fille qui arrivait au pays de étoiles…
– ALLEZ.. ACTION Mamy..! Dis nous…Dis nous…!
– Voici letexte du conteque je vais, comme elle, vous lire..!
LES SEPT CORBEAUX
Il était une fois un homme et une femme qui avaient déjà sept garçons quand leur vint enfin une fille tant espérée, mais si chétive…
Le père trembla de perdre ce petit être à peine né.
Il y avait au bas du pré une source d’eau vive que l’on disait miraculeuse.
Il envoya à cette source ses sept garçons puiser de l’eau dans une fiole de cristal.
Les sept frères partirent au pas de course.
Arrivés à la source, ce fut à qui puiserait l’eau : – Moi, moi ! Non c’est moi ! Tant et si bien que le flacon échappa à leurs mains fébriles et alla se briser en éclats sur la dalle.
L’écho de ce fracas tinta à l’infini. Soudain figés de peur, les sept garçons ne bougeaient plus.
Là-bas, à la maison, le père inquiet pour sa petite criait au même instant : « Maudits garçons où traînent-ils ? Puissent-ils se transformer en corbeaux et que seule cette fillette puisse les délivrer un jour ! »
Fffttt ! L’air chuinta. Sept corbeaux, survolant la maison, s’envolèrent par-delà la forêt.
La fillette ne mourut pas. Elle grandit en ignorant qu’elle avait eu des frères.
Or un jour de grosse lessive – elle avait environ sept ans – elle vit sur la corde à linge, sécher sept petites chemises. – « À qui sont ces chemises ? Elles sont trop petites pour être à papa ! »
On lui raconta l’histoire de ses sept frères transformés en corbeaux le jour de sa naissance.
La nuit suivante, elle s’enfuit de la maison.
Elle n’emporta rien qu’un fragment de cristal de la fiole cassée.
Elle marcha longtemps.
Elle arriva au pays des étoiles. Elle les salua et leur raconta son histoire. L’étoile du berger lui répondit : « Pour délivrer tes frères de la malédiction, tu dois leur tisser sept chemises d’orties sans prononcer un mot. Ensuite tu chercheras la montagne de verre. C’est là que vivent tes sept frères. Voici la clé pour en ouvrir la porte. ». Elle lui donna un petit bout d’os.
La fillette remercia, mit la clé dans sa poche et dit au revoir aux étoiles.
Elle marcha longtemps. Elle trouva un champ d’orties. Elle s’assit, fila, tissa, cousit sept chemises d’orties sans prononcer un mot.
Quand les chemises furent faites, elle reprit sa route. Elle marcha longtemps. Elle trouva la montagne de verre.
La porte était fermée. Elle alla dans sa poche pour y prendre le petit os.
La poche avait un trou et l’os avait filé.
Alors elle prit son couteau et se coupa le petit doigt pour en faire une clé nouvelle.
Cela marcha très bien !
La porte s’ouvrit toute grande.
Il y avait une salle à manger. Le couvert était mis – sept assiettes et sept gobelets – et le repas servi.
La fillette mangea une bouchée dans chaque assiette et but une gorgée dans chaque gobelet. Puis elle alla se coucher dans un petit lit blanc. Arrivèrent les sept corbeaux dans leurs livrées de plumes noires. – Qui a mangé dans mon assiette ?
– Qui a bu dans mon gobelet ?
– Oh ! Regardez ce fragment de cristal de la fiole que nous avons cassée !
– Quelqu’un de par chez nous est venu jusqu’ici.
– Si c’était notre sœur nous serions bientôt délivrés !
C’était à qui croassait le plus fort.
La fillette se réveilla. Elle entra doucement dans la salle à manger.
Elle jeta une chemise sur chacun des frères corbeaux.
À l’instant, dans un fouillis de plumes noires qui virevoltèrent partout, les sept corbeaux redevinrent garçons.
Toute la nuit ils firent fête et dès le lendemain matin, ils s’en allèrent tous ensemble, les sept garçons et leur vaillante sœur, retrouver leurs parents à la maison.
“La parole touche souvent ce que la flèche ne peut atteindre.”
Génie précoce, dessinateur fougueux, disgrâce… Le destin de ce peintre parmesan, devenu alchimiste, ne manque pas de piquant.
Anatomie d’un prodige méconnu de la Haute Renaissance italienne.
Ses contemporains voyaient en lui la réincarnation de Raphaël. Pourtant, le talent de Parmigianino (de son vrai nom Francesco Mazzola, 1503-1540) reste méconnu.
Philtre d’amour
Caressé à la craie rouge, un visage d’une douceur infinie.
Cette divine tête d’enfant, couronnée d’une vaporeuse chevelure d’ange, est signée Parmigianino.
Né à Parme (d’où son surnom), élevé par ses oncles peintres, l’artiste butine d’un style à l’autre, s’inspirant du Corrège, puisant des formules chez Léonard, Michel-Ange ou Raphaël.
Doué pour le luth, il annote ses dessins, y griffonnant des vers ou des notes de musique.
Très vite, son talent agit comme un philtre d’amour. A seulement seize ans, « le petit Parmesan » se fait remarquer dans sa ville natale.
A vingt ans, il plie bagage pour Rome. Sa carte de visite ? Un virtuose «Autoportrait au miroir convexe », tableau insolite reproduisant la distorsion des formes.
Avec un premier plan étonnant : sa main, grossie par l’effet d’optique.
Titiller les règles de bienséance
Sanguine, pierre noire, gravure : d’une créativité bouillonnante, Parmigianino varie autant les sujets que les techniques. Résultat ?
Une cinquantaine de peintures et de fresques, et plus d’un millier de dessins : une furieuse esquisse à l’encre, un Cupidon canaille aux tons délicats, ou encore une serpentine « Vierge au long cou », prélude aux femmes expressives de Modigliani, dotées de traits fins et de visages ovales…
Arrivé à Rome, le Parmesan fait sensation : serait-il la réincarnation de Raphaël, mort trois ans plus tôt ?
Chez le jeune homme – lui aussi orphelin et à l’allure charmante – on croit retrouver la grâce et la finesse du trait, le mystère et la sensualité, ainsi que la capacité d’imitation et d’invention propres au grand maître. Mais s’il admirait Raphaël, cherchant toujours à atteindre la perfection de son geste, Parmigianino avait aussi sa propre signature. Torsion des corps, exagération des formes, étirement des perspectives : le peintre apparaît comme l’un des précurseurs du maniérisme. Un nouveau courant qui, sans rompre avec la Renaissance, brouille les pistes. L’artiste fait à sa manière, quitte à déroger aux canons du Quattrocento… ou à titiller les règles de bienséance.
En dessin, il n’hésite pas à croquer des scènes érotiques. Dans ses tableaux religieux, un je-ne-sais-quoi d’étrange se cache toujours dans l’ombre : sensuelle et troublante, sa « Vierge à la rose » a le sein qui pointe sous sa tunique trop fine…
Le peintre apparaît comme l’un des précurseurs du maniérisme. Le maniérisme…C’est quoi?
Une passion destructrice pour l’alchimie
Et pourtant, son génie reste méconnu. En 1527, la violence du sac de Rome l’oblige à se réfugier à Bologne. Ce repli forcé l’aurait-il empêché d’atteindre la gloire ? Multipliant les études, il laisse ensuite de nombreuses œuvres inachevées. En 1539, on lui intente même un procès: commandée huit ans plus tôt, sa fresque – destinée à orner l’arc d’un presbytère à Parme – n’est toujours pas terminée. En disgrâce, l’artiste s’exile à Casalmaggiore, où il meurt peu après d’une forte fièvre.
Fut-il victime de son perfectionnisme destructeur ? Ou d’une addiction à l’alchimie, comme le relate l’auteur Giorgio Vasari (1511-1574) ? Transformation de métaux en or, recherche de la vie éternelle : obsédé par cette science obscure, le peintre aurait perdu son temps à congeler du mercure, jusqu’à délaisser son art… et perdre la santé. Si elle alimente le mythe, cette version contestée n’enlève rien au talent du maître. Ni à la beauté de ses dessins.
Excellent ouvrage, et très dommage que cette édition ne soit plus tirée. Certains ouvrages sont devenus des collectors.
Quatrième de couverture
Au bref apogée de la Renaissance classique succède le triomphe du maniérisme. Destiné à devenir la langue artistique dominante du XVIᵉ siècle, celui-ci prend naissance à Florence et à Rome entre 1515 et 1525 avant de se répandre rapidement à travers toute l’Europe. Après le gothique, le maniérisme est ainsi le premier style qui possède une dimension véritablement internationale et européenne.Il n’investit pas seulement les «arts du dessin» (architecture, peinture et sculpture), il s’approprie les arts dits mineurs – mobilier, décor intérieur, art des jardins ou du vêtement – et jusqu’aux comportements sociaux : le développement des «belles manières» est intimement lié à l’idéal artistique de la maniera.
Celle-ci marque aussi la littérature, la musique et les arts du spectacle.Au service de la vie fastueuse et ostentatoire que mène le prince, le maniérisme est indissociable des crises (politiques, religieuses, économiques) que traverse le pouvoir qu’il contribue à glorifier.
Ses multiples paradoxes constituent une réponse – d’ordre parfois ludique, parfois magique – à l’échec qu’a connu l’optimisme messianique qui animait le «mythe de la Renaissance». Un des apports majeurs de la période est d’ailleurs la formulation d’une véritable théorie de la création artistique : la Renaissance maniériste marque la naissance d’une conscience «moderne» de l’art et de l’artiste.