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Commémoration armistice du 11 novembre 1918

Posée sur le coq en haut du clocher, LA CHOUETTE a gardé les yeux grands ouverts de 1939 à 1945 elle ne peut oublier ce qu'elle a vu..... et entendu...!
BLOC DE MARBRE
par Wiki

 

« A mon Papy PIERRE ….
Pour qu’il revive un peu »

Tableau représentant la signature de l’armistice de 1918 dans le wagon-salon du Maréchal Foch. Derrière la table, de droite à gauche, le général Weygand, le maréchal Foch (debout) et les amiraux britanniques Wemyss, G.Hope et J.Marriott

Avec l’armistice du
11 novembre 1918…..
C’est la
fin de la première guerre mondiale (1914 -1918)


L’armistice est signé dans un wagon spécial par le  maréchal Foch, au carrefour de Rethondes, au milieu de la forêt de Compiègne, le 11 novembre 1918.

Fin du plus terrible conflit que le monde avait connu jusque là.

Le lundi 11 novembre 1918, à 11 heures, dans toute la France, les cloches sonnent à la volée.
Le monde reprend son souffle, au front le soulagement est général.

 La guerre a fait en moyenne huit millions de morts et six millions de mutilés.

Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles, et, devenus pacifistes, se battent pour que cette guerre qui s’achève reste la «der des der»……. Raté..! 

 

 

 

TÉMOIGNAGES….

Tout au long de la matinée, depuis le front jusqu’à l’arrière, commence alors à se répandre l’incroyable nouvelle.
À Saint-Amarin, dans le Haut-Rhin, un colonel français pique une colère et menace de fusiller ceux de ses soldats qui fraternisent avec des Allemands venus leur offrir des cigares.
Vers 10 h 20, à Paris, des badauds aperçoivent Foch en tenue de campagne qui déboule au ministère de la Guerre puis rejoint l’Élysée en compagnie de Clemenceau.

HÉLAS IL EN FALLAIT UN…
Repose en paix Pierre-Auguste Trébuchon

Une demi-heure plus tard, sur les bords de la Meuse, l’agent de liaison Pierre-Auguste Trébuchon, affecté au 415e régiment d’infanterie, est mortellement atteint d’une balle dans la tête alors qu’il courait porter un ultime message sur le front.
Âgé de 40 ans, il est réputé être le dernier des 1 394 000 soldats français tués au champ d’honneur entre 1914 et 1918.
Une dizaine de minutes plus tard, non loin de là, son camarade de régiment Octave Delaluque, sonne les treize notes du cessez-le-feu, bientôt relayé sur toute la longueur du front par les clairons des armées alliées.

LA LETTRE DU POILU  Jean SAFON

Quelques lignes, consignées sur le front, laissent entrevoir l’émotion qui saisit alors les troupes engourdies.
«Te dire notre joie à tous est impossible, écrit ainsi un soldat anonyme à sa mère. Ma première pensée a été pour ceux que j’aime, pour toi, ma chère vieille maman, qui vas retrouver ton pays redevenu français.»

Stationné dans la Somme, Jean Safon raconte pour sa part : «Le colonel nous fit arrêter et nous indiqua les clauses principales de l’armistice. Puis il nous fit défiler avec la clique et le drapeau, mais à mesure que nous le dépassions, tout le monde se mettait à chahuter, ce qu’il comprenait fort bien : nous étions vainqueurs. Mais nous n’avons même pas eu un quart de vin ce jour-là dans le village où nous avons été cantonnés

« A la mémoire de mon papy PIERRE  gazé et blessé au Fort
de Vaux ….
J’ai connu le fond du fond avec lui, lorsque pour le décorer un
11 novembre…… On a eu le culot de lui demander 2 F 50 pour payer sa propre médaille …!
La FRANCE RECONNAISSANTE…!

Il va s’en dire que depuis ce jour là,  j’ai refusé toutes les médailles qui m’ont été proposées  … Ah non mais …!
Un chou c’est un chou ..!
« 

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