Pedro, un cardiaque guéri par le rire

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Choucaline plus proche de toi tumeur

bloc note choucaline– BLOC NOTE
de Choucaline

« Les capacités de notre cerveau:

– Voilà le fruit de mes recherches sur notre santé:
Il y a quelque chose à faire et surtout beaucoup de rigolades à refaire …..


Pedro, un cardiaque guéri par le rire

Par le livre :   “Le Rire, une merveilleuse
thérapie” était connue l’extraordinaire
histoire de Norman Cousins, cet Américain devenu célèbre pour s’être guéri par le rire d’une forme grave de rhumatisme jugé
incurable par les médecins.

 Le livre qui raconte son aventure, “La volonté de guérir” est devenu un extraordinaire best-seller traduit dans de très nombreuses langues. Il a valu à Norman Cousins de recevoir des milliers de lettres de médecins enthousiasmés par sa vision optimiste et par la valeur de la thérapie par le rire, qui permet de sortir des dépendances envers les remèdes chimiques pour stimuler le corps à se guérir naturellement en fabriquant lui-même ses médicaments.
Dans son ouvrage intitulé :  » La biologie de l’espoir « , il décrit comment il a été nommé professeur de médecine à l’UCLA, la prestigieuse université de Californie de Los Angeles. Bien que non médecin lui-même, il a été chargé d’étudier et d’enseigner aux futurs médecins l’influence du psychisme sur le corps, ainsi que l’importance d’une attitude positive pour aider le corps à se guérir. C’était la première fois dans l’histoire des universités américaines qu’un professeur de médecine était choisi en dehors du corps médical !

– Avec toutes les équipes de scientifiques qui, dans le monde entier, se passionnent pour la psychoneuroimmunologie
(
la science qui étudie les effets du psychisme sur les fonctions physiologiques du corps et, notamment, sur le système immunitaire), Norman Cousins a démontré que l’attitude d’un individu joue un rôle capital dans le fonctionnement de son immunité.

Voici comment Pedro, un retraité suisse, a suivi les traces de Norman Cousins.

Après une vie professionnelle de fonctionnaire travaillant dans l’administration douanière, Pedro avait commencé avec joie une retraite qu’il attendait depuis longtemps.
Enfin il avait soixante-cinq ans et il allait pouvoir apprécier des vacances perpétuelles, s’adonner sans limite de temps à ses passions de jardinier, de bricoleur et de grand-père de deux charmants bambins. Tout s’annonçait pour le mieux !
Il fit une petite fête pour célébrer dignement l’événement, le début d’une nouvelle vie de liberté et de bon temps. C’était sans compter sur les caprices du destin qui joua un tour plus que pendable à ce jeune retraité en lui infligeant sans prévenir une terrible douleur dans la poitrine qui, une fois qu’il fut transporté en ambulance à l’hôpital, s’avéra être un important infarctus du myocarde.
Ce fut un choc terrible pour Pedro qui avait toujours considéré comme normal que son corps fonctionne bien car il n’avait encore presque jamais été malade.
Il pensait être à l’abri de ce genre de mésaventure parce qu’il menait une vie sobre et, pensait-il, équilibrée.
Vexé, il l’était, mais sans oser vraiment s’avouer l’étendue de sa fureur contre la vie. Tous ses projets s’effondraient et il se voyait déjà mener la vie misérable de ces personnes âgées dont l’univers s’est rétréci comme une peau de chagrin et qui passent leur temps, assis dans leur fauteuil ou leur chaise roulante, à parler de leurs maux, de leurs médicaments, de leurs opérations et de leurs prothèses !
Plus leur vie sombre dans la déprime, la souffrance et les plaintes, plus elle se médicalise.
Plus ils reçoivent de visites de médecins et d’infirmières, moins ils en reçoivent de leurs proches, car les rencontrer pour écouter le récit de leurs misères est devenu une épuisante corvée.

« Pourquoi cela tombe-t-il sur moi ?

Sur son lit d’hôpital, il ruminait des pensées noires. Il se sentait injustement traité par ce Dieu qu’il avait pourtant honoré tous les dimanches, en catholique pratiquant, en s’efforçant de mettre en pratique les conseils d’amour du prochain qu’enseignait le prêtre du haut de sa chaire et en soutenant quelques œuvres de charité.

« Pourquoi cela tombe-t-il sur moi ? »se répétait-il, encore totalement inconscient du fait que rien dans l’univers ne survient par hasard. Quand il rentra chez lui, quelques jours plus tard, avec des pilules à avaler tous les jours et un cardiologue à consulter tous les mois, il se sentait invalide, amputé de toute liberté, condamné à vivre dans la peur en se surveillant sans cesse.
Son statut enviable de « jeune retraité » s’était brusquement transformé en celui de « malade cardiaque ». C’était insupportable !

Il n’avait rien à perdre en allant consulter un naturopathe.
Puisque la médecine officielle l’avait mis sous tutelle médicamenteuse pour le restant de ses jours, il considéra qu’il n’avait rien à perdre en allant consulter un naturopathe.
Peut-être lui offrirait-il plus d’espoir de se guérir ? Il prit rendez-vous avec une naturopathe dont des amis lui avaient dit grand bien.

La charmante jeune femme aux longs cheveux châtains et à la longue jupe de gitane qui lui ouvrit la porte avait l’air si jeune qu’il la prit pour la réceptionniste. Alors qu’il bredouillait des excuses, elle lui dit, en riant d’un rire bon enfant, qu’il n’était pas le premier à faire cette erreur.

– Pourtant, ajouta-t-elle avec une pointe de fierté dans la voix, j’ai quand même près de cinquante ans !

Pedro n’en revenait pas. Elle ajouta :

– Il y a douze ans, j’ai eu un cancer généralisé. Je me suis guérie grâce aux méthodes naturelles et je continue à mettre en pratique les conseils de vie saine que je donne à mes patients !

Cette simple phrase suffit à rallumer, dans le cœur de Pedro-le-malade, la flamme de l’espoir.
Si elle avait pu se guérir, rester jeune et séduisante, pourquoi lui, Pedro-le-jeune-retraité, ne le pourrait-il pas ?
Comme si elle avait lu ses pensées, elle enchaîna :
– Oui, je peux vous montrer le chemin de la santé et de la jeunesse. Mais c’est vous qui devrez le parcourir et faire vos propres expériences. Je ne peux pas vous guérir mais je peux vous enseigner comment vous guérir vous-même, puis continuer à vivre en restant sans cesse en pleine forme !

Sans l’ombre d’une hésitation, Pedro affirma :

– Je suis d’accord. L’idée de passer ma retraite au chevet de mon cœur malade et d’être obligé de consommer tous les jours des médicaments chimiques ne me plaît pas du tout !

Elle sourit avec grâce et lui dit d’une voix vibrante de douceur et de gaieté :

– Bravo ! Vous avez fait le premier pas, le plus difficile, celui de l’affirmation de son désir de se délivrer de ses limitations et de se transformer. Alors, au travail, en avant ! et elle commença à lui expliquer les principes de la guérison holistique.

Les cinq rites tibétains
et la méditation par le rire.
Tous les matins,

Parmi toutes les techniques de santé qu’il commença à pratiquer en plus d’une alimentation vivante, d’un travail de psychothérapie de l’inconscient et de remèdes naturels, il en est deux qui l’enthousiasmèrent particulièrement : les cinq rites tibétains et la méditation par le rire.
Tous les matins, en se levant, il commençait par effectuer ces cinq exercices mis au point par les lamas des monastères de l’Himalaya et qui, au bout de vingt minutes à peine, lui procuraient une forme sensationnelle.
Il sentait l’énergie vitale tourbillonner dans ses chakras.

Puis il s’adonnait à dix minutes de « rire sans raison ». Au début, ce n’était pas facile. Il se sentait ridicule et devait se forcer pour rire. Mais, peu à peu, il se libéra des tabous du passé et osa rire de plus en plus fort, en faisant des grimaces et des gestes exubérants comme en font les clowns.

La naturopathe lui avait expliqué que l’une des causes principales de son trouble cardiaque était son
habitude de refouler toute expression émotionnelle.

Dès son enfance, on lui avait appris qu’il fallait ne pas montrer sa tristesse, sa colère ou sa joie et il s’était efforcé de toujours se contrôler, rester maître de lui et ne rien laisser paraître des sentiments qu’il éprouvait.

« Cette habitude d’être un véritable dictateur envers vous-mêmes », avait dit la naturopathe, » crée, autour de votre cœur, une sorte de corset de fer qui l’entrave dans sa fonction. Libérez vos émotions tous les matins par le rire, vous verrez, cela fait un bien fou ! »

elle est bien bonne
Au bout de trois semaines de ce programme matinal, il avait l’impression d’avoir renoué avec son enfance.
Il s’amusait d’un rien, riait facilement, avait envie de jouer et de faire des farces.

 

Il se sentait plein de punch et d’entrain et il dit à sa femme :

– Je ne me sens même plus « jeune retraité », je me sens « jeune tout court !

Choucaline plus proche de toi tumeurJ’ai rencontré cet homme huit ans plus tard. Il menait une vie active et jouissait d’une parfaite santé.

– « Je me porte mieux que quand j’avais vingt ans, me dit-il, et j’apprécie mieux la vie. Avant je ne vivais que dans ma tête, alors que maintenant je suis beaucoup plus attentif à mes émotions. Au lieu de les enfermer en moi-même, je prends du temps pour rire, chanter, pleurer ou me mettre en colère.
Tout cela hors de la vue de qui que ce soit, bien sûr !
Je traite mon corps avec soin, en mangeant avec conscience une majorité d’aliments sains et je fais tous les matins mes cinq Tibétains et mes dix minutes de rire. J’ai aussi découvert l’importance du service apporté à autrui et je vais m’occuper deux fois par semaine de personnes âgées. Je leur réapprends à rire, c’est sensationnel ! »

En écoutant ce jeune homme de soixante-treize ans, je pensais à tous ceux qui se croient définitivement vieux ou malades et je priais intérieurement pour que son exemple puisse toucher leur cœur et leur donner envie de se guérir.

En fait, la vieillesse ne devrait pas être un temps de souffrance et d’invalidité. Ceux qui veillent à leur équilibre de santé peuvent voir défiler les ans sans que leur corps ne se détériore. Dans une bonne gestion de son bien-être, rire et libérer ses émotions est essentiel.
Voici un poème que j’ai dédié à ceux qui ont encore peur de se ridiculiser en riant de façon trop ostentatoire :

LE RIRE INTÉRIEUR

Rire à gorge déployée
N’est pas toujours possible
Car les gens sérieux s’offusquent
Ils crient au blasphème
Quand le rire est trop visible
Mourir de rire
Est vraiment prématuré
Si vous souhaitez
Sur notre bonne terre
Encore un peu rester !
Le fou rire est interdit
Dans les milieux bien-pensants
Et rire aux larmes
N’a pas bonne presse
Chez les notaires et les juges
Les prêtres et les docteurs
Les gendarmes et les professeurs
Alors que faire ?
Renoncer à rire ?
S’enraidir dans un monde de glace ?
Se durcir le cœur ?
Sombrer dans le malheur ?
Non, si le rire est mal vu
Trop joyeux pour les morts vivants
Il vous reste le rire intérieur
Léger, discret, passe-partout
Il s’adapte à tous les milieux
Cultive votre bonne humeur
Et régénère vos cellules à toute heure
Sentez-le jaillir
Comme une source
Au fond de votre cœur

 

 Et laissez-le couler
Par votre sang
Dans tout votre corps
Si vous avez de la peine
À ressentir cette fontaine de Jouvence
Commencez le matin au réveil
Par une séance de rire sans raison
Vous inspirez puis expirez en saccades
En faisant ha, ha, ha
Ou hou, hou, hou
Ou encore hi, hi, hi
À votre guise
Laissez le rire vous secouer
Et continuez
Pendant dix bonnes minutes
Ainsi sera mise en activité
Pour toute la journée
Votre source privée
De rire intérieur spontané
Et vous vivrez dans la gaieté
Avec des grelots qui dansent et chantent
Dans le cœur
Des courants de vitalité
Qui parcourent le corps
Et des flots d’idées inspirées
Qui ruissellent de votre âme
Pour vous guider
Vers la jeunesse sans fin
Des vallées du bonheur
Qu’irriguent les sources
Du rire intérieur


SOURCE :

ARTISANS DE LEUR MIRACLE
17 GUÉRISONS HOLISTIQUES
Docteur Christian Tal Schaller

© 2001 Editions VIVEZ SOLEIL
17 chemin des Deux Communes
1226 Thönex / Genève (Suisse)

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