o
BLOG NOTRE MARRANT
Papy jean n’a pas d’ennemis
Vers la fin de la messe du dimanche, le prêtre demande :
– Combien d’entre vous ont pardonné à leurs ennemis ?
80 % des gens lèvent la main.
Le curé répète sa question.
Tous lèvent la main cette fois-ci, sauf un vieillard, un golfeur passionné qui s’appelle Jean.
Il assiste à la messe seulement quand la météo est mauvaise.
– Jean, puisqu’il ne fait pas assez beau pour jouer au golf, je vous souhaite la bienvenue dans notre église. Vous ne voulez donc pas pardonner à vos ennemis ?
– Je n’ai aucun ennemi, répond-il tranquillement.
– Jean, ceci est très inhabituel.
– Quel âge avez-vous ?
– 99 ans et 11 mois.
Toute la foule se lève et l’applaudit.
– Monsieur Jean, c’est merveilleux, pourriez-vous, s’il vous plaît, venir devant l’autel, et nous dire comment une personne peut vivre 99 ans et 11 mois et n’avoir aucun ennemi ?
Le vieux Jean marche le long de l’allée et vient dire au micro avec un petit sourire sur les lèvres.
– Ils sont tous morts, ces enculés !
COCCOVVVIIIIIIDDDD…
COCCOVVVIIIIIIDDDD… |
Vous devez faire du sport pour rester en forme.
Ma mère commençait à marcher 8 kilomètres par jour quand elle avait 60 ans.
Elle a 97 ans maintenant, et nous ne savons pas du tout où elle se trouve.
Le bobologue cachou nous dévoile tout
Quatre chirurgiens discutent de leur profession dans une salle de repos à l’hôpital.
Le premier chirurgien commence : « J’aime avoir des comptables sur ma table d’opération. Lorsque vous les ouvrez, tout est numéroté correctement à l’intérieur… »
« Ouais, mais vous devriez voir les électriciens ! Tout est codé en couleur à l’intérieur, impossible de se tromper! « ajoute le deuxième.
« Moi, je pense vraiment que les bibliothécaires sont les meilleurs.. Tout est classé par ordre alphabétique à l’intérieur » réplique le troisième.
Le dernier chirurgien prend la parole: « Les plus faciles à opérer sont les chefs. Il n’y a pas de cœur , pas de cerveau, pas de couilles, en plus, la tête et le trou du cul sont interchangeables ! »
« LE PÈRE VICTOR … UN SACRÉ BON FUSIL »
Le père Victor
L’père Victor est allé en ville voir l’Docteur.
– Voilà docteur, chuis ben embêté, dit-il, à moûn âge y en a beaucoup qui vous demand’raient du Viagra. Moi j’en ai point b’soin, j’ai la zigounette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle s’met au garde à vous, chuis dans les champs, l’temps de r’tourner à la ferme voilà quelle r’ garde à nouveau mes bottes.
Le médecin hoche la tête d’un air grave.
– Vous n’auriez pas des fois un truc pour z’y maintenir la tête haute jusqu’a la ferme ? lui demande Victor.
– J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’ elle court vous rejoindre.
– Tirer en l’air pour tirer un coup ? En v’la une idée qu’elle est pas mauvaise !
Quelque temps plus tard v’là t’y pas que l’Victor débarque dans le cabinet du docteur.
– J’viens vous voir, rapport au fusil !
– Pourquoi ça ne marche pas ?
– Oh ! ça eu marché, fait l’Victor, mais ça n’marche plus. Pendant tout l’été j’ tirais en l’air… La Sylvette rappliquait en courant et hop ! j’la bouriaudais dans les broussailles !
– Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
– Ben… d’puis l’ouverture d’la chasse, j’la vois plus !!!
LA DEVINETTE
D’après vous, où est la blonde ?