Un treizième coup de minuit, la facétie des 200 oiseaux de nuit
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CHOUSIALISTE LE BLOC INDISCRET….
DE BUSE A CORNEILLE, UN AUTRE REGARD SUR CE QUE NOUS ENTENDONS…Un regard écalé de ce qui est entendu de la campagne électorale 2012 dans notre sonotone géant.
Sa ligne éditoriale tient dans ces deux citations.
L’une d’un homme politique….. l’autre d’un homme du peuple français.
– Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour nous apprendre à dire seulement la moitié de ce que nous entendons
(Édouard Herriot)
– Ce qui accroche lil ne touche pas toujours le cur. (Marcel)
Un homme crève avec sa voiture devant le mur d’un asile.
Sur le mur, un fou est accoudé et le regarde.
Le mec démonte sa roue, troublé par le regard fixe du fou qui le regarde toujours.
Il prend sa roue de secours et, toujours troublé, fait tomber les écrous de la roue dans la bouche d’égout tout à côté.
L’homme est très embêté parce qu’il ne peut plus remonter sa roue.
Il se demande ce qu’il va faire quand tout à coup, le fou lui dit : -Vous n’avez qu’à prendre un écrou sur chaque roue.
Avec trois écrous par roue, vous pourrez facilement aller à un garage.
L’homme est épaté : – Ben ça alors ! C’est vachement intelligent, ce que vous me dites là.
Mais qu’est-ce que vous faites dans cet asile ? – Ben, je suis fou, pas con…
PAUVRES BELLES MÈRES… SNIF .. SNIF..!!
C’est au cours d’une excursion, entre belles-mères et belles-filles le moniteur leur dit :
– On va prendre deux cars comme ça il n’y aura pas d’ histoire Les belles -mères dans le premier car et les belles-filles dans le deuxième.
Sur la route , le car des belles-mères tombe dans un précipice, les belles- filles chantent et dansent de soulagement,
enfin débarrassées de ces atroces belles-mères pour un bout de temps se disent-elles,
mais il y en a une qui pleure, on lui demande alors :
– Tu aimais tant que ça ta belle -mère ?
Et l’autre lui répond en pleurant : – Non, elle a raté le car. snif … snif ….
Eh PAPY…
Sûr … Je peux y aller tu regretteras pas
Celle-là elle va plaire à plein de monde…
Germaine et Léon, un couple d’agriculteurs retraités, veulent vendre leur ferme pour acheter une maison. Ils passent chez le notaire, qui demande à Germaine : – Vous préféreriez l’habitat rural ou l’habitat urbain ? – Oh, vous savez, à mon âge, Avec nos trente ans de mariage, la bite à Léon me suffit largement
Yves est au bar avec son ami Mathieu. Il prend son téléphone et appelle sa femme Lucie d’un ton très sec : – Allo, oui, prépare l’eau chaude, je ne vais pas tarder à rentrer. Puis il raccroche. Son ami, admiratif, lui dit : – Ah toi, t’es un vrai homme ! C’est comme ça qu’il faut parler aux femmes, avec autorité. – T’as quand même pas cru que j’allais faire la vaisselle à l’eau froide ?
La brève du bobologue Cachou
— COCCOVVVIIIIIIDDDD…..
Les pandores, gardiens de moutons…. QUAND ON SUIT LE TROUPEAU, ON NE VOIT QUE DES TROUS DU CUL
LES PANDORES ET LE RAMADAN
C’EST LOGIQUE …!
Le vieux Monsieur LAPORTE vient de mourir.
EN quels termes la servante annonce-t-elle la triste nouvelle à ses amis réunis dans le salon :
Quand notre nouveau pote M LARUE nous a proposé une série sur les noms de rues pour éduquer nos potes âgés et leurs choupinets..
On s’est dit :
« Avec un nom comme le sien…. il est né pour ça..! »personne n’a osé le mettre à la rue car il y était déjà .. En plein reportage dans la rue du 4 septembre
Combien de matelots combien de capitaines… GPS en main égrainent des noms de rues sans savoir de quoi ou de qui ils parlent…! Et restent penauds dans leurs gouffres amers.
Aidons les à savoir qui sont ces personnages …. Car celui qui a donné son nom à une rue parle encore comme Tristan Bernard :
“Donner son nom à une rue ou à une route, quel puissant stimulant pour encourager les jeunes gens à bien faire ! De Tristan Bernard / Compagnon du Tour de France – 1935
Aujourd’hui :
La rue du CROISSANT
à PARIS (2 ème Arrondissement)
Cette rue a été nommée ainsi car cela fait référence à une enseigne représentant un croissant de lune et des feuilles d’or, présente dans cette rue (au n° 12) en 1612.
La rue du croissant au passé lié à la presse, l’édition et l’imprimerie .
Nous sommes au cœur de la République du Croissant est une expression qui désigne, dès la fin du XIXe siècle, le quartier de la presse à Paris, situé entre Réaumur et Opéra, où sont réunis la plupart des grands journaux.
Au 16 rue du Croissant : « L’Ami du Peuple », arrêté après 4 numéros sous la commune.
Auguste Vermorel, né à Denicé (Rhône) le et mort de ses blessures à Versailles le , est un socialiste et une personnalité de la Commune de Paris. Il était élu au Conseil de la Commune par le XVIIIe arrondissement ; il siégeait à la commission de la Justice, puis à la commission Exécutive et enfin à celle de la Sûreté générale.
Il fait paraître deux journaux, L’Ordre et L’Ami du Peuple, chacun arrêté après quatre numéros.
Siège et imprimerie du « l’Ami du Peuple » – 16 rue du Croissant
L’Humanité est au 142 rue Montmartre
avant que Jean Jaurès
l’installe 16 rue du Croissant.
Assassinat de Jaurès… Au café du Croissant,
Non loin du siège de son journal, L’Humanité.
L’assassinat de Jean Jaurès a lieu le vendredi à 21 h 40, alors qu’il dîne dans cette rue …. Au café du Croissant,
( angle de la rue Montmartre), dans le 2e arrondissement de Paris, au cœur de la République du Croissant.
Il est atteint par deux coups de feu : une balle perfore son crâne et l’autre se niche dans une boiserie. Le célèbre homme politique s’effondre, mortellement atteint.
Se croyant investi par Dieu, un intégriste rémois était monté à Paris pour débarrasser la France de celui qui milite pour la paix, le fondateur de « L’Humanité »
Venu de Reims quelques jours auparavant avec la ferme intention d’abattre Jean Jaurès, le dénommé Raoul Villain, 28 ans, se poste devant L’Humanité pour guetter sa proie.
Le 31 juillet 1914, vers 21 h 15, entouré de plusieurs journalistes, Jean Jaurès apparaît enfin. La petite troupe va casser la croûte, à La Chope du Croissant qui fait le coin de la rue du Croissant et de la rue Montmartre.
RAOUL VILLAIN
Le directeur de L’Humanité s’assoit dos à une fenêtre qui donne sur la rue. Elle est ouverte, car il fait une chaleur à crever. La conversation porte sur la guerre que rien ne semble pouvoir empêcher.
Il est 21 h 40 – quand Villain s’arrête devant la fenêtre ouverte, écarte le fin rideau et fait feu à deux reprises sur le patron de L’Humanité.
Une des deux balles se loge dans le crâne, tuant Jaurès sur le coup.
Sous l’impact de la décharge, son corps bascule vers l’avant. Le cri d’une femme fend le brouhaha : « Ils ont tué Jaurès ! C’est fini, il n’y a plus d’obstacle à la guerre. » Stupéfaction dans la salle.
Son crime commis, Villain s’éloigne à grands pas vers la rue de Réaumur. Mais on le poursuit, on l’assomme avec un coup de canne et on l’immobilise au sol avec l’aide d’un policier.
– Si Jean Jaurès fut la cible de Raoul Villain, c’est avant tout parce que l’orateur socialiste était devenu une figure de premier plan dans le débat national. Refusant que des ouvriers et des paysans français aillent massacrer des paysans et des ouvriers allemands, l’internationalisme qu’il promeut suscite de nombreuses agitations.
En 1913, il se fait le porte-parole de l’opposition à la loi des Trois Ans, qui entend rallonger la durée du service militaire en vue d’un éventuel conflit armé avec l’Allemagne.
A La Chope du Croissant ce 31 JUILLET 1914, penché sur le corps de Jaures un pharmacien présent sur place l’ausculte rapidement et fait la grimace. Le pouls est à peine perceptible.
On ne trouve pas de médecin. Enfin, en voilà un ! Il se penche sur Jaurès, l’examine, puis, la mine fermée, constate : « Je n’ai plus qu’à saluer ! »
Les amis du journaliste sont dévastés. Le corps est emporté sur un brancard devant une foule qui a déjà commencé à se rassembler, silencieuse, abattue, figée.
Désormais, l’ultime rempart contre la guerre a disparu.
Cet événement entraîne paradoxalement le ralliement de la gauche à l’« Union sacrée » qui est le mouvement de rapprochement politique qui a soudé les Français de toutes tendances (politiques ou religieuses) lors du déclenchement de la Première Guerre mondiale
Quand Jaurès voyait venir le monde moderne
IL PARLE DU BLÉ POUR FAIRE LES CROISSANTS
Sur l’école, sur la démocratie, ses jugements ont parfois des échos étonnamment contemporains, tout comme cette analyse de ce qu’on n’appelle pas encore, en 1894, la mondialisation : « Comment le gros marchand peut-il agir sur le paysan à l’heure actuelle ? Il va le trouver, il lui dit :
‘‘Donnez-moi votre grain, je ne vous en offre que tant.’’ Si le paysan résiste, quelle est l’arme dont se sert le négociant ? Il lui dit :
‘‘Je n’ai pas besoin de votre grain ; si vous ne voulez pas me le donner à tel prix, je ferai venir du blé étranger. On offre le blé de Londres ou d’Anvers sur le marché à très bon compte ; par conséquent, je n’ai pas besoin du vôtre.’’ En sorte que le puissant acheteur se sert, pour obliger le petit cultivateur à capituler, de la possibilité pour lui de faire entrer à des prix très bas le blé étranger. »
– il causait bien dans le poste … et juste
L‘art dans la rue du croissant
AU N ° 5-7 rue du Croissant – Paris II
Street-heart – Bras en Croix
Auteur : Eddie Colla Date : Janvier 2019 (photos prises en 01/2019)
A l’occasion de son exposition personnelle « Memorandum » à la GCA Gallery de Paris (du 7 décembre 2018 au 19 janvier 2019), Eddie Colla nous a laissé trois collages dans les rues parisiennes.
A chaque fois il a réutilisé des murs qu’il connaissait déjà.
Ici, c’est celui de la rue du Croissant, c’est son troisième collage en 18 mois à cet emplacement (voir les deux précédents ICI et ICI). Il nous propose le très beau collage d’une femme qui a les bras en croix dans une position de suppliciée. Comme presque toujours, la femme est masquée, cette fois-ci par quelque chose qui ressemble à un masque à oxygène. (prémonitoire???)
Brèves de comptoir du Buffet de la gare
par Chou Rouge
Petit noir à la main, Marie Georges du Buffet de la gare et les siens réunis autour d’un comptoir qui ne tient que grâce à eux; ouvrent le journal et lancent le débat avec L’OUVERTURE DU SALON DE L’AGRICULTURE
OUVERTURE DU SALOON DE L’AGRICULTURE
– Ça y est le voisin est parti au saloon de l’agriculture avec sa vache
– Avec sa belette ?
– J’ai dit sa vache ! Et puis pose toi la question quand tu vas à Munich tu n’amènes pas ta bière; Ah non mais t’es con ou quoi ?
– C’est sûr que s’il y avait pas les petites femmes de Paris, pour réchauffer .. le coeur.. (peut être plus bas) il n’y aurait plus de salon de l’agriculture depuis longtemps
– Les femmes sont chaleureuses mais les hommes à Paris ..? On dit qu’il y a même eu un jour un petit parisien pressé qui dans les allées de la manifestation aurait envoyé à un pedzouille, qui verboricultait sur son conte d’Emile et une nuit, je cite: « Casse toi d’ici pauvre con » ( du coup chaque année, on redoute sa présence et on évite de trop l’entourer )
Cette année où le BIO est partout… Il risque de se faire BIOTTER LE CUL…
Quand on sait que le type était venu en ile de France, autant dire qu’il l’a jeté à l’eau.
– Ouais tu m’as compris POPOL autour de l’ile … C’est la France profonde celle qui rame autour de l’ile sans jamais l’atteindre..!!! – Ouais …!!! l’ile de la tentation à cause des petites femmes de Paris .. Ah non mais t’es con ou quoi !
– Sûr comme on dit à la « France un sous bises » …… On nous le met profond . !
– C’est digne du petit Benjamin – Heureusement que la chanteuse italienne Carlita sait avec une berceuse apaiser tout le monde surtout quand elle chante sa version remixée et remoulue de «Meunier tu dors» – Ouais..! Nous à la « France un sous bises » , on voit bien qu’il dort le meunier parce qu’il n’y plus de grain à moudre et on se fait baiser à tour de bras… Vous l’avez vu pour ce pooovre BENJAMIN … Ils tirent même sur les ambulances..!!! – C’est vrai nous les agriculteurs on frappe jamais un homme à terre…
on la respecte la terre... On veut pas la souiller….
– CHANTE BRAS SENS Marie GOOOORRRRGGGGE chante
comme Carlita « Gare au gorille i ii lllle »
Les Points de vue de : MAYA LACRUCHE « ça fait du bien de vider sa cruche dans : « LE BRUIT DE LA RUCHE » aujourd’hui
« Benjamin ou les mémoires d’un puceau » il s’agit d’un film que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre… Ce film avec Miche L Picco.. lit met l’accent sur l’éducation sentimentale qui se fait parfois à grand coup de pied dans le bas du dos… C’est en ce lieu aussi que se reçoit le coup de pied de l’âne …
En deux courtes vidéos nous allons de l’amour à la bassesse niveau caniveau
C’est là qu’a chuté Benjamin Grivois cette semaine….
Ce marcheur a appris maintenant comment éviter de marcher dans la merde … Camarade… Il fallait simplement dans cette ruelle (de lit) tenir le haut du pavé..
C’est ainsi qu’on évite aussi les punaises de lit.
– Aïe Aïe Aïe Aïe ça tique…!!!
L’actualité grivoise …..
En deux images…!
AVANT APRÈS
NUIT DE BOHÈME
LA BOHÈME LA BOHÈME
Souvent il m’arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d’un sein
Du galbe d’une hanche
Et ce n’est qu’au matin
Qu’on s’asseyait enfin
Devant un café crème
Épuisés mais ravis
Fallait-il que l’on s’aime
Et qu’on aime la vie
UN PETIT GRIVOIS SE DÉSOLE DE NE PLUS AVOIR D’ÉLECTIONS
– Désolé pour cette erreur de titr…age
Un petit vieux se
désole de ne plus avoir d’érections. – Oh purée la boulette ça va chier chez mes vieux au prochain comité de rédaction
Un petit vieux se désole de ne plus avoir d’érections.
Un copain lui dit : – Mange du pain, beaucoup de pain ! C’est formidable pour le sexe. Le pain ça contient plein d’amidon, tu vas voir le résultat … L’autre se précipite à la boulangerie et demande dix baguettes.
– Vous avez des invités, Monsieur Marcel ? interroge la boulangère.
– Non c’est que pour moi !
– Alors là, je vous préviens, ça va durcir !
– Ah, ah ! fait le petit vieux avec malice, je vois que vous êtes au courant ! …
COQUIN DE SORT…! ça laisse des traces….
Le diagnostic
Très courte lettre d’excuses de l’hôpital à un patient :
Cher Monsieur, Les résultats du laboratoire confirment que la rougeur autour de votre pénis n’était pas cancéreuse, c’était du rouge à lèvres. POURQUOI S’EXCUSER PAR LETTRE..,???
Frères ennemis .. Fesses ennemies….
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Deux fesses discutent, une fesse dit à une autre fesse : – Pourquoi on devient pas amis ? – Parce qu’entre nous c’est la merde.
– Comprend pas…? On m’a toujours dit que « Paris vaut bien une fesse »
NDLR: Tête de nœud se trompe excusez le…
il n’a pas toute sa tête…!! Cette formule « Paris vaut bien une MESSE » est attribuée à Henri IV, il aurait prononcé cette formule signifiant pour lui que si le prix à payer pour avoir l’accès à Paris, symbolisant la France et le trône, était simplement de devoir se convertir au catholicisme, symbolisé par la ‘messe’, alors cela valait largement le sacrifice.
MODIFICATION DU RÈGLEMENT POUR LES NOUVELLES ADHÉSIONS A LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE ARTICLE 69 ( sic) : Lors de la remise de la carte à l’adhérent, elle lui sera remise en main propre ( re sic) en échange de son exemplaire personnel du Kama Sutra
-« Ah! J’aurais bien dû me méfier de sa belle gueule d’ange
« Le cœur de l’homme est son paradis
ou son enfer. » Jean-Jacques Rousseau