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LA TENDRESSE N° 19 : C’est aujourd’hui dimanche

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LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

« Les Roses Blanches » pour MAMAN

Chanson réaliste, elle raconte l’histoire d’un pauvre « Gosse de Paris » n’ayant pour toute famille que sa mère hospitalisée, à laquelle il apporte chaque dimanche des roses blanches. Un matin d’avril, n’ayant plus un sou, il tente de voler des fleurs, se fait surprendre, mais la fleuriste apitoyée par son histoire les lui offre finalement. Lorsqu’il arrive à l’hôpital, sa mère est morte.

Les Roses blanches est une chanson de 1926, paroles de Charles-Louis Pothier et musique de Léon Raiter
C’est un grand succès interprété par plusieurs artistes : Mary Ketty, Berthe Delny, Priollet, Sandrey, Emma Liebel ; puis elle est reprise par Berthe Sylva, Lucienne Delyle, par le groupe Les Sunlights, ainsi que par Michèle Torr, Régine, Céline Dion, Sanseverino et Tino Rossi (1956).

Paroles de la chanson

« Les Roses Blanches »

C’était un gamin, un gosse de Paris,
Pour famille il n’avait qu’ sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux flétris,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :

« C’est aujourd’hui dimanche,
tiens ma jolie maman

Voici des roses blanches,
toi qui les aime tant

Va quand je serai grand,
j’achèterai au marchand

Toutes ses roses blanches,
pour toi jolie maman »

Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant
le pauvre mioche,

Furtivement vola des fleurs
La marchande l’ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :

« C’est aujourd’hui dimanche
et j’allais voir maman

J’ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches,
pour ma jolie maman »

 

papy-mamy-la-tendresse

La marchande émue, doucement lui dit,
« Emporte-les je te les donne »
Elle l’embrassa et l’enfant partit,
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit « Tu n’as plus de maman »
Et le gamin s’agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :

« C’est aujourd’hui dimanche,
tiens ma jolie maman

Voici des roses blanches,
toi qui les aimais tant

Et quand tu t’en iras,
au grand jardin là-bas

Toutes ces roses blanches,
tu les emporteras »


Quel plus bel hommage on peut rendre à sa maman. C’est le plus joli cadeau pour toutes les mamans du monde. Un grand merci

Vous redemandez des roses
Une page spéciale leur a été récemment consacrée

           Sources: www.paroles.net


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Mamy et Papy

Tendresse


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LA TENDRESSE… C’était l’hiver dans ce monde de brutes – N°11

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LE BLOC NOTE
de
Papy et Mamy
tendresse

90 rue de la tendresse

Un enfant vous embrasse
Parce qu’on le rend heureux
Tous nos chagrins s’effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu…
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l’amour
Règne l’amour
Jusqu’à la fin des jours
( La tendresse – Bourvil)
papy-mamy-la-tendresseBien décidés à tenir une rubrique dans la CHOUETTE….. PAPY tendresse et moi, voulions vous parler de la tendresse… Nous avons vite compris que d’autres avant nous avaient su vous en parler en chansons, mieux que nous ne saurions le faire….
Nous viendrons donc régulièrement, vous faire
réentendre ou découvrir des chansons qui parle d’elle et de vous …
avec beaucoup de … TENDRESSE ….

A BIENTÔT… REVENEZ NOUS VOIR ….
On vous fera une petite place entre nous deux….!!

Aujourd’hui c’est l’hiver

Auteurs: Francis Cabrel
Compositeurs: Francis Cabrel
Editeurs: Warner Chappell Music France

 Paroles de la chanson : C’était L’hiver par Francis Cabrel

Elle disait : « J’ai déjà trop marché
Mon coeur est déjà trop lourd de secrets
Trop lourd de peines »
Elle disait : « Je ne continue plus
Ce qui m’attend, je l’ai déjà vécu
C’est plus la peine »

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C’était l’hiver dans le fond de son coeur

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Et même mes sourires lui faisaient peur
C’était l’hiver dans le fond de son coeur
Le vent n’a jamais été plus froid
La pluie plus violente que ce soir-là

 

Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu
Derrière la façade de ses yeux
Dans un éclair blanc

Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C’est qu’il fait froid
Dans le fond de mon coeur

Elle a sûrement rejoint le ciel
Elle brille à côté du soleil
Comme les nouvelles églises
Et si depuis ce soir-là je pleure
C’est qu’il fait froid
Dans le fond de mon coeur

 

– A ma Marie à moi..!

« Le soir de ses vingt ans
Le soir où elle a éteint le feu »

« Et si depuis ce soir-là »  je cherche son pardon

« C’est qu’il fait froid
Dans le fond de mon cœur »

SOURCES :

En savoir plus : https://www.paroles.net/francis-cabrel/paroles-c-etait-l-hiver

papy-mamy-la-tendresseMamy et Papy
Tendresse

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LA TENDRESSE… Dans ce monde de brutes – N°10

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LE BLOC NOTE
de
Papy et Mamy
tendresse

90 rue de la tendresse

Un enfant vous embrasse
Parce qu’on le rend heureux
Tous nos chagrins s’effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu…
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l’amour
Règne l’amour
Jusqu’à la fin des jours
( La tendresse – Bourvil)
papy-mamy-la-tendresseBien décidés à tenir une rubrique dans la CHOUETTE….. PAPY tendresse et moi, voulions vous parler de la
tendresse… Nous avons vite compris que d’autres avant nous avaient su
vous en parler en chansons, mieux que nous ne saurions le faire….
Nous viendrons donc régulièrement, vous faire
réentendre ou découvrir des chansons qui parle d’elle et de vous …
avec beaucoup de … TENDRESSE ….

A BIENTÔT… REVENEZ NOUS VOIR ….
On vous fera une petite place entre nous deux….!!

La tendresse
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
.
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l’histoire
Et s’en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n’en est pas question
Non, non, non, non
Il n’en est pas question
.
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
.
Le travail est nécessaire
Mais s’il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien… on s’y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
.
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l’amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L’amour ne serait rien
Non, non, non, non
L’amour ne serait rien
.
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n’est plus qu’un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D’un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n’irait pas plus loin
.
Un enfant vous embrasse
Parce qu’on le rend heureux
Tous nos chagrins s’effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu…
.
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l’amour
Règne l’amour
Jusqu’à la fin des jours

Douce France

Il revient à ma mémoire
Des souvenirs familiers
Je revois ma blouse noire
Lorsque j’étais écolier
Sur le chemin de l’école

Je chantais à pleine voix
Des romances sans paroles
Vieilles chansons d’autrefois

(refrain)
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon coeur!
Mon village au clocher aux maisons sages
Où les enfants de mon âge
Ont partagé mon bonheur
Oui, je t’aime
Et je te donn’ ce poème
Oui, je t’aime
Dans la joie ou la douleur.
Douce France
Cher pays de mon enfance

Bercée de tendre insouciance
Je t’ai gardée dans mon coeur.

J’ai connu des paysages
Et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages
Tout là-bas sous d’autres cieux
Mais combien je leur préfère
Mon ciel bleu mon horizon
Ma grande route et ma rivière
Ma prairie et ma maison.
CHARLES TRENET


papy-mamy-la-tendresseMAMY ET MOI VOUS PRÉSENTONS TOUS NOS VŒUX POUR CETTE NOUVELLE
ANNÉE  2018
Bien sûr nous l’espérons pour vous et votre famille pleine de tendresse….

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