TONTON TONTAINE à des neveux….
Cela arrive à des gens très bien…
Il se voit de temps en temps sollicité pour les garder le mercredi visiblement c’est aujourd’hui… Il avait comme à son
habitude oublié….
Un ange passe et ne s’est pas arrêté pour l’aider à les garder…
Ambiance…. Ambiance
– ON FAIT QUOI TONTON?
Ce mercredi on chantera une chanson de 1953 quand ton TONTON était petit comme vous
Il est question d’un jolie
trompette que votre papa
pourrait vous acheter…. Le Refrain est très court : Son papa lui achètera une jolie trompette Son papa lui achètera une trompette en bois Oui son papa l’a dit, et sa maman aussi
SI VOUS VOULEZ LA CHANTER A VOS PARENTS :
Refrain: Son papa lui achètera une jolie trompette Son papa lui achètera une trompette en bois Oui son papa l’a dit, et sa maman aussi
Un p’tit garçon têtu Têtu comme une mule Que faudrait-il de plus Pour qu’il ne le soit plus ?
Un p’tit garçon bavard Bavard comme une pie Que faut il sans retard Acheter au bazar ?
Au p’tit garçon muet Muet comme une carpe Il faut un beau jouet Pour le rendre plus gai
Et quand ils auront Leurs petites trompettes Tous les petits garçons A la fois chanteront
– Pour un bonus c’est un bonus parce que la gamine Alison Balsom…
Elle est plutôt gironde laissez moi mettre mes lunettes que je vois ça de plus prés… ALLEZ Y…
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y’en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
Les funérailles d’antan
Comme un clin d’oeil au chagrin... En traitant, avec une certaine désinvolture, le sujet douloureux du deuil, Brassens semble exorciser la crainte de la mort.
La mélodie est en parfaite contradiction avec la délicatesse du sujet. Il adopte le même ton badin que celui du « testament ». Un exercice de style réussi qui nous entraîne à la fredonner avec des « pom, pom, pom, pom » enjoués !
Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain De bonne grâce ils en faisaient profiter les copains « Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit Venez le pleurer avec nous sur le coup de midi » Mais les vivants aujourd’hui ne sont plus si généreux Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux C’est la raison pour laquelle, depuis quelques années Des tas d’enterrements vous passent sous le nez Des tas d’enterrements vous passent sous le nez
– C’est vrai que s’était bien de se taper un bière en souvenir du défunt..!
Paroles de la chanson
Les funérailles d’antan
Jadis, les parents des morts vous mettaient dans le bain De bonne grâce ils en faisaient profiter les copains « Y a un mort à la maison, si le cœur vous en dit Venez le pleurer avec nous sur le coup de midi » Mais les vivants aujourd’hui ne sont plus si généreux Quand ils possèdent un mort ils le gardent pour eux C’est la raison pour laquelle, depuis quelques années Des tas d’enterrements vous passent sous le nez Des tas d’enterrements vous passent sous le nez
Mais où sont les funérailles d’antan? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croque-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les reverra plus Et c’est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans
Maintenant, les corbillards à tombeau grand ouvert Emportent les trépassés jusqu’au diable vauvert Les malheureux n’ont même plus le plaisir enfantin De voir leurs héritiers marron marcher dans le crottin L’autre semaine des salauds, à cent quarante à l’heure Vers un cimetière minable emportaient un des leurs Quand, sur un arbre en bois dur, ils se sont aplatis On s’aperçut que le mort avait fait des petits On s’aperçut que le mort avait fait des petits
Mais où sont les funérailles d’antan? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croque-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les reverra plus Et c’est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans
Plutôt que d’avoir des obsèques manquant de fioritures J’aimerais mieux, tout compte fait, me passer de sépulture J’aimerais mieux mourir dans l’eau, dans le feu, n’importe où Et même, à la grande rigueur, ne pas mourir du tout O, que renaisse le temps des morts bouffis d’orgueil L’époque des m’as-tu-vu dans mon joli cercueil Où, quitte à tout dépenser jusqueau dernier écu Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul Les gens avaient à cœur de mourir plus haut que leur cul
Mais où sont les funérailles d’antan? Les petits corbillards, corbillards, corbillards, corbillards De nos grands-pères Qui suivaient la route en cahotant Les petits macchabées, macchabées, macchabées, macchabées Ronds et prospères Quand les héritiers étaient contents Au fossoyeur, au croque-mort, au curé, aux chevaux même Ils payaient un verre Elles sont révolues Elles ont fait leur temps Les belles pom, pom, pom, pom, pom, pompes funèbres On ne les reverra plus Et c’est bien attristant Les belles pompes funèbres de nos vingt ans
La Prière est une chanson de Georges Brassens, qui met en musique le poème Rosaire de Francis Jammes.
Pour cela, Georges Brassens reprend le timbre qu’il a déjà utilisé pour la mise en musique du poème d’Aragon, Il n’y a pas d’amour heureux.
Paroles de la chanson
La Prière
Par le petit garçon qui meurt près de sa mère Tandis que des enfants s’amusent au parterre Et par l’oiseau blessé qui ne sait pas comment Son aile tout à coup s’ensanglante et descend Par la soif et la faim et le délire ardent Je vous salue, Marie.
Par les gosses battus, par l’ivrogne qui rentre Par l’âne qui reçoit des coups de pied au ventre Et par l’humiliation de l’innocent châtié Par la vierge vendue qu’on a déshabillée Par le fils dont la mère a été insultée Je vous salue, Marie.
Par la vieille qui, trébuchant sous trop de poids S’écrie: » Mon Dieu ! » par le malheureux dont les bras Ne purent s’appuyer sur une amour humaine Comme la Croix du Fils sur Simon de Cyrène Par le cheval tombé sous le chariot qu’il traîne Je vous salue, Marie.
Par les quatre horizons qui crucifient le monde Par tous ceux dont la chair se déchire ou succombe Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains Par le malade que l’on opère et qui geint Et par le juste mis au rang des assassins Je vous salue, Marie.
Par la mère apprenant que son fils est guéri Par l’oiseau rappelant l’oiseau tombé du nid Par l’herbe qui a soif et recueille l’ondée Par le baiser perdu par l’amour redonné Et par le mendiant retrouvant sa monnaie Je vous salue, Marie.
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y’en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
Tu aurais pu vivre encore un peu….. Paroles et musiques de Jean Ferrat écrit lors de la mort d’un de ses amis
« Tu aurais pu jouer encore un peu Au lieu de lâcher tes boules peuchère »
Vous l’aurez compris, dans le midi , quand un ami s’en va le cochonnet est orphelin, Fanny inconsolable, les
platanes pleurent à chaudes larmes…
et nous inondent le pastis…..
Quel gâchis mon camarade…. !!!
– Ne pleure pas… Les grands cochonnets ne pleurent pas..!!!
Paroles de la chanson
Tu aurais pu vivre encore un peu…..
Tu aurais pu vivre encore un peu Pour notre bonheur pour notre lumière Avec ton sourire avec tes yeux clairs Ton esprit ouvert ton air généreux
– Tu aurais pu vivre encore un peu
Mon fidèle ami mon copain mon frère Au lieu de partir tout seul en croisière Et de nous laisser comme chiens galeux
– Tu aurais pu vivre encore un peu
– T’aurais pu rêver encore un peu Te laisser bercer près de la rivière Par le chant de l’eau courant sur les pierres Quand des quatre fers l’été faisait feu
– T’aurais pu rêver encore un peu
– Sous mon châtaignier à l’ombre légère Laisser doucement le temps se défaire Et la nuit tomber sur la vallée bleue – T’aurais pu rêver encore un peu
– Tu aurais pu jouer encore un peu Au lieu de lâcher tes boules peuchère Aujourd’hui sans toi comment va-t-on faire Dans notre triplette on n’est plus que deux
–
Tu aurais pu jouer encore un peu Ne pas t’en aller sans qu’on ait pu faire A ces rigolos mordre la poussière Avec un enjeu du tonnerre de Dieu
–
Tu aurais pu jouer encore un peu
On aurait pu rire encore un peu Avec les amis des soirées entières Sur notre terrasse aux roses trémières Parfumée d’amour d’histoires et de jeux
–
–On aurait pu rire encore un peu
Et dans la beauté des choses éphémères Caresser nos femmes et lever nos verres Sans s’apercevoir qu’on était heureux
– On aurait pu rire encore un peu
– Tu aurais pu vivre encore un peu Ne pas m’imposer d’écrire ces vers Toi qui savais bien mon ami si cher A quel point souvent je suis paresseux
– Tu aurais pu vivre encore un peu
Paroles de la chanson
Je ne chante pas pour passer le temps –
Il se peut que je vous déplaise
En peignant la réalité
Mais si j’en prends trop à mon aise
Je n’ai pas à m’en excuser
Le monde ouvert à ma fenêtre
Que je referme ou non l’auvent
S’il continue de m’apparaître
Comment puis-je faire autrement ?
Je ne chante pas pour passer le temps
Le monde ouvert à ma fenêtre
Comme à l’eau claire le torrent
Comme au ventre l’enfant à naître
Et neige la fleur au printemps
Le monde ouvert à ma fenêtre
Avec sa dulie, ses horreurs
Avec ses armes et ses reîtres
Avec son bruit et sa fureur
Je ne chante pas pour passer le temps
Mon Dieu, mon Dieu, tout assumer
L’odeur du pain et de la rose
Le poids de ta main qui se pose
Comme un témoin du mal d’aimer
Le cri qui gonfle la poitrine
De Lorca à Maïakovski
Des poètes qu’on assassine
Ou qui se tuent pour quoi, pour qui ?
Je ne chante pas pour passer le temps
Le monde ouvert à ma fenêtre
Et que je brise ou non la glace
S’il continue à m’apparaître
Que voulez-vous donc que j’y fasse ?
Mon cœur, mon cœur, si tu t’arrêtes
Comme un piano qu’on désaccorde
Qu’il me reste une seule corde
Et qu’à la fin mon chant répète
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y’en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
DESTINÉE
Destinée est une chanson française, interprétée par Guy Marchand, écrite par Philippe Adler et Guy Marchand et composée par Vladimir Cosma. Elle a initialement été créée pour le film Les Sous-doués en vacances sorti en 1982. Cette chanson a également été utilisée la même année dans le film Le père Noël est une ordure lors d’une scène de slow entre Pierre Mortez (Thierry Lhermitte) et Katia (Christian Clavier).
On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
– Ce père Noël c’est pas le même que le mien … c’est sûr..!!!
Paroles de la chanson
DESTINÉE
On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie, Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, Depuis longtemps j’avais deviné Qu’à toi l’amour allait m’enchaîner Quand je rencontrerai quelque part, ton regard, Destinée, Où es-tu toi qui m’est destinée Si jamais vous vous reconnaissez Je voudrais vous entendre crier M’appeler
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, Encore une fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau vient de se baisser Sur l’été
Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
L’avenir, Malgré nous doit toujours devenir Tous nos désirs d’amour inespérés, imaginés, inavoués Dans la vie, Aucun jour n’est pareil tu t’ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément.
Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s’aimer sans demander pourquoi Toi et moi
Destinée Inutile de fuir ou de lutter C’est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C’est gravé
Destinée Encore un fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau vient de se baisser Sur l’été
Paroles de la chanson
Couchés Dans Le Foin par Mireille
Il ne faut pas que je vous cache Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches Que j’eus toujours la sainte horreur des vaches Dans ma famille c’est un tort Hélas le métier de toréador N’a jamais été notre fort J’aimerais mieux qu’on m’injurie Qu’on me pende ou qu’on m’expatrie Plutôt que de toucher un pis, Un pis de ma vie Je suis ainsi tant pis Et c’est dommage La fille de la fermière est charmante Et on a le même âge Par bonheur pour les amoureux Il est au grand air d’autres jeux Des jeux que j’aime davantage
REFRAIN Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin Un p’tit oiseau qui chante au loin On s’fait des aveux Et des grands serments et des voeux On a des brindill’s plein les ch’veux On s’embrasse et l’on se trémousse Ah! que la vie est douce, douce Couchés dans le foin Avec le soleil pour témoin
2 Vous connaissez des femmes du monde Qui jusqu’à quatre vingts ans restent blondes Qui sont folles de leur corps
Pour leurs amours il leur faut des décors Des tapis des coussins en or De la lumière tamisée Et des tentures irisées Estompant sous leurs baisers Des appâts trop usés Eh bien tant pis, tant pis Mais c’est dommage Quand on est vigoureux, quand on aime Et qu’on a mon âge Tous ces décors sont superflus Les canapés je n’en veux plus Je ne fais plus l’amour en cage Gardez, gardez vos éclairages