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La tendresse : yves Duteil

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LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse 90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

YVES DUTEIL

Et si la clé était ailleurs

Yves Duteil se confie comme il ne l’a jamais fait. Ses mots murmurent sa quête de sens, ses sentiers intérieurs, ses interrogations fondamentales :
« la spiritualité guide ma vie », confie-t-il dans ce magnifique livre témoignage et sa chanson
 » tendresse »

Extrait de la chanson

« A présent je sais que le pire
Ce serait de ne pas vieillir
D’arriver là où tout s’achève
Sans pouvoir terminer mon rêve
Puisque les jours nous sont comptés
Je voudrais vivre à tes côtés
Ce qui reste de temps humain
Sans jamais te lâcher la main. »

 

« La spiritualité n’est pas entrée en moi par effraction :
j’ai compris qu’elle était déjà là, qu’elle attendait le moment opportun pour me proposer son bras, comme on aide le malvoyant à traverser la rue aux mille dangers…
Attendrie par notre ignorance, elle nous offre un espace de vérité et parvient à s’imposer par son évidente simplicité. Sous la forme de rencontres, elle nous invite à une affinité intuitive avec des êtres dont la voix, le visage ou la lumière nous éclairent un instant la route.
Un service de phares et balises qui s’allume au passage comme pour nous dire : « c’est par là ».
La spiritualité attend son heure, accoudée au balcon de notre existence, comme l’inconnue d’une équation qu’on ne calcule pas mais qui détient la clé de notre identité remarquable…
Puis un jour, elle avance dans la lueur de notre désespoir, et nous dit en silence : « bon, on y va ? ». Une petite boussole de voyage dort toujours dans notre poche intérieure. C’est notre kit de survie…
Et si la clé était ailleurs ? »

– WHAOOU…!!!  J’aime quand il dit :
« L’éternité n’a cure du présent. Mais nous sommes peut-être les innombrables caractères dont elle a besoin pour écrire sa route et incarner cette continuité. Quelles que soient nos religions, nos croyances ou nos cultures, nous portons ce mystère comme une étincelle… C’est un mot d’amour, la graine d’un fruit, un pollen invisible qui féconde la terre et attend la saison propice pour germer, grandir et prospérer. C’est une pensée dans un jardin, une oasis peut-être ? Une espérance. »

papy-mamy-la-tendresse
Paroles de la chanson
Et si la clé était ailleurs

et si la clé était ailleurs

Chaque jour où le temps nous trahi
Et nous promet d’être immortel
Mais sur le seuil du Paradis
C’est vers l’enfer qu’il nous appelle
Et c’est lui qui nous fait défaut
Il nous apprend dès le berceau
A nous hisser jusqu’aux étoiles
En bâtissant des cathédrales
Puis en nous regardant vieillir
Nous débattre et nous affaiblir
Il reprend ce qu’il a donné
Le présent ne sait que passer.
Il nous parle d’éternité
Derrière sa faux bien affûtée
Il nous fait croire qu’on nous retient
Puis il nous glisse entre les mains

Mais si la clé était ailleurs
Dans l’infini ou dans nos cœurs,
Et si rien n’existait vraiment
Sinon ici et maintenant ?
A présent je sais que le pire
Ce serait de ne pas vieillir
D’arriver là où tout s’achève
Sans pouvoir terminer mon rêve
Puisque les jours nous sont comptés
Je voudrais vivre à tes côtés
Ce qui reste de temps humain
Sans jamais te lâcher la main.
L’hiver peut bien venir un jour
Rompre le fil de cet amour,
Effacer l’ombre de nos corps,
J’aurais tissé d’autres décors
Et gravé ces instants volés
En mots, en notes et en pensées,

Pour pouvoir les chanter encore,
Beaucoup plus loin et bien plus fort,
Dans l’infini ou dans nos cœurs.
Et si la clé était ailleurs
Défier la mort et rassembler
Les milliards de grains de beauté
Disséminés dans l’univers
Et l’amour qu’il reste à donner
Pour l’offrir à l’éternité
Et l’amour qu’il reste à donner
Pour l’offrir à l’éternité
♪♫♫♫♫♫♪

Yves Duteil – Si j’étais ton chemin

J’adore cette chanson. Quelle merveille !
Quel auteur, quelle sensibilité, quelle finesse, quelle belle âme !
Merci, et merci aussi pour toutes ses autres merveilleuses chansons.

papy-mamy-la-tendresse
Paroles de la chanson

♪♫♫♫♫♫♪

Si j’étais ton chemin

Assis, près du grand saule, au milieu du jardin
Comme à tes premier jours, penché sur ton coufin
Quand je berçais tes rêves à la tombée du soir
J’essaie d’imaginer le cour de ton histoire
Les lignes de ta main
Si j’étais ton chemin

Je me ferais discret dans l’ombre de tes pas
Pour t’aider à grandir et pour t’ouvrir la voie
Je serais la poussière qui s’envole de tes pieds
Un peu de mon bonheur qui colle à tes souliers
Je t’aimerais au point de te lâcher la main
Pour que tu sois le seul à choisir ton destin
A dessiner ta route en puisant au hasard
Les raisons d’espérer et la force d’y croire
Si j’étais ton chemin
Si j’étais ton chemin

Je construirais des ponts, des tunnels, des ouvrages
J’ouvrirais des sentiers partout sur ton passage
Pour que tu puisses, aussi, t’écarter quelquefois
Des pistes balisées qu’on a tracées pour toi
Je t’apprendrais les mots pour soigner les blessures
Et les y éparpiller le long de l’aventure
Pour te montrer le nord quand tu te crois perdu
Le silence attendri de ceux qui ne sont plus
Mais qui tiendraient ta main
Si j’étais ton chemin

J’irais cueillir ton rêve au plus fort de la nuit
Le planter dans la terre et l’inonder de pluie
De lumière et d’amour, au soleil de midi
Pour que tu rêve encore chaque jour de ta vie
Je ne t’épargnerais, ni le temps, ni l’effort
Pour que tu sois debout aux mauvais coups du sort
Solide et résistant face à l’adversité
Riche de ton courage et de ta liberté
Et je déposerais, quelque part, une pierre
Pour te laisser t’asseoir aux fruits de nos prières
A tous ceux dont l’histoire t’a mené jusque-là
Et pour ceux qui suivront la trace de tes pas
Si j’étais ton chemin
Si j’étais ton chemin

Et nous serions semblables aux bulles de savon
Qui font la route ensemble et puis qui se défont
Dans le même courant, chacun de son côté
Sans aucun désir, au fond, de s’éloigner
Puis je m’effacerais comme un sentier sous terre
En refaisant parfois le chemin à l’envers
J’aurais le sentiment d’avoir rempli mon rôle
Et je m’endormirais à l’ombre du grand saule
Où je berçais sans fin le début de ta vie
Au delà des bonheurs partagés en commun
Saurais-je alors, enfin
Si j’étais ton chemin

POUR LES FANS
D’YVES DUTEIL
1h20 DE SES CHANSONS

SOURCES:
www.paroles-musique.com –
https://www.lacoccinelle.net/1400166-yves-duteil-si-j-etais-ton-chemin.html


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Mamy et Papy
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Tendresse

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POESIE: Mamy Louisa d’Avril

LE BLOG
DE TOM ET DOUCE

POÉSIE : Mamy Louisa en AVRIL

Hasard ou providence

On doit à la chance d’être ébloui
Ce jour là et à une certaine heure ;
On se met à réfléchir et à sourire
Est-ce juste un prisme du bonheur ?

Le hasard est comme une fée
Il vous fait voir des arcs-en-ciels
Là où n’existe que la pluie dans le ciel
Un certain mois de l’année.

Le hasard c’est de l’imprévisible
Car c’est lui qui commande ;
Il peut aussi être de la chance,
Un conseil, un ami qui guide.

Quand une chose se réalise souvent
C’est qu’il veut nous parler ;
Si le hasard parle au vent
Il s’enfuit et ne revient jamais.

Louisa


J’ai quelque chose à te dire

Quand du pic du Canigou s’élève la brume,
Je pense à toi
Quand des nuages enrobent les toits d’un hameau,
Je pense à toi
Quand la rivière embrasse les empreintes de tes pieds dans l’eau,
Je pense à toi

Quand par hasard, je trouve une jolie plume,
Je pense à toi
Quand le couchant aime tes Albères et illumine mes souvenirs
Je pense à toi
Quand déjà, il me faudra dire adieu au soleil et à ton sourire
Je pense à toi
Quand tout s’éteindra et qu’une seule bougie m’éclairera
Je penserai à toi.

Louisa –

– C’ est mon préféré du mois


Des belles de jour et des belles de nuit ;

Faudra-t-il vous parler des belles de jour et des belles de nuit ;
Ou des fleurs qui se touchent insidieusement en se parfumant
Ou des cerises vertes qui se mêlent aux fruits du plaqueminier ;
Ou d’un été, qui verra s’envoler quelques plumes de mésanges.

Le soleil aussi beau que chaud s’éveille ;
Le silence seul règne , donne le tempo et veille
Ici, à part un grand arbre, pas de coupe ni de taille ;
Ici que le bruit des outils qui travaillent.

Faudra-t-il vous parler des beaux jours printaniers ;
De cette pierre à eau qui appelle les abeilles assoiffées ;
Du parfum des nouvelles herbes qui enchantent mon herbier ;
De tout ce cadeau que personne n’a encore touché.
Juste un lézard qui a bu toute l’eau de la rosée.

Louisa –

A mon bel arbre

Tu n’as pas connu les îles et le Pérou
Ni l’Amazonie, ni ta famille et amis
Mais tu as voulu pour me prouver ton amour,
Vivre chez moi, dans mon merveilleux paradis.


Que t’ai-je offert , mon arbre porte-porteur ?
Qu’une présence faite de souhaits en fleur ;
Qu’une pensée faite d’amour à chaque heure ;
Qu’une tendresse dans mes rêves en couleur.

Pendant ce temps là, tu as dû fuir mil fourmis ;
Le défilé des bourdons et des cochenilles ;
Eviter les orages et les pluies glacées
Et hiverner,sans te plaindre, sous la gelée.

Dire que j’avais manqué à tous tes rendez-vous ;
Quand tes branches dansaient sur mon mur ensoleillé ;
Quand tes ultra-sons traversaient mon humble séjour ;
Quand tes feuilles m’offraient leurs étoiles parfumées.

Mais il n’est jamais trop tard pour te remercier
Pour te remercier de persévérer, pour percer
Ciel, nuages, et arcs-en-ciels afin de tutoyer
Ce Dieu Râ pour qu’il fasse de toi un grand totem.
Louisa



Si je savais chanter

Je dirais que je doute quand les gens disent aimer arbres et plantes
Ils les taillent et ne laissent à ceux-ci que des moignons ;
Le bois vert, au printemps, donnent pourtant de soyeux chatons ;
Ce même bois vert qui, aux amoureux, incitent aux chuchotements.

D’autres prédisent leur avenir sans une pensée ensoleillée ;
Ils prédisent la météo qui les fera geler et de peur les faire faner ;
Et ces jardiniers qui, sans cœur, écrasent des trèfles sans larmoyer
Comment pourront-ils espérer y cueillir un trèfle à quatre feuilles.

Je pense à ces enfants qu’on incite à ce balancer sur des arbrisseaux
Chaque feuilles,et bourgeons, en porteront je crois, le deuil ;
Est-ce ainsi que les arbres aiment pousser, aux milieux des écueils ?,
Les jardiniers feront-ils élever, en leur hommage, des tombeaux ?
Louisa –

SOURCES :
Poèmes inédits de MAMY LOUISA
illustrations Jep Papy pour la Chouette

ACCÉDER AUX AUTRES POÈMES DE MAMY LOUISA

POÉSIE : Mamy Louisa printanière

POÉSIE : Mamy Louisa en mars

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« La poésie, c’est le sourire du langage« 

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POÉSIE : Mamy Louisa en mars

LE BLOG
DE TOM ET DOUCE

POÉSIE : Mamy Louisa en mars

Le chemin

Elle a dû être jolie avec son minois pendant sa jeunesse ;
Presque pas ridée, la belle âme de son visage transparaît ;
La guerre, la faim, la soif, auraient dû éteindre cette tendresse ;
Mais tous les jours, avec son mari, ils me semblent renaître.

Elle a dû regretter en Andalousie, ses parents et amis.
Quelle que soit la météo je les vois sillonner dans le quartier ;
La chaumière catalane qu’ils chérissent les aide à se pauser
Quand tous deux, ils reviennent, un peu encombrés de paquets.

Les voisins et relations s’étonnent de la durée de leur amour
Soixante sept ans de vie commune, un joli bail à jalouser ;
Lui, la protégeant de tout, de la pluie et du temps qui court
Avec son éternel parapluie fermé d’aujourd’hui et d’hier.

Un enfant aurait pu adoucir un peu leurs souvenirs
Leur offrir un amour parental, ou sourire dans leurs rêves ;
Mais cela restera leur secret, de n’avoir pas eu de berceau
Ni de jouets à cajoler, les jours où ils voudront s’y réfugier.

Louisa –

Ce jour là

Elle n’était ni nostalgique ni peureuse ;
En comprenant le silence de ces arbres lumineux ;
Seule son interprétation la faisait surfer ;
La lumière offrait une indicible clarté.

A partir de ce chemin, l’écorce magnétique
D’un eucalyptus offrait à lui seul, un tableau ;
Son univers passait d’océans indicibles, uniques
Aux rochers scintillants s’escaladant sans peur des flots.

La matinée pouvait ainsi la faire voyager
Inconnue, elle n’avait pas de ville, ni d’âge ;
Seulement l’impression de ne pas être prisonnière
Mais un joyau , une Reine conviée pour la fête.

Louisa –

Le soleil

Le soleil notre ami, cet aliment qui complète une amitié
Quelques oiseaux se le partagent, avec les jardins et les fleurs ;
Parfois , une tourterelle, sur un toit roucoule son bonheur ;
Un chat voisin, encore endormi, viendra ensuite s’y reposer.

A l’automne, les plus belles feuilles composent un joli pastel
A chaque terrasse, il déposera son tapis tout à fait personnel ;
Pendant que diverses tempêtes danseront sur plusieurs thèmes
Et que peut elle leur offrir à cette nature, qu’un « je vous aime ».

Chaque année diffère peu de la précédente, il faut juste aimer ;
Aimer un chat qui dort, un oisillon qui chante, une feuille au balcon
Un sourire silencieux , éclatant et sans arrières pensées
La voix d’un enfant qui crie, ou parle pour l’horizon ;

Un bourgeon qui amène sa kyrielle de roses en bouton ;
Un petite main d’enfant n’offre pas seulement une pâquerette ;
Et cette plante qui s’est cachée pour offrir sa violette
Et tant de belles choses que l’on ne trouve que dans les ondes.

Louisa   ( pour toi l’enfant)

 

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LE BLOG NOTE

de PAPY QUISÉ

Choupinet a demandé à son PAPY QUISÉ :

Comment faisiez vous avant
PAPY,  avec aucune technologie:

Pas d’avions
Pas d’Internet
Pas d’ordinateurs
Pas de drames

Pas de téléviseurs
Pas d’argent
Pas de voitures
Pas de téléphone portable?

PAY QUISÉ a répondu :
« Tout comme votre génération vit aujourd’hui :
Pas de prières
Pas de compassion
Pas d’honneur
Pas de respect
Aucune personnalité
Pas de honte
Pas de modestie

Nous, les gens nés entre 1940-1980 sommes les bienheureux …

Notre vie en est une preuve vivante.

En jouant et en faisant du vélo, nous n’avons jamais porté de casque.

Après l’école, nous avons joué jusqu’au crépuscule; nous n’avons jamais regardé la télé.

Nous avons joué avec de vrais amis, pas des amis sur internet.

Si jamais nous avions soif, nous buvions de l’eau du puits et non de l’eau embouteillée.

Nous ne sommes jamais tombés malades en partageant le même verre de jus avec quatre amis.

Nous n’avons jamais pris de poids en mangeant des assiettes de pâte tous les jours.

Rien n’est arrivé à nos pieds malgré l’errance aux pieds nus.

Nous n’avons jamais utilisé de suppléments pour rester en bonne santé.

Nous avions l’habitude de créer nos propres jouets et de jouer avec ceux-ci.

Nos parents n’étaient pas riches. Ils ont donné l’amour .. pas le matériel.

Nous n’avons jamais eu de téléphone portable, de DVD, de console de jeux, de Xbox, de jeux vidéo, d’ordinateurs personnels, d’Internet, de chat, mais nous avions de vrais amis.

Nous rendions visite à nos amis sans y être invités et avons partagé et apprécié la nourriture avec eux.

Des parents vivaient à proximité pour profiter du temps passé en famille.

Nous avons pu avoir des photos en noir et blanc, mais vous pouvez trouver des souvenirs colorés dans ces photos.

Nous sommes une génération unique et la plus compréhensive, car nous sommes la dernière génération à écouter ses parents …

Et nous sommes aussi les premiers qui ont dû écouter leurs enfants.

 


Nous sommes une édition limitée!

Profitez de nous.

Apprenez de nous.

Nous sommes des trésors appelés à disparaître.

La philosophie du porteur de lanterne

« On ne peut donner que deux choses à ses enfants: des racines et des ailes. »
Proverbe juif.

 

LE CHOURISTE

Bonjour à toutes et à tous,

j’adore le texte de mon pote  Papy Quisé…. je souhaiterai cependant qu’il mène, dès demain, un réflexion moins passéiste, en s’appuyant sur une philosophie de la vie dont voici la teneur :
Lorsque l’âge avance et que vous vous interrogez sur votre utilité à continuer votre chemin de vie dans ce  » nouveau monde » qui ne vous ressemble plus, je vous invite à suivre la logique  du proverbe chinois qui dit :
 » L’expérience est une lanterne que l’on porte pendue dans le dos et qui n’éclaire que le chemin parcouru. »
Même si je considère, à titre personnel, que mon expérience est utile pour moi et pour mon comportement de demain, il n’en demeure pas moins que si j’accepte de suivre cet adage, je le fais pour cette raison :

Ceux qui marchent derrière moi….  Mes fils, mes petits enfants, vont en suivant mon sillage, voir leur chemin éclairé par la lanterne de mon dos.
Ainsi, ils pourront mieux voir les difficultés de leur propre chemin et ne pas faire les mêmes erreurs que moi, et surtout s’inspirer ou agir de façon identique quand j’ai pu au cours de mon parcours leur montrer de belles choses dont je suis fier…!
Alors oui, je suis content de poursuivre mon chemin…. et si Dieu met du chemin sous mes pas, j’aspire à être, pour encore longtemps, d’une grand utilité pour eux.
Plus je marche et plus leurs pas sont assurés….!
Moins j’ai peur de la mort et plus ils sont sereins…!

Croyez bien que tel est mon devoir et aussi celui de tous ceux qui me lisent aujourd’hui et qui se reconnaissent dans cette philosophie de fin de vie…!
Bonne et longue route à tous mes potes âgés….




PAPY QUISÉ

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