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LA TENDRESSE : Dans ce monde de brutes N°18 – il y avait de l’ombre

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LE BLOC NOTE
de
Mamy et
Papy tendresse

papy-mamy-la-tendresse90
rue de la
tendresse

Souvenir de nous deux ……
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

Y avait de l’ombre

Paroles de la chanson
Y avait de l’ombre

Y avait du désordre à chaque coin,
C’était pas comme à l’aéroport,
Où le dedans, c’est comme dehors,
Où t’es toujours à regarder l’heure.
Murs de cailloux et de terre
Qui savent garder les histoires
Au chaud l’hiver, au froid l’été,
Tout était vivant.

Dans la maison où nous avons vécu,
Y avait de l’ombre, y avait de l’ombre,
De l’ombre dessous, le toit dessus,
Y avait de l’ombre, et pas trop de lumière

Moi, j’étais enfant, j’avais déchiré
Dans la chambre le papier peint
Pour faire une carte de l’Afrique,
Un jour de méchante grippe,
Pour traverser le ciel,
La fièvre a un grand bateau,
Et deux gifles, aller retour,
C’était pas cher.

Ici çà s’appelle « A tiens toi droit »,
Et moi je regarde danser le feu
Sur la photo d’un vieil ami
Qui a voyagé libre en avalanche,
Le chagrin est petite chose,
C’est le bonheur qui se repose,
Ou le contraire quelquefois,
Je sais pas bien.

papy-mamy-la-tendresseLes mots qu’on reçoit
C’est comme des parfums qu’on
respire Ceux de Nadau sentent bon la tendresse et l’émotion écoutez le
raconter avant de chanter
Y avait de l’ombre :
« Quand je suis revenu dans la
maison où on avait vécu …
J’ai trouvé que rien n’avait changé sauf l’herbe dans le jardin qui était très haute.

En regardant la maison je me disais :
On croit toujours que c’est la maison qui nous appartient …
Mais c’est pas vrai c’est nous qui
appartenons aux maisons….!!! »
UN GRAND MONSIEUR …
ÉCOUTEZ UN AUTRE DE SES SUCCÈSVous en redemandez
Une page spéciale lui a été récemment consacrée


Sources:   www.paroles.net

Que i avè ombra, NADAU :

Que i avè pagalha en cada còrn,
N’èra pas com a l’aeropòrt,
On lo dehens qu’ei com dehòra,
On ès tostemps a espiar l’òra,
Parets de calhaus e tèrra,
Qui saben guardar las istoèras
Au caut l’ivèrn, au fresc l’estiu,
Tot qu’èra viu.

En casa d’on avem viscut,
Que i avè ombra, que i avè ombra,
Ombra devath, lo teit dessús,
Que i avè ombra, e chic de lutz.

Jo qu’èri mainat, qu’avi esquiçat,
Ena crampa lo papèr pintrat,
Tà har ua carta de l’Africa,
Un dia de maishanta gripa,
Tà poder traucar lo cèu,
La frèbe qu’a un gran batèu,
E dus cohats, anar tornar,
N’èra pas car .Ací que s’apèra « A tien-te dret »,
E jo qu’espii dançar lo huec
Sus la fotò d’un vielh amic
Qui viatjè libre hens un eslit,
Lo chegrin qu’ei petita causa,
Qu’ei lo bonur qui s’arrepausa,
O lo contrari, per bèth còp,
N’at sèi pas tròp.


papy-mamy-la-tendresse
Mamy et Papy

Tendresse


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