Archives mensuelles : janvier 2020

DESSINS: Les perles du Pandora

Bois bandé 200mlVETEMENTS ET ACCESSOIRES               SANTÉ ET SOINS DU CORPS            VOYAGES VALISES

Venez avec nous découvrir les délires du dessinateur de la Chouette…
Qui se défoule sur le thème des pandores… Vous savez ces gendarmes qui vont par deux…
Attachés  comme des saucisses…!

Comme pour faire oublier les inondations la Chouette se mouille un peu plus en publiant les délires de Catala dans les nuits à la bougie  les perles de son Pandora seront les découvertes du jour..!


  RETRAITE …. JE COMMENCE DEMAIN..!!

AVEC LA SÉRIE NOIRE…

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DES MENOTTES …
POUR LES PETITES MENOTTES
Pour être équitable je propose que l’on interdise la vente des allumettes..!

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Le pandore et la Gendarmerie :
La véritable histoire..
Le pandore et la Gendarmerie c’est une longue histoire.
Pourquoi les gendarmes sont-ils parfois encore appelés pandores ?
Est-ce péjoratif ?
Notre version de l’histoire….    

LA FORMATION CONTINUE
ELLE COMMENCE LA OU ELLE S’EST ARRÊTÉE
– Maintenant je comprends mieux pourquoi ils vont toujours par deux..!!!!


VIEUX SOUVENIR

– Là c’est le dessin de trop…
Même quand c’est vrai..
ça se dit pas

 

– Affirmatif Madame …..
Souhaiterions entendre le sieur Catala…

L’image contient peut-être : texte qui dit ’Arrete de bouder on t'aime Qui aime bien charrie bien..’

– Catala… Catala…
Connait pas ..!!!!

 

 

SOURCE : les inédits de CATALA pour la CHOUETTE


Le Lardon
Crème anti-douleur 200ml

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LA TENDRESSE N° 19 : C’est aujourd’hui dimanche

logo-tendresse

LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

« Les Roses Blanches » pour MAMAN

Chanson réaliste, elle raconte l’histoire d’un pauvre « Gosse de Paris » n’ayant pour toute famille que sa mère hospitalisée, à laquelle il apporte chaque dimanche des roses blanches. Un matin d’avril, n’ayant plus un sou, il tente de voler des fleurs, se fait surprendre, mais la fleuriste apitoyée par son histoire les lui offre finalement. Lorsqu’il arrive à l’hôpital, sa mère est morte.

Les Roses blanches est une chanson de 1926, paroles de Charles-Louis Pothier et musique de Léon Raiter
C’est un grand succès interprété par plusieurs artistes : Mary Ketty, Berthe Delny, Priollet, Sandrey, Emma Liebel ; puis elle est reprise par Berthe Sylva, Lucienne Delyle, par le groupe Les Sunlights, ainsi que par Michèle Torr, Régine, Céline Dion, Sanseverino et Tino Rossi (1956).

Paroles de la chanson

« Les Roses Blanches »

C’était un gamin, un gosse de Paris,
Pour famille il n’avait qu’ sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux flétris,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanche
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :

« C’est aujourd’hui dimanche,
tiens ma jolie maman

Voici des roses blanches,
toi qui les aime tant

Va quand je serai grand,
j’achèterai au marchand

Toutes ses roses blanches,
pour toi jolie maman »

Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant
le pauvre mioche,

Furtivement vola des fleurs
La marchande l’ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :

« C’est aujourd’hui dimanche
et j’allais voir maman

J’ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches,
pour ma jolie maman »

 

papy-mamy-la-tendresse

La marchande émue, doucement lui dit,
« Emporte-les je te les donne »
Elle l’embrassa et l’enfant partit,
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit « Tu n’as plus de maman »
Et le gamin s’agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :

« C’est aujourd’hui dimanche,
tiens ma jolie maman

Voici des roses blanches,
toi qui les aimais tant

Et quand tu t’en iras,
au grand jardin là-bas

Toutes ces roses blanches,
tu les emporteras »


Quel plus bel hommage on peut rendre à sa maman. C’est le plus joli cadeau pour toutes les mamans du monde. Un grand merci

Vous redemandez des roses
Une page spéciale leur a été récemment consacrée

           Sources: www.paroles.net


papy-mamy-la-tendresse
Mamy et Papy

Tendresse


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CADRES SUR TABLE: LE CHEF D’ORCHESTRE

hypnose-002ba.jpgChoucaline plus proche de toi tumeurbloc note choucalineBLOC NOTE
de Choucaline

Capacités de notre cerveau à découvrir
« QUI EST L’AUTRE »

Avec CADRES SUR TABLE, nous inaugurons cette série inédite de portraits de cadres de nos entreprises et administrations, afin que nous ayons un regard amusé en direction de ceux ou celles que nous reconnaitrons….. mais également pour espérer leur faire découvrir leurs qualités et leurs défauts ….
Les portraits sont, comme pour toutes démonstrations, rédigés en grossissant le trait ……. mais si peu diront certains…..!

Tu devrais leur dire que tu vas les « encadrer » les uns après les autres, semaine après semaine, et que tous vont y passer ….
La jeune louve , le petit chef
, le serviteur fidèle, l’animateur, la soliste , le chef d’orchestre(ce jour), le cinglé du boulot, pour finir par le planqué… qui est peut être celui qui a eu le temps de tirer le portrait de ses petits camarades…!!!

PORTRAIT DE L’ENCADRÉ DU JOUR: 
LE CHEF D’ORCHESTRE

Tsoin, tsoin, tsoin… Les trois coups sont frappés.

chef orchestre

Dix heures quinze, plus que précises. Ni seize. Ni quatorze. En tout cas, certainement pas vingt! La réunion démarre maestoso ma non ritardando. Le « chef d’orchestre» ne peut réfréner un sourire de satisfaction.

Ce n’est pas que notre maestro soit un redoutable maniaque. Mais, que voulez-vous? L’heure c’est l’heure. Et, un programme ça se respecte. Ici, on aime l’ordre et on ne peut admettre le retard. Tout comme l’on abhorre la fantaisie. Il ne saurait être question de sortir du cadre – clair, net et définitif ­ fixé point par point dans la note remise à juste temps. Pour de justes desseins. Si vous avez, de votre côté, une proposition à faire passer, vous avez intérêt à la structurer. Et puis, attention aux redites ou aux contradictions! Le chef d’orchestre a une mémoire d’éléphant. Il connaît les partitions par cœur : les vôtres comme les siennes.

Qu’il mène son monde mezza voce ou tambour battant, avec la violence des grands inspirés, notre Karajan des bureaux se distingue par son souci de rigueur, sa logique quasi scientifique. Son outrance : appliquer ces dons sans nuance, pour tout, à tous, aux hommes comme aux structures et aux dossiers.

Il préfère «faire faire ».

La raison de cette méticulosité légèrement étriquée? Ce grand planificateur – souvent de formation militaire ou marqué par cette formation – se révèle peu capable de créer par lui-même. Il a besoin de s’appuyer sur les autres: leurs opinions, leurs arguments et leurs raisonnements.
Ne réalisant pas grand-chose par lui-même, il préfère «faire faire ».

Mais, en tenant fermement les rênes.

Doué pour lancer un débat, présider une séance, rappeler à la réalité, il réussit à faire converger des courants extrêmement divers vers un but commun. En même temps, il sait cerner les cibles, dégager des options nettes, fixer des objectifs précis. Et, il mettra tout en œuvre pour les atteindre.

Efficace, ce rationalisme est, hélas, étouffant. En dehors du cadre strictement délimité, toute initiative paraîtra hasardeuse, sinon malencontreuse. Les idées les plus brillantes ne valent que par référence à un programme.

Le programme! Tout est là. Une sorte de carcan dont il vaut mieux être averti. Un nouveau venu en sera abasourdi, désarmé. Et, un peu effaré lors des premiers contacts. Comment réagir face à cet homme à l’aspect austère, froid, tranchant? Apprécier l’élégance du costume «bon chic, bon genre ». D’un grand faiseur sûrement, et sans aucun «m’as-tu-vu »?
Ou bien laisser errer son regard sur le classement impeccable des dossiers, avec divisions: rubriques, sous-rubriques, sous-sous-rubriques … ?

Il reste plutôt à sourire quand la secrétaire – aussi sévère et métallique d’aspect que son patron – vient prendre commande début mai de l’agenda… pour l’année suivante. Ou quand elle expose, pièces à l’appui, tous les détails – jusqu’aux petits déjeuners – d’un déplacement qui doit s’effectuer quelque trois mois plus tard.

Il est encore possible de se dire que prendre tant de temps pour éviter d’en perdre est un bien curieux principe d’organisation.

Mais, si l’on arrive à suivre, à prendre le temps, il n’est pas si désagréable de travailler avec le chef d’orchestre. D’autant que les rapports sont plutôt confiants avec lui. En tout cas sans ambiguïté. Sous des dehors de primes abords rébarbatifs se découvre un être de bonne volonté, affable, d’un accès plus facile qu’il n’y semblait. Et aussi un certain humour, une humeur qui se veut égale, ne serait-ce que pour gommer ses emportements.

Chef dans l’âme, notre homme prête attention à ses collaborateurs. Pas réellement par affection mais avec le désir de mieux les connaitre. mieux les jauger, déceler leurs travers, leurs faiblesses comme leurs qualités. La meilleure voie pour décider des responsabilité qu’il peut leur confier.
En effet il faut lui reconnaître l’art de savoir composer son orchestre. Bien sûr, il s’entend mieux avec ceux qui, comme lui, sont rigoureux, scientifiques. Et il se méfie des virtuoses, préférant les spécialistes capables de se fondre dans le rang. Mais, il sait admettre leur valeur et leur nécessité, même s’il reste mal à l’aise lorsqu’il s’agit de mener des êtres émotifs, sensibles, créatifs.

Pire, il aura les mêmes entraves dans les rapports avec sa propre famille. Où, là aussi, tout est programmé : du remplacement des casseroles à la carrière de ses enfants qui devront afin de ne pas le décevoir, se comporter comme lui : des « bêtes à concours» potassant selon un plan bien établi, des dossiers à faire pâlir de jalousie le plus énarque des énarques.

En fait, ce qui lui importe c’est de conduire la danse … sur une suite d’accords parfaits. Son rêve? Obtenir de ses musiciens une sorte d’automatisme, bien rôdé, bien huilé, capable de persister même en son absence. Ce qui ne va pas sans rabâchage. Ni sans un certain ennui. Mais, efficacité oblige!

Un danger: Que cette efficacité soit trop louangée

Un danger: que cette efficacité soit trop louangée. Ou que notre chef en soit trop imbu. Il tourne alors à la « diva», avec ses caprices, ses langueurs et ses … explosions! Autre risque : l’affrontement avec un être encore plus dirigiste ou – pire – avec une réalité qui ne se plie plus à ses projets.

Dépassé, le chef d’orchestre devient un véritable semeur de pagaille. Il perd la mesure. Il déchaîne ses troupes à temps et à contretemps. Il en arriverait à se précipiter dans la fosse. Et mes amis, quelle cacophonie!

SOURCE :
Extrait de cadres sur table – Document de formation en ressources humaines pour cadres bancaires années 70

LISTE DES ENCADRÉS … EN BOITE

CE TABLEAU RÉCAPITULE LES PRÉCÉDENTS PORTRAITS DÉJÀ PUBLIÉS

LA JEUNE LOUVE
LE PETIT CHEF
LE SERVITEUR FIDÈLE
L’ANIMATEUR
LA SOLISTE
LE CHEF D’ORCHESTRE
LE CINGLÉ DU BOULOT

 La Boîte à outils du manager – 3e éd. – 50 fiches pratiques pour piloter son équipe Broché
Manager est un apprentissage quotidien  : la singularité de chacun, manager et collaborateur, la multiplication des situations, les transformations numériques… obligent à s’adapter en permanence.
En 51 fiches pratiques, cette 4e  édition propose des réponses simples et opérationnelles, et des plans d’action applicables à un grand nombre de situations quotidiennes pour le manager :
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Parce qu’être manager ne s’improvise pas, cet ouvrage s’adresse à tous les managers, débutants ou confirmés, désireux de s’appuyer sur des repères précis, des lignes directrices claires, des témoignages et des  auto-évaluations,  dans une démarche cohérente et pertinente.
Dans  cette 4e  édition, outre la question prégnante du digital et son impact toujours plus grand sur le management, l’accent est mis sur le partage d’expérience de terrain, en tant que manager d’équipe mais aussi de soi-même.

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RETRO :
C’est du même tabac…..

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L’humour du pauvre… Oh mon poovre … il est en crise

 wikipédiatre est le détracteur en chef de ces jeunes rédacteursLe Bobologue Cachou est un ancien  membre du personnel de santé. Il fait appel à sa mémoire professionnelle ou à celle de ses collègues pour nous ramener des historiettes pour rire ou sourire de nos travers.

  SUR  LA  FEUILLE  DE  SOINS  AUJOURD’HUI :


  OH MON POOVRE
– CHARITÉ BIEN ORDONNÉE

LE BON ET LE MAUVAIS ŒIL
– LES MENSURATIONS IDÉALES DE L’HOMME

– UN POUSSIN ÉGAL … 2
LES PANDORES DÉSARMÉS
– DEVINETTES

OH  MON POOVRE

Aujourd’hui subissant la crise je me suis dit:
« Si je suis pauvre…. je ne suis pas riche. »
C’est une situation qui a un avantage,
celui de supprimer la crainte des voleurs.

Si je suis pauvre… Je ne suis pas chiche,
car j’aide les pauvres du tiers monde.
Cette  aide payée par les pauvres des pays riches,
aide énormément  les riches des pays pauvres.

Mon banquier à raison de ne prêter qu’aux riches,
car nous les pauvres on le rembourserait avec difficulté.
Mais il est bien bon mon banquier…
Il prête parfois à sourire..  Surtout quand il me prête

un parapluie quand il fait beau…..
et il me le reprend quand il commence à pleuvoir.
Pourtant il m’avait dit : «  Mon poovre…
Je vous conseille de mettre de l’argent de côté

Eh oui… l’argent que vous mettez de côté
Vous l’aurez devant vous…. Pour assurer vos arrières
A condition de ne pas vous retourner bien sûr..!
Sinon là, vous l’aurez vite dans le cul…

Je lui ai dit : « Oui je suis pauvre, donc je ne suis pas riche »
mais Je sais désormais  ce qu’il me reste à faire.
C’est devenir riche…! car c’est je vous  l’affirme,
le seul moyen d’échapper à la misère.

Voilà une recette pour  devenir riche :
« Quand tu jettes l’argent par la fenêtre
Arranges toi pour qu’elle donne sur ta cour
Tu verras, ensuite il n’y a qu’a se baisser pour les ramasser »

PAUVRE MARTIN
PAUVRE MISÈRE

  Musique d’ambiance

CHARITÉ BIEN ORDONNÉE

Un gamin entre en trombe dans la maison familiale
Papa, papa !
– Oui mon chéri.
– Tu peux me donner deux euros pour un pauvre type
qui crie dans la rue.

Le père, touché par la générosité de son fils,
prend son porte monnaie et sort une pièce de 2 euros.
Et que crie t-il ce monsieur ?
– Glaces : 2 euros !

LE BON ET LE MAUVAIS ŒŒIL

Un pauvre mendiant frappe à la porte d’une maison bourgeoise.

Il tente alors d’attendrir la maîtresse de maison.

Ma bonne dame, j’ai perdu un œoeil !

Mon brave, il n’est pas ici !

Les mensurations idéales d’un homme ?

Les mensurations idéales d’un homme ?
80 –  20 – 42  ( 80 ans, 20 millions d’euros sur le compte en banque  et 42 degrés de fièvre)

CHOUCHOUTTE ET LE CONSEIL DU CHOU

LA MACHINATION AVEC MACHINE

– « C’est bien le flirt mon chou…? »

  –  » Nul de chez nul….
C’est le machin dans la main…
la main dans le machin
mais jamais le machin dans le machin!
« 

UN POUSSIN ÉGAL … 2

 

Eh eh…… mes ciseaux à bois
– Ouais et ben mes chiens aussi…!  

PAUVRE ROUTIER

Un chauffeur de camion voit le long de la route un petit bonhomme vert en train de pleurer.

Il s’arrête et lui demande ce qui ne va pas.

« Je suis vert, je viens de Venus, je suis homo et j’ai faim », lui répond l’étranger.

– « Bon, dit le chauffeur, je peux te donner un sandwich, mais pour le reste je ne peux pas t’aider« .

Il donne le sandwich et poursuit son chemin. Un peu plus loin, il voit un petit bonhomme rouge, qui pleure aussi. Il s’arrête encore et demande ce qui ne va pas.

« Je suis rouge, je viens de Mars, je suis homo et j’ai soif. « 

– « Je peux te donner une boite de coca, mais pour le reste, je ne pourrai pas t’aider. « 

Et il donne sa boite de coca et poursuit son chemin…

Un peu plus loin il voit un petit bonhomme bleu. Il s’étonne un peu de ce débarquement inter planétaire, et commence à en avoir marre.
Il ouvre alors sa fenêtre et lui crie
«  Eh alors petit pédé, de quelle planète débile tu viens, toi ?

Et le petit bonhomme bleu lui répond :
 » Gendarmerie Nationale. Contrôle d’alcoolémie, papiers du véhicule, SVP »

L’image contient peut-être : texte

DEVINETTES

Quelle est la différence entre les moustiques et les femmes ?

 Les moustiques, ils te font chier que l'été.

 C’est qui Mister Freeze ?

C'est l'homme le plus sucé au monde

 

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