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La saint Jean: Fête nationale du Québec


CARNET DE VOYAGE

au CANADA

de notre envoyé spécial 
MACHANADA

Mes chers amis, pour la deuxième fois de ma vie, je vais célébrer la fête nationale du Québec, fleur de lys dessinée sur les joues, en compagnie d’amis québécois.

 La Fête nationale du Québec est la fête officielle du Québec. Elle a lieu le 24 juin . Au Québec c’est un jour férié et chômé La fête est encore populairement appelée la Saint Jean Baptiste ou la Saint Jean pour des raisons historiques.
La fête de la Saint-Jean Baptiste s’est commercialisée et politisée au fil des décennies au détriment de sa signification religieuse. Bien avant de devenir la fête nationale des Québécois, cette fête signifiait le solstice de l’été et la célébration de Saint Jean le Baptiste.

Pourquoi des feux de joie….?

«…En France, on conserve la tradition du feu de joie pour célébrer la naissance de Saint-Jean le Baptiste, le cousin de Jésus, appelé ‘le baptiste’ puisque c’est lui qui a baptisé le Christ, marquant ainsi le début de sa vie publique. Jean est donc celui qui sera la précurseur du Christ, « la lumière du monde » – d’où le lien avec le solstice et le feu de joie. C’est en 1834 que de fête religieuse, la St-Jean-Baptiste deviendra un symbole national pour les Québécois.
Pourquoi la fête nationale est-elle célébrée au même moment que la fête de St-Jean Baptiste?
En 1908, le Pape Pie X décréta Jean le Baptiste patron des Canadiens français.

Qui est SAINT JEAN BAPTISTE?

« Jean (cousin de jésus) mena une vie d’ascèse « caché dans le désert », se nourrissant frugalement de « sauterelles et de miel sauvage » et pratiquant le jeûne.
En l’an 27, il s’installe sur les bords du Jourdain, où il commence à pratiquer le « baptême de repentir pour la rémission des péchés » par immersion dans l’eau.
Il réunit autour de lui de nombreux disciples, leur annonçant la venue du Messie :
« Moi, je vous baptise avec de l’eau, pour vous amener à la repentance, mais vient celui plus fort que moi, et je ne suis pas digne de porter ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu »
Selon Matthieu , Jésus vint voir Jean pour être lui aussi baptisé..
Jean baptisa donc Jésus et au sortir de l’eau tous virent l’Esprit Saint « descendre comme une colombe et venir sur lui », et une voix venue des cieux dit : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection ».
Jean Baptiste demanda alors à ses disciples de suivre Jésus. »

Marie Charlotte au CanadaMACHANADA
(A bientôt-  POUR LIRE MON DERNIER CARNET DE VOYAGE…!)
Montréal ville souterraine

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LA JOURNEE DE LA TERRE – L’ERABLE DU CANADA

 CARNET DE VOYAGE au CANADA

de notre envoyé spécial

MACHANADA Stagiaire à  GaïaPresse – Montréal

barre grenat
En ce 22 avril 2013, Jour de la Terre, voici un article dédié à l’emblème du Canada :
L’érable ( A la demande de La Chouette  ^^)
feuille-rouge-automne.jpgNom commun : Érable du Canada, Érable rouge, nommé par les anglophones ‘Red maple’.
Nom latin : Acer rubrum
Famille : Aceraceae
Catégorie : arbre
Port : colonne, conique
Feuillage : caduc, découpé en 3 à 5 lobes assez profonds, vert puis jaune puis rapidement rouge vif en automne, la coloration apparaissant avec les premiers froids, de façon irrégulière selon les arbres et assez précocément par rapport à d’autres espèces.
Floraison : printemps, minuscules fleurs rouges en grappes dressées suivies de samares ailées
Couleur : rouge
Croissance : rapide
Hauteur : 15-30 m
Plantation : automne
Multiplication : semis, bouturage en juin-juillet
Sol : bien drainé ; plutôt argileux et acide ou neutre (mais le sol acide donnera les plus belles couleurs automnales) ; éviter le calcaire, fertile ou riche, frais
Exposition : soleil, mi-ombre
Entretien : aucun
Origine : Amérique du nord (Source:
Nature-Jardin)

Dans l’histoire du Canada, les arbres ont joué un rôle important. Ils ont toujours eu un un intérêt commercial, environnemental et esthétique pour tous les Canadiens. L’érable, plus particulièrement, présente une importance commerciale exceptionnelle. Il est à la fois une source de bois précieux et une source intéressante pour l’industrie du sucre d’érable. Le bois d’érable est reconnu pour sa dureté et sa résistance. Il est très recherché pour la parqueterie, la menuiserie, les boiseries d’intérieur, le placage et la fabrication d’ustensiles de bois.

Alors il n’est pas étonnant que le Canada ait adopté l’érable pour symbole. C’est le 15 février 1965 que Le drapeau rouge et blanc portant une feuille d’érable stylisée a été proclamé drapeau national du Canada par la reine Élisabeth II. Le rouge et le blanc sont les couleurs officielles du Canada, couleurs établies par le roi Georges V en 1921.

La feuille d’érable a été utilisée dès 1834 comme emblème officiel du Canada. « Cet arbre – l’érable – d’abord jeune et battu par les vents, semble dépérir, puisant difficilement sa nourriture à même la terre. Mais le voilà bientôt tendre ses rameaux vers le ciel, grand et fort, faisant fi des tempêtes et triomphant du vent, maintenant impuissant devant sa force. L’érable est le roi de nos forêts; il symbolise le peuple canadien. »

Aujourd’hui, l’érable est bien plus qu’un symbole. On en tire son fameux sirop, produit d’importance au Canada et surtout au Québec. D’ailleurs, l’histoire du sirop d’érable remonte bien loin avant l’arrivé des premiers colons dans les Amériques. En effet, les Amérindiens en consomment depuis la nuit des temps et ont très vite su exploiter les vertus de la sève de l’érable à sucre en mettant au point une technique de récolte toute simple. A l’approche du printemps, ils entaillaient les arbres de biais avec leur tomahawk et recueillaient le précieux liquide dans un mokuk, récipient d’écorce de bouleau qu’ils déposaient sur la neige au pied de l’arbre à l’aide d’un éclat de bois encastré dans l’entaille. Pour obtenir un sirop noir et épais, les Amérindiens faisaient bouillir la sève dans des chaudrons d’argile en la chauffant avec des pierres rougies au feu. Le procédé était très long.

Aujourd’hui, le sirop d’érable fait partie de la culture culinaire québécoise. Il est produit au printemps, au « temps des sucres » à partir de l’eau d’érable, 100% naturel.

D’ailleurs, à partir de cette eau, on va également fabriquer  plusieurs produits différents: le beurre d’érable, la gelée d’érable, le sucre d’érable et le caramel d’érable. (le beurre est vraiment trooop délicieux !! sur des crêpes ou sur du pain grillé…délicieux!)

feuille-rouge-automne.jpg

La fabrication du sirop d’érable comprend cinq étapes : L’entaille de l’arbre, la récolte, l’évaporation, le filtrage et la conservation. ( Source: le Québec en France)

 

Tout d’abord : l’entaille. Cette dernière a lieu au début du printemps (de la mi-mars au début du mois d’avril). Il s’agit de percer un trou de 6cm de profondeur et 0.11cm de diamètres dans l’écorce de l’érable, et ce à une hauteur de sol d’environ 1 mètre. On y place ensuite les gouterelles qui permettront à l’eau d’érable de s’écouler dans les seaux, prévus à cet effet.

Le phénomène de la coulée est étroitement lié à la température de l’air. Des conditions de gel la nuit suivies de températures plus élevées pendant le jour sont indispensables !

La sève est attirée vers le sommet des arbres lorsque les branches les plus exposées au froid gèlent, et au moment où la température passe au-dessus du point de congélation, environ 5°C, la sève redevient liquide et descend par gravité vers le bas de l’arbre.

Alors commence la récolte de l’eau d’érable : A ne pas confondre avec la sève ! Lors du dégel, au printemps, l’érable transforme l’amidon en sucre. Le sucre se mélange avec l’eau absorbée par les racines de l’érable et sucre légèrement sa sève. C’est ce qu’on appelle l’eau d’érable qui sera transformée en sirop d’érable.

A savoir que cela ne cause aucun dommage aux arbres car ce ne sont en moyenne que 5% de ses réserves en sucre qui sont prélevés.

En général, la récolte est automatisée via un réseau de canalisations qui amène l’eau d’érable directement vers la cabane à sucre !

L’évaporation est l’étape qui consiste à transformer l’eau d’érable en sirop ou autre dérivés d’érable. Ainsi, on obtiendra du sirop d’érable en le chauffant à 104°C, le beurre (ou fondant) d’érable à 112°C et le sucre d’érable à 123°C. Pour vous donner une idée, il faut environ 45 litres d’eau d’érable pour produire 1 seul litre de sirop d’érable !

Les produits de l’érable ne présentent aucun additif et sont donc tout simplement le fruit d’un fin équilibre entre le chauffage du sirop, son refroidissement et son brassage : Un produit on ne peut plus naturel !

Vient ensuite le filtrage du sirop afin de le débarrasser des potentielles impuretés et la conservation du produit : dans un endroit sec et tempéré. Une fois ouvert, grâce au fait qu’ils soient 100% naturels, les produits d’érable peuvent être gardés durant des mois mais il est rare qu’un bon sirop reste plus d’une semaine dans votre frigo !

Voilà, j’espère que vous en aurez appris davantage sur l’érable et son sirop. Pour ma part, je suis une grande fan du sirop et de tous les produits dérivés !! À quand la production de sirop d’érable en France ???

PS: En ce Jour de la Terre 2013, n’hésitez pas à aller faire un tour sur GaïaPresse

barre grenat

Marie Charlotte au CanadaMACHANADA
(A bientôt-  POUR LIRE MON DERNIER CARNET DE VOYAGE…! RANDO EN RAQUETTES)
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BIODIVERSITE : Des ours et des hommes

MACHA LABEILLE
De retour de Montréal MACHA veut voler de ses propres ailes au secours de la biodiversité..!

Nous lui ouvrirons régulièrement nos colonnes en vous invitant à suivre l’abeille et elle qui sont deux sentinelles de l’environnement sur qui il va falloir désormais compter …..

Des ours et des hommes

par Macha
Churchill, village du Manitoba, situé au bord de la baie d’’Hudson à l’’embouchure de la rivière est surnommé la «capitale mondiale de l’’ours polaire». Située à la frontière entre la taïga et la toundra, cette ville canadienne cohabite chaque automne avec une importante population d’’ours polaires sur le chemin de leur migration.

Des ours, des hommes…

Pas loin de 800 personnes vivent dans ce petit hameau canadien. Isolé de tout, Churchill est à trois heures de vol de Winnipeg, la capitale du Manitoba et deux jours de train.
Ce village du bout du monde est formé d’’une avenue principale et de quelques rues perpendiculaires où se concentre l’’essentiel des résidences et des commerces.

 

Parcs Canada a recensé environ 1200 ours qui gravitent autour du village. Faites le compte: il y a plus d’’ursidés que d’’êtres humains.
Une situation dangereuse à laquelle doivent faire face les habitants de Churchill qui ont vu peu à peu s’’installer dans leur village des panneaux les invitant à la plus grande vigilance.
On peut parfois entendre les sirènes du couvre-feu après 20 heures. Des règles strictes ont également été instaurées afin d’éviter le pire aux villageois. Il est interdit par exemple de fermer à clé la porte de sa maison : les instructions sont d’’entrer sans frapper chez le premier venu quand on se retrouve nez à nez avec un ours.

La raison qui pousse les ours à envahir Churchill est la même que celle qui a poussé les hommes à s’’y installer : le fleuve Churchill.
Le village est construit sur ses berges, à l’’endroit où il se jette dans la Baie d’’Hudson, formant une anse, idéal port de relâche pour que les trois-mâts de sa Gracieuse Majesté !
La motivation des hommes était commerciale, celle des ours est alimentaire. L’’eau douce de la rivière va geler plus vite que l’’eau salée de la Baie, ce qui va leur permettre de se précipiter plus tôt sur les glaces, histoire de s’’adonner à leur sport favori : la chasse aux phoques.

Malheureusement, la banquise disparaît, et les phoques avec. Conséquence: les ours ont faim et rodent dans le village en quête de nourriture.
Fouiller les poubelles, entrer dans les cuisines, courser les chiens – ou les touristes, ne lui fait pas peur, surtout qu’’il gagne à tous les coups.

…et des touristes

Ce phénomène dangereux et contraignant constitue pourtant la principale activité de Churchill.
En effet en octobre et en novembre, quelque 12 mille touristes venus du monde entier déferlent sur Churchill pour observer ces fameux ours polaires qui captivent les amoureux de la nature.
Parmi ces touristes, 65 pour cent sont des Américains qui n’’hésitent pas à débourser des sommes importantes pour contempler les ours pendant quelques jours.

Les touristes se meuvent donc en grappes, en groupe, protégés par un Ranger armé d’une carabine, ce qui participe au folklore local et à l’’indispensable inquiétude, qui rend passionnant le moindre pas :
Une simple balade sur la grève se transforme en exploit, puisqu’’un ours peut surgir à tout moment.

Inutile de préciser que les retombées économiques du tourisme sont devenues essentielles pour les commerçants qui ont décidé de profiter de cet avantage qu’’offre l’’observation des ours polaires.
Le jour où les ours polaires décideront de ne plus graviter autour de Churchill, ce village du nord s’’éteindra comme beaucoup d’’autres, faute de développement économique. Mais pour l’instant, pas d’’inquiétude à avoir, les hôtels et restaurants regorgent de touristes originaires des États-Unis, d’’Europe, du Japon et de l’’Australie.

Cependant les guides touristiques doivent rappeler qu’’à cause du réchauffement progressif de la planète, les ours qu’’ils admirent pourraient voir leur population diminuer.
En effet, dans les prochaines années, les observateurs des ursidés estiment que de 1200 spécimens, le nombre d’’ours de Churchill pourrait descendre jusqu’à 800.

Pour aller plus loin:

Vidéo : Thalassa : Au pays de l’ours blanc

Photos des ours polaires de Churchill

Visite guidée à la découverte des ours de Churchill

Canada, Churchill : Polar Bear Capital (en anglais)

Des ours polaires vivent la famine (La Presse Canadienne)

Sources :

– L’ours qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours polaire … (Via Michelin)
– Churchill, capitale mondiale des ours polaires (Radio-Canada)

 MACHA                      LA CHOUETTE vous a déjà fait partager l’esprit de l’ours en 2011  – Y allez taquinez le —>

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BIODIVERSITÉ: Montréal, modèle de préservation de la biodiversité en ville

Marie Charlotte de retour du Canada

MACHANADA devient MACHA LABEILLE
De retour de Montréal MACHA veut voler de ses propres ailes au secours de la biodiversité..!
L’abeille et elle sont deux sentinelles de l’environnement sur qui il va falloir désormais compter …..CLIQUEZ LA BEE VOUS Y ALLEZ

barre verteMontréal, modèle de préservation de la biodiversité en ville

 

Favoriser la biodiversité fait partie intégrante des préoccupations environnementales des villes d’’aujourd’hui.
Les villes ont tous les instruments nécessaires et le pouvoir de protéger leurs milieux humides, rives et berges, forêts urbaines et autres écosystèmes qui permettent à la faune et à la flore de survivre.
Elles peuvent notamment adopter des normes de protection des rives ou augmenter le niveau d’’aires protégées.

Montréal, ville la plus habitée du Québec, a su instaurer des normes pour préserver et protéger sa biodiversité.

Montréal, le modèle québécois

Montréal, métropole du Québec et seconde plus grande ville du Canada après Toronto, possède un territoire de 4360 km2, dont 12% de surface aquatique et 24% de surface boisée, ce qui lui donne un patrimoine naturel extrêmement riche et unique.
Maintenir la diversité biologique et le patrimoine naturel a toujours été un objectif de la Ville et aujourd’’hui Montréal s’efforce de respecter ses valeurs de respect de la nature et de solidarité avec les générations futures.
Le célèbre Parc du Mont-Royal est l’un des espaces verts les plus importants Montréal et abrite quelques espèces animales et végétales dont la podophylle pelté[1], plante menacée du Québec.

Montréal a cette chance d’’offrir à sa population la nature au coeœur du paysage urbain, grâce au plus important regroupement d’’institutions muséales en sciences naturelles du Canada : les Muséums nature de Montréal[3].
Axés sur la vie et le monde qui nous entoure, les Muséums nature de Montréal formés par le Biodôme, l’’Insectarium, le Jardin botanique et le Planétarium, offrent un contenu vivant, et même vivifiant à ses visiteurs.
Les Muséums nature de Montréal ont pour mission de faire connaître la nature et les savoirs qui s’’y rattachent, de contribuer à l’’étude et à la préservation de la biodiversité et de promouvoir des comportements responsables face à l’’environnement.
Les Muséums nature contribuent à la réalisation de cette mission dans leurs sphères respectives (Biodôme : écologie et sciences de l’’environnement; Insectarium : entomologie; Jardin botanique : botanique et horticulture; Planétarium : astronomie).

Des actions concrètes[4]

La ville a fait preuve durant ces dernières années d’’initiatives concrètes et d’’actions politiques fortes pour la protection et le maintien de la biodiversité et s’est ainsi fixé deux objectifs :

  • Réintroduire la diversité biologique dans la trame urbaine
  • «Revégétaliser» certains espaces, luttant ainsi contre les îlots de chaleur.

Elle s’’est dotée d’’un plan stratégique de développement durable, d’une politique de protection et de mise en valeurs des milieux naturels, d’’une politique de l’’arbre.
Elle a également établi un répertoire qui recense tous les milieux naturels protégés de l’’île de Montréal, ce qui lui a valu le titre de première municipalité au Québec à se doter d’’un tel outil. Et des résultats notables ont été obtenus :

  • 150 projets de verdissement dans les ruelles, les jardins communautaires, les cours d’’école, les toits et les stationnements
  • 120 000 m² verdis
  • 12 000 arbres
  • 16 000 arbustes
  • 200 plantes grimpantes
  • 50 000 vivaces

Montréal, ville internationale de la biodiversité

En plus, de posséder un territoire riche en diversité biologique, Montréal, joue un rôle prédominant dans l’’action et la promotion d’’initiatives axées sur la biodiversité à l’’échelle locale et internationale.
En effet, c’’est à Montréal que se trouve le siège mondial du Secrétariat de la Convention de l’ONU sur la diversité biologique[5].
Le Maire de Montréal figure parmi les cinq premiers maires ayant signé la Déclaration de Curitiba sur les villes et la biodiversité et, en conséquence, siège maintenant au Comité de direction du Global Partnership on Cities and Biodiversity.

À l’’occasion de l’’année internationale de la biodiversité, le Conseil régional de l’’environnement de Montréal a tenu le Sommet sur la biodiversité et le verdissement de Montréal, les 27 et 28 avril 2010.
Organisé par le Conseil régional de l’environnement de Montréal, en partenariat avec la Ville, cet évènement a traité des enjeux urbains liés au verdissement, aux milieux naturels, aux espaces verts et aux parcs. Le sommet a fourni des solutions tangibles aux acteurs montréalais et à mobiliser ces derniers pour le verdissement et la protection de la biodiversité sur l’Île.

Même si la ville a les instruments en main pour agir pour la protection de la diversité biologique en ville, la sauvegarde de la biodiversité ne concerne pas uniquement les administrations municipales. La protection de cette richesse unique est l’affaire de tous et tous les citoyens doivent s’impliquer.

Auteur  : Macha l’abeille

Pour aller plus loin :

Les Museums Nature de Montréal

La Convention sur la Diversité Biologique

Les Actes du Sommet sur la biodiversité et le verdissement de Montréal

Le site du Ministère du Développement Durable, de l’Environnement et des Parcs

Le dossier sur la biodiversité de GaïaPresse, portail environnemental québécois

[1] La podophylle pelté sur le site du Ministère du Développement Durable, de l’Environnement et des Parcs : http://www.mddep.gouv.qc.ca/biodiversite/especes/podophylle/podophylle.htm

[3] Le site internet des Museums Nature de Montréal

[4] D’après les Actes du Sommet sur la biodiversité et le verdissement de Montréal, les 27 et 28 avril 2010

[5] Le site sur la Convention sur la diversité biologique

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(A bientôt- Pour lire mon dernier carnet de voyage…!)



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