Archives par étiquette : antioxydants

Le rédacteur ne travaille pas pour des prunes…!


logo com pote comnunique LE BLOC NOTE
DE COM’ POTE

– C’est l’information du pote âgé faite par un pote pas con … mais très COM…!!!

Pour votre information j’espère vous rafraichir pour cette fin de mois d’aout avec un fruit de saison : LA PRUNE


Com’pote parle d’alimentation depuis longtemps dans la Chouette…
OUI AU FAIT C’EST VRAI…! JAMAIS POUR DES PRUNES..!

IL Y A PRUNE ET PRUNE A NE PAS CONFONDRE… LE MONSIEUR T’EXPLIQUE…

Lorsque l’on écope d’une amende, familièrement, on dit qu’on a pris une prune. Le rapprochement entre la contravention et ce fruit tire ses origines au Moyen Age. Il fait référence à un coup qui fait mal (surtout au portefeuille), la prune désignant depuis le XIVe siècle un coup de poing ou de pied.

L’utilisation de noms de fruits pour signifier des heurts était en effet très courante, comme en témoignent pêche et pruneau, des synonymes nés à la même époque et toujours employés de nos jours.

Dans le même temps, la prune désignait aussi quelque chose de méprisable, sans grande valeur.
C’est ensuite la combinaison des deux significations qui a permis, par extension, d’associer les prunes aux PV, notamment ceux dressés et apposés sur les pare-brise des voitures, dans le courant du XXe siècle.

littel com poteToutes les prunes se ressemblent, mais sont bien différentes..!

 

Quels sont leurs bienfaits?
 Un fruit léger, désaltérant et équilibrant

Malgré sa saveur souvent bien sucrée, la prune reste un fruit modérément énergétique :
Pour une portion de 150 g (soit environ 140 g net : il faut tenir compte des noyaux !), le total énergétique ne dépasse pas 75 à 100 kcalories (313 à 418 kJoules). Un dessert ou une collation constitué par des prunes représente ainsi au maximum 3 à 5 % de l’apport quotidien conseillé pour l’adulte, soit 2000 à 2700 kcalories (8300 à 11400 kJoules).
ne incitation à ne pas s’abstenir !
Juteuse et désaltérante, la prune s’avère aussi intéressante par sa haute densité nutritionnelle : son eau de constitution abondante (82,5 %) est chargée en minéraux et oligo-éléments, notamment en potassium, en fer, en magnésium.
Elle apporte aussi de nombreuses vitamines, notamment du groupe B. La prune contribue ainsi utilement à la couverture des besoins de l’organisme en ces substances.

Une aide aux fonctions d’élimination

La prune favorise l’élimination rénale, grâce à sa richesse en eau, et à un rapport potassium/sodium élevé.
Mais elle est surtout réputée pour faciliter le bon fonctionnement des intestins. Plusieurs raisons à cela : sa richesse en fibres, tout d’abord. Il s’agit de fibres de natures différentes. Avec notamment de la cellulose et des hémicelluloses, qui accélèrent le passage des aliments dans les intestins ; et aussi de la pectine, qui a pour propriété de retenir l’eau, et joue un rôle régulateur sur le transit.

Autre élément favorable : la présence, en proportion relativement importante, de sorbitol. Cette substance stimule le fonctionnement de la vésicule biliaire, et par voie de conséquence, aide à lutter contre la paresse intestinale.

Enfin, la prune renferme de la diphénylisatine, un dérivé de la famille des indols.
Ses effets légèrement laxatifs accentuent l’efficacité de la prune dans ce domaine !
En raison de ses vertus laxatives, que le pruneau d’Agen peut être consommé pour faciliter le transit intestinal.

Un fruit rempli d’antioxydants

Grâce à ses composés phénoliques, la prune aurait des effets anti-inflammatoire, antioxydant et une action bénéfique sur la mémoire :

  • Associée à un régime riche en cholestérol, la prune pourrait limiter les symptômes des maladies neurodégénératives.
  •  Elle réduirait les facteurs de risques cardiovasculaires en limitant l’obésité et les maladies métaboliques telles que le diabète et les dyslipidémies.
  •  Selon une étude, elle pourrait aussi limiter l’ostéoporose chez les femmes ménopausées.
  • Elle aiderait aussi à réduire les symptômes allergiques.
  • Certains composés de la prune pourraient, enfin, contrecarrer les effets de la testostérone sur le développement de l’hypertrophie bénigne de la prostate .
    Une bonne nouvelle pour ces messieurs

littel com poteParmi les variétés de prunes nous avons décidé de vous en présenter quelques unes..!
LA REINE CLAUDE  – LA MIRABELLE – LA QUETSCHE –
LE PRUNEAU

La Reine Claude Prunier 'Reine Claude Verte' : taille en demi-tige Prunus domestica 'Reine Claude Verte' Famille :Acanthacées La 'Reine Claude Verte' est une petite prune jaune-vert qui vous surprendra par la saveur de sa chair. C'est la plus sucrée des reines-claudes. Juteuse et bien parfumée, c'est un excellent fruit de table

La reine-claude est un sous-groupe de variétés de prunes issu du Prunier d’Italie ou Prunier reine-claude .

La reine-claude a été « créée » en France suite à la découverte d’une prune verte sur un arbre importé d’Asie.

Ces prunes ont été nommées ainsi en l’honneur de Claude de France (1499-1524), femme de François Ier et surnommée La bonne reine.
Claude de France était duchesse de Bretagne (1514) et devint aussi reine de France (1515), en épousant François Ier, roi de France.
Elle est la fille du roi Louis XII de France et d’Anne de Bretagne. Elle meurt à 24 ans après avoir mis au monde sept enfants.

La mirabelle

1 Petite histoire de la mirabelle

Les premières traces sérieuses de l’apparition des mirabelles datent du XVe siècle.
Il semblerait que ce fruit provienne d’Asie mineure ou d’Orient, ou selon d’autres sources, de la Chine et serait arrivé à
Grand dans les Vosges et à Jouy-aux-Arches en Moselle.

Ce serait le Duc d’Anjou et de Lorraine, René-le-Bon, qui l’aurait introduit en France au XIIIe siècle en la cultivant à Mirabeau (Vaucluse Luberon) et Mirabel ( Tarn et Garonne) avant qu’elle fasse souche en Lorraine.

Au XVIe siècle Catherine de Médicis et son fils Charles IX se voient offrir des mirabelles confites au sucre lors de leurs voyages en Lorraine.

En 1892, une épidémie anéantit le vignoble lorrain et laissa la place à l’extension du mirabellier au début du XXe siècle. Après la Première guerre mondiale, entre 1920-1930, il y a eu un boom de plantation de mirabelliers à la place de tous les vignobles qui avait été touchés par l’épidémie – les vergers couvraient ainsi plus de 10 000 ha en 1935.
Cette plantation massive en plus de sa qualité gustative, entraîne une valorisation économique de ce fruit aux années 1970.

En 1974, une confrérie autour de la mirabelle lorraine est ainsi créée pour la défense et la promotion de la mirabelle régionale.

2- Les variétés de mirabelles

Il existe deux variétés principales :
– La mirabelle de Nancy
Elle a une peau jaune orangé, qui rougit légèrement au soleil avec une chair très juteuse et sucrée de couleur très claire, c’est la plus grosse des mirabelles.
On la retrouve sur les étals essentiellement à la mi-août.
– La mirabelle de Metz
Plus petite que celle de Nancy, elle a une peau fine et jaune orangé. Elle aussi s’achète vers la mi-août.

– Si tu leurs dis pas qu’il existe de l’eau de vie de Mirabelle …
Je te colle une prune à la récré..!


– Tu la bois tout seul ou avec modération..?

La Quetsche

Prunes bleue ou quetsches, peinture appartenant à la collection des ducs de Lorraine, d’où le probable nom de Quiterie qui sera préféré pour ce tableau. Daté vers 1840.

La quetsche  est le fruit du quetschier, l’un des sous-cultivars du prunier de Damas.

C’est une petite prune qui mûrit dès mi-août, et qui est disponible dans les marchés jusqu’en octobre.
Elle est particulièrement répandue en Alsace, Lorraine, Allemagne, Autriche, en Belgique, au Luxembourg et en Suisse.
Sous sa robe violette, elle cache une chair sucrée, acidulée, d’un jaune d’or légèrement foncé. Sa forme est oblongue et charnue.


En Suisse romande comme en Haute-Saône, on l’appelle pruneau (différent du pruneau français).

Le Pruneau

Le pruneau est le fruit séché d’une variété de prunier cultivé, nommé prunier d’Ente. On le consomme nature, en accompagnement de plats salés, ou dans des desserts sucrés. En raison de ses vertus laxatives, le pruneau peut être consommé pour faciliter le transit intestinal.

En France, le pruneau d’Agen (préfecture de Lot-et-Garonne en Nouvelle-Aquitaine) est protégé depuis 2002 dans l’ensemble de l’Union européenne par une indication géographique protégée. D’autres villes comme Brignoles, Tours, ou Dijon (Vitteaux) étaient connues, surtout au XIXe siècle, pour leurs pruneaux.

Histoire

On suppose que la prune d’ente « aurait été introduite d’Orient à l’époque des Croisades et fut multipliée d’abord dans les vergers du monastère bénédictin de Clairac (Lot & Garonne).
Ce sont probablement les moines qui, les premiers, ont pratiqué le séchage de la prune. Cette variété était appelée autrefois prune d’Agen ou prune datte…
L’appellation « d’ente » semble avoir été donnée pour la première fois en 1846, car à cette époque, on remarqua qu’il était préférable de « l’enter » (ce qui veut dire greffer en vieux français). »

Des preuves demeurent de sa culture au XVe siècle. L’utilisation du terme « pruneaux d’Agen » pour cette production viendra par la suite. Même si l’épicentre de la production se trouve 30 à 40 km plus au nord, c’est bien du port d’Agen que partaient autrefois les embarcations vers Bordeaux puis le reste du monde.

Le pruneau était un aliment favori des marins au XVIIe et XVIIIe siècles et des colons au XIXe siècle, grâce à son aptitude à conserver ses qualités de fruit au cours de longs transports, assurance contre le scorbut. La culture du prunier d’ente a été installée au XIXe siècle dans le Nouveau Monde.

Cette culture, à partir de plants importés de la région d’Agen, a connu un grand succès en Californie, mais aussi en Afrique du Sud, en Australie, en Argentine et au Chili, pays devenus concurrents du pruneau d’Agen sur les marchés internationaux.

LES RECETTES  AUX PRUNES
DE PAPY COOK ET PATACHOU

PATACHOU

La prune en pratique Tajine poulet-mirabelles

Clafoutis aux mirabelles (sans gluten et sans lait)

 Un marché juteux.. pour les importateurs..!

La France importe en 2018  7 % de prunes en plus par rapport à 2017 soit 1007 Tonnes supplémentaires
– On exporte notre production et comme on en manque on en importe d’Espagne et d’ailleurs… OUPS… ???
Heureusement que je retourne à l’école lundi..?

SOURCES :
https://www.lanutrition.fr/la-prune-en-pratique
https://rnm.franceagrimer.fr/bilan_campagne?prune

Compléments alimentaires Ruedesplantes

duo compoteCOM’POTE

Share Button

ALIMENTATION: Je plaide en faveur de l’avocat

logo com pote comnunique LE BLOC NOTE
DE COM’ POTE
– C’est l’information du pote âgé faite par un pote pas con … mais très COM…!!!

littel com poteDans ma rubrique , je voulais, cette semaine, vous parler de l’avocat…!

 

Bien connaître vos avocats

Il existe une infinité de variétés d’avocats : certains ont la taille d’un cornichon, d’autres pèsent 1 kilo pièce (!). Mais comme toujours, la production à grande échelle a promu des variétés bien charnues et douces au goût, à bon rendement (au moins 100 fruits par avocatier), résistantes aux bactéries et aux différents climats.

L’avocatier est un arbre tropical et subtropical qui déteste la gelée hivernale.

Au Mexique par exemple, les avocats poussent toute l’année.

Dans les régions moins tropicales, cela va dépendre des saisons. Pour fournir le marché européen, on a sélectionné des espèces qui vont jusqu’à supporter le climat méditerranéen.

C’est pourquoi l’on trouve des avocats de Corse, d’Espagne, d’Israël (depuis 1908) et du Maroc. Le Mexique continue d’assurer un tiers de la production mondiale. Il est aussi concurrencé par la Californie du Sud (depuis 1833) et le Chili [6].

L’avocat Hass (rond et très sombre) a la peau rugueuse et épaisse qui trahit mal le stade de maturation de la chair. Il faut palper les Hass au sommet du fruit, près de la tige.

L’autre variété fréquente en Europe est l’avocat Fuerte, allongé en forme de poire, à la peau verte et fine. Il est donc plus simple à palper.

L’huile d’olive est le socle de la diète méditerranéenne. C’est la « bonne graisse » par excellence. Celle que consomment les populations qui connaissent le moins les maladies.

D’ailleurs, l’huile d’olive a fait l’objet de nombreuses études. Il apparaît clairement que ses acides gras et antioxydants ont un puissant effet sur la santé. Notamment pour réduire le risque de maladies du cœur.

Mode d’emploi de l’avocat

Si vous palpez vos avocats sur l’étalage et qu’ils sont mous, cela ne veut pas forcément dire qu’ils sont mûrs. Souvent, ils ont tout simplement été écrasés par les acheteurs passés avant vous.
En effet, il faut savoir qu’un avocat dur, c’est normal.

L’avocat ne mûrit pas sur l’arbre.

Pour mûrir, il a besoin d’être décroché. Il se met alors à émettre un hormone volatile, l’éthylène, qui lui permet de mûrir. C’est la caractéristique des fruits « climactériques » comme la banane, la tomate et les pommes.
Pour accélérer le mûrissement, enveloppez votre avocat dans du papier journal. Vous piégerez ainsi l’éthylène.
Leur temps de mûrissement est alors divisé par trois. Il passe de 9 à 3 jours (en général).
Vous pouvez aussi le mettre dans une corbeille avec d’autres fruits climactériques qui dégagent de l’éthylène, comme les bananes.
C’est ainsi que vous aurez des avocats uniformément mûrs… leur chair d’un beau vert amande tirant vers le jaune… cette chair à la fois dense et fondante… et leur goût proche de la noix, bien qu’indescriptible…

L’avocat efficace pour contrôler votre appétit

77 % des calories de l’avocat proviennent de ses graisses . Or cette quantité de graisses explique qu’après 1/2 avocat, vous soyez déjà rassasié.
L’avocat est donc un bon moyen de contrôler votre appétit. C’est utile si vous avez tendance à trop manger et à prendre du poids.
Les avocats sont également riches en fibres qui régulent votre transit et soignent votre intestin.

L’avocat est un fruit hors norme.

La plupart des fruits sont riches en glucides. L’avocat est riche en bonnes graisses.

Précisément, il contient des acides gras monoinsaturés, comme l’huile d’olive. Les acides gras monoinsaturés (oméga-9) permettent de :
Prévenir l’obésité
Prévenir les maladies de cœur
Prévenir le diabète de type 2
Les bonnes graisses de l’avocat travaillent avec les antioxydants pour éliminer les radicaux libres.

Comment marchent les antioxydants et les radicaux libres ?

Vous entendez beaucoup parler des « radicaux libres » et des « antioxydants ».
Les radicaux libres sont des molécules agressives qui attaquent vos cellules, et même votre ADN. C’est pourquoi ils contribuent à déclencher de nombreuses maladies liées à l’âge, comme les problèmes de vue et le cancer.
Les radicaux libres nous envahissent par la pollution, les produits chimiques, la cigarette ou même le stress répété.
Il n’existe qu’un seul moyen d’éliminer les radicaux libres :
les antioxydants.

Les antioxydants sont naturellement présents dans votre corps et dans les fruits et légumes frais, surtout colorés comme les poivrons.

Le problème est que certains antioxydants, notamment les bêta-carotènes, ne sont pas facilement absorbés par vos cellules. Ils restent à l’extérieur de vos cellules et sont éliminés de votre organisme sans avoir détruit le moindre radical libre.

L’avocat améliore l’assimilation des antioxydants

Il existe un moyen simple d’augmenter considérablement votre taux d’absorption des antioxydants : manger vos fruits et légumes avec un corps gras.
La recherche a montré qu’une salade de crudités à laquelle on ajoute un avocat permet de multiplier  :
– Le taux d’absorption du lycopène par 4 (le lycopène est un antioxydant que l’on trouve dans les tomates).
– Le taux de bêta-carotène par 2,6 (le bêta-carotène est un précurseur de la vitamine A que l’on trouve en abondance dans les carottes et, dans une moindre mesure, dans les légumes verts à feuilles).

Lorsque c’est de l’huile d’avocat qui a été ajoutée aux crudités, ils ont constaté une multiplication :
– Du taux d’alpha-carotène par 7,2
– Du taux de bêta-carotène par 15,3
– Du taux de lutéine par 5,1 (la lutéine est un antioxydant rouge-orangé que l’on trouve dans le jaune d’œuf, le maïs, les carottes, les épinards et l’oseille, et qui protège en particulier la rétine).

Ensemble, les graisses de l’avocat et les antioxydants combattent tous les foyers d’inflammation pour stopper le vieillissement prématuré.
C’est pourquoi l’avocat aide à rajeunir votre corps de l’intérieur.

La recherche sur l’avocat va beaucoup plus loin… on pense que l’avocat pourrait contrer le cancer (notamment de la prostate), réduire le risque de maladies du cœur (en contrôlant votre cholestérol), soulager l’arthrite

Ce n’est pas tout…..
Les avocats contiennent 20 vitamines et minéraux différents :

  • La vitamine K : elle est importante pour la coagulation du sang. Elle contribue aussi à la solidité de vos os.
  • Les folates, ou vitamine B9 : ils sont importants pour une bonne reproduction cellulaire et le développement de vos tissus. Des erreurs dans la division cellulaire vont par exemple compromettre la qualité du sperme.Une étude a montré qu’un déficit de vitamine B9 s’accompagne d’une augmentation des anomalies génétiques sur les chromosomes des spermatozoïdes.
  • La vitamine E : elle protège les tissus contre les radicaux libres et peut protéger le cœur.
  • La lutéine : elle est nécessaire pour protéger les yeux et la peau.
  • La vitamine C : elle renforce le système immunitaire et neutralise les radicaux libres.
  • La vitamine B6 : elle renforce elle aussi le système immunitaire, aide aux fonctions nerveuses et à la synthèse des globules rouges.
  • Ainsi que les vitamines B5, B1, B2, B3, A, et le potassium (plus que dans une banane), le magnésium, le manganèse, le cuivre, le fer, le zinc, et le phosphore.

chouette-profCulture générale sur les avocats

Vous avez bien évidemment remarqué que le métier d’avocat et le fruit sont des homonymes. Pourtant, ils n’ont rien à voir étymologiquement.

En latin, advocatus désigne celui « appelé comme défenseur ».

Le fruit a été importé du Mexique au XVIIIe siècle sous son nom aztèque, ahuacatl, qui signifie « testicule ». Ahuacatl a donné aguacate en espagnol, puis avocat en français.

Mais en raison de sa peau vert sombre et rugueuse, comme celle des reptiles, on l’a longtemps appelé « poire alligator » !

L’avocat était déjà apprécié par les Mésoamérindiens il y a 8 000 ans !

Les Conquistadors utilisaient également le noyau de l’avocat. Ils en tiraient une encre rouge indélébile qui leur servait à rédiger des documents officiels encore conservés jusqu’à ce jour !

SOURCES: neonutrition

sondages vos opinions
Compléments alimentaires Ruedesplantes

duo compoteCOM’POTE

Share Button