Archives mensuelles : avril 2018

C’EST PAS COMPLIQUÉ UN HOMME !

LE BLOG NOTE DE
MACHIN CHOUETTE

Je tire mon nom d’un mot employé pour désigner un truc, un bidule, ou quelqu’un que l’on ne peut ou que l’on ne veut pas nommer
je viendrai de temps en temps avec mes deux « alcooliques »

Truc muche bouboule bleu

et
Bidule truc bouboule rose

C’EST PAS COMPLIQUE UN HOMME !

bouboule bleu

– Pourquoi les hommes sont les êtres les moins inquiets ?

 

Ils peuvent ouvrir eux-mêmes leur pot de confiture.

Ils ne peuvent jamais être enceinte.

Les mécaniciens leur disent généralement la vérité.

Leur nom de famille ne change pas.

Les rides leur donnent de la personnalité.

Robe de mariée 2000 euros, location de smoking 50 euros.

Les gens ne fixent pas leur poitrine quand ils leur parlent.

  • Les chaussures neuves ne leur donnent pas d’ampoules.
  • Une seule humeur et c’est la même tout le temps !
  • Les conversations téléphoniques sont finies en 30 secondes.
  • Ils n’ont besoin que d’une valise pour des vacances de cinq jours.

bouboule rose– Et en plus……

Ils peuvent pisser à peu près partout.

Ils se fichent de la façon dont les autres hommes s’habillent.

Le moindre geste agréable de leur part leur vaut de la reconnaissance.

Leurs sous-vêtements coûtent au plus 15 euros pour un paquet de 3.

3 paires de chaussures sont plus que suffisantes.

Ils sont incapables de voir si leurs vêtements sont froissés ou tachés.

Tout sur leur visage reste de la même couleur tout le temps.

Ils pensent et communiquent essentiellement au premier degré.

Le programme de la machine à laver le linge reste définitivement incompréhensible.

Ils partagent avec leur chat une peur instinctive de l’aspirateur.

– On peut dire encore d’eux

Leurs magasins préférés Casto, Fnac, Décathlon

Les frites, le chocolat, les viandes en sauce, le pain avec la pizza ne leur posent aucun problème.

La même coupe de cheveux dure des années, peut-être même des décennies.

Ils n’ont que leur visage à raser.

Ils peuvent jouer avec des joujoux toute leur vie.

Un seul sac ou portefeuille et une paire de chaussures peu importe la couleur.

Une seule couleur pour toutes les saisons.

– Vous noterez qu’aussi :

Ils peuvent se promener en short, quel que soit l’état de leurs jambes. Ils peuvent s’arranger les ongles avec un canif de poche.

Ils peuvent faire les courses de Noël pour 25 personnes en 25 minutes le 24 décembre

Et quand ils voient une jolie poitrine, ils ne comparent pas, ils profitent !

Et on continue de se demander pourquoi les hommes sont heureux !…

Le pire … c’est que c’est vrai !

LE CHOURISTE

 

– Envoie cet article  à tous les hommes qui seront contents de le lire !

Et à toutes les femmes qui vont bien rire à la lecture de ces vérités.

MACHIN CHOUETTE

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BANDE DESSINÉE : CHARLY BROWN PRÉSENTE NOUS TON PETIT CHIEN SNOOPY

CHOUONS ENSEMBLE
par Chou fleur

 C’est mercredi les choupinets et les choupinettes
voilà de quoi jouer avec Papy et Mamy…
et s’instruire parfois….

–     Aujourd’hui ……
– PEANUTS …  UN  COMIC STRIP …!!
–  COMIC STRIP …  QUESACO.. ???

Un comic strip, ou simplement strip,
est une bande dessinée de quelques cases, aujourd’hui le plus souvent humoristique, disposées en une bande le plus souvent horizontale.

Ce nom provient de la juxtaposition des termes anglais « comic » (comique, amusant, drôle) et « strip » (bande, bandeau).

– Ne pleure pas, si tu ne sais pas ce que c’est…
– je vais te donner l’exemple de Snoopy

SNOOPY ET LES PEANUTS…  MAIS APPELEZ MOI SNOPPY

 

Peanuts (aussi connu sous le nom de Snoopy et les Peanuts ou simplement Snoopy) est le nom d’un comic strip écrit et dessiné quotidiennement, sans interruption et sans assistance par l’Américain Charles M. Schulz (1922 – 2000) d’octobre 1950 jusqu’à sa mort, en février 2000.
Il aura écrit au total 17 897 strips dont 2 506 éditions du dimanche.
Peanuts est une série de gags qui tournent autour de deux personnages centraux, un garçon maladroit, malchanceux et déprimé, Charlie Brown et son chien, Snoopy.

 

Charlie Brown

Charlie Brown est avec Snoopy, son chien, le personnage principal du comic.
Ils sont les deux seuls personnages à apparaître dans le comic du début à la fin. Son père est coiffeur, il a une sœur : Sally Brown.
C’est un petit garçon malchanceux, maladroit et déprimé. Il joue le rôle du loser de la série et rate tout ce qu’il entreprend : il n’arrive pas à faire décoller son cerf-volant, n’arrive pas à jouer au baseball, n’a aucun succès auprès des filles (dont la jolie « petite fille rousse ») et perd 10 000 fois consécutives contre Lucy aux dames. Malgré cela, il s’obstine toujours à faire ce qu’il désire.

Snoopy

Snoopy est un petit chien  le beagle  de Charlie Brown et est, avec lui, le personnage central des Peanuts.

Au fur à mesure du comic, son comportement devient « humain » : il se met à marcher sur ses deux pattes, à penser et à philosopher.

Il a des habitudes plutôt extravagantes, comme celle de dormir sur le toit de sa niche et vit dans un monde fantaisiste

Il a de nombreux frères et sœurs, dont Spike, Andy, Olaf et Tupfen. Son meilleur ami est Woodstock, un petit oiseau jaune, contraint, à l’occasion de lui servir de secrétaire.

CHARLES SCHULTZ ROI DU GAG BASÉ SUR LES COMIQUES
A RÉPÉTITION….. RUNNING- GAG

Le strip s’appuie sur le principe du running gag (comique de répétition) où les mêmes situations entre les personnages reviennent tout au long de la bande dessinée. De plus, chacun des personnages a ses particularités, ses obsessions et ses accessoires propres, qui resurgissent chaque fois qu’ils apparaissent.
Peanuts a donné également naissance à des dessins animés, dont plusieurs ont reçu un Emmy Award, à des pièces de théâtres et à des comédies musicales.

Le comic a été, à partir des années 1960 un succès planétaire, notamment aux États-Unis. La popularité du strip et le nombre colossal de licences pour des publicités ou produits dérivés ont fait de Charles M. Schulz une des célébrités les plus riches du monde.

À la mort de Schulz, le comic était publié dans plus de 2 600 journaux, dans 75 pays différents et dans 21 langues.

HOMMAGE A CHARLES SCHULTZ

Charles M. Schulz en 1956, dessinant Charlie Brown

Charles M. Schulz en 1956, dessinant Charlie Brown

En novembre 1999, juste avant ses 77 ans, ne voit plus clair et a du mal à lire.
Le 14 décembre 1999, il annonce qu’il se retire du dessin. Il déclare :
« je ne pensais pas que cela pouvait m’arriver. J’ai toujours pensé rester dans la bande dessinée jusqu’à mes quatre-vingt ans environ. Mais soudain, tout a disparu. On m’a tout pris, ce n’est pas moi qui ai tout mis de côté. On m’a tout pris ».

Le dernier strip quotidien est édité le 3 janvier 2000 (les strips écrits par Schulz étaient publiés quelques semaines après). Charles M. Schulz s’éteint 40 jours après, le 12 février 2000, dans son lit.

Le lendemain est édité le dernier strip du dimanche, où il fait ses adieux :

Chers amis
J’ai eu la chance de dessiner Charlie Brown et ses amis pendant près de 50 années. Cela a été le fruit de l’ambition de mon enfance.
Malheureusement, je ne suis plus en mesure de continuer le travail demandé par un comic strip quotidien. Ma famille ne souhaite pas que
Peanuts soit poursuivi par quelqu’un d’autre, par conséquent j’annonce ma retraite.
Je suis très reconnaissant de la fidélité de nos éditeurs, du soutien merveilleux et de l’amour exprimé par les fans du comic strip, au cours de ces années.
Charlie Brown, Snoopy, Linus, Lucy… Comment pourrais-je jamais les oublier ?

Charles M.Schulz

chou fleur le roi du mercredi CHOU FLEUR
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les châteaux de Victor Hugo … l’autre Hugo … de l’écrivain à l’artiste

Meilleurs complements alimentaires

logo poésie smallVos poèmes, vos poèmes préférés …

– Des livres à nous signaler, vos impressions sur ceux que vous avez lus, et que vous voulez nous conseiller…. Ou tout simplement comme aujourd’hui vos  poèmes à nous faire partager


Pensez à nos potes âgés qui n’ont pas de jardin et cultivent leur esprit…!

Victor Hugo, de l’écrivain à l’artiste


Tout le monde connaît Victor Hugo, l’écrivain. Mais ce que l’on sait moins de ce grand romantique c’est que le célèbre auteur des Misérables, Notre Dame de Paris n’était pas qu’un écrivain. Il avait beaucoup d’autres talents.
C’était un artiste qui avait des talents de décorateur et de dessinateur.

C’est lui qui aménage la maison d’Hauteville House (Guernesey), lieu d’exil politique de la famille entre 1856 et 1870.

“Ses dessins et gouaches, réalisés au cours de ses nombreux déplacements et années d’exil, posent un double regard sur les lieux visités “

Nous vous avons retrouvé quelques uns de ses dessins de châteaux pour illustrer son poème  » le château fort « 
Bien sur,  cela nous donne envie de retourner à la maison Victor Hugo Place des Vosges à Paris !

Poésie : Le château-fort

 

À quoi pensent ces flots, qui baisent sans murmure
Les flancs de ce rocher luisant comme une armure ?
Quoi donc ! n’ont-ils pas vu dans leur propre miroir,
Que ce roc, dont le pied déchire leurs entrailles,
A sur sa tête un fort, ceint de blanches murailles,
Roulé comme un turban autour de son front noir ?

Que font-ils ? à qui donc gardent-ils leur colère ?
Allons ! acharne-toi sur ce cap séculaire,
Ô mer ! Trêve un moment aux pauvres matelots !
Ronge, ronge ce roc ! qu’il chancelle, qu’il penche,
Et tombe enfin, avec sa forteresse blanche,
La tête la première, enfoncé dans les flots !

Dis, combien te faut-il de temps, ô mer fidèle,
Pour jeter bas ce roc avec sa citadelle ?
Un jour ? un an ? un siècle ?… Au nid du criminel
Précipite toujours ton eau jaune de sable !
Que t’importe le temps, ô mer intarissable ?
Un siècle est comme un flot dans ton gouffre éternel.

Engloutis cet écueil ! que ta vague l’efface
Et sur son front perdu toujours passe et repasse !
Que l’algue aux verts cheveux dégrade ses contours !
Que, sur son flanc couché, dans ton lit sombre il dorme !
Qu’on n’y distingue plus sa forteresse informe !
Que chaque flot emporte une pierre à ses tours !

Afin que rien n’en reste au monde, et qu’on respire
De ne plus voir la tour d’Ali, pacha d’Epire ;
Et qu’un jour, côtoyant les bords qu’Ali souilla,
Si le marin de Cos dans la mer ténébreuse
Voit un grand tourbillon dont le centre se creuse,
Aux passagers muets il dise : C’était là !

Le 26 novembre 1828.  Victor Hugo (1802-1885)
Recueil : Les orientales (1829).

SOURCES:
https://passionchateau.fr/les-chateaux-de-victor-hugo/
http://www.poesie-francaise.fr/victor-hugo/poeme-le-chateau-fort.php
https://www.france-pittoresque.com/spip.php?article14127la maison Victor Hugo


Chou Blanc est effectivement magnétiseur...! voir son site cliquez CHOU BLANC retour sur la rubrique du même tabac

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Les Incendies de la Commune: Les tuileries sont en feu..!

LE BLOG CHAUD BRULANT
DU POTE OFEU

 

Quand les communards mettent le feu au château des tuileries

L’Incendie des Tuileries. Georges-Jules-Victor CLAIRIN (1845 – 1919) © Photo RMN-Grand Palais – C. Jean

En ce temps là « la commune »

Au cœur de Paris et en bordure de Seine, accolé au Louvre, le palais des Tuileries avait été construit au XVIe siècle par Catherine de Médicis
Ce château est considéré comme la demeure historique des monarques français,puis résidence  de Napoléon III durant tout le Second Empire.

Dès le 26 mars 1871, la Commune proclame le pillage du lieu qui est peu à peu vidé, saccagé et démantelé. Durant la « Semaine sanglante », tant pour terrasser le symbole de la tyrannie que pour retarder l’avance des troupes versaillaises, l’incendie de cet édifice est organisé par des communards à grand renfort de chariots de poudre, de goudron liquide, d’essence de térébenthine et de pétrole.

Le feu et la pierre

Durant trois jours et trois nuits, du 23 au 26 mai, le château des Tuileries et ses deux ailes flambèrent pour ne laisser que des ruines.

 

Le communard Gustave Lefrançais écrit dès 1871 dans son Étude sur le mouvement communaliste à Paris en 1871 :


« Oui, je suis de ceux qui approuvèrent comme absolument moral de brûler ce palais essentiellement monarchique, symbole abhorré d’un exécrable passé […], où tant de crimes antisociaux avaient été prémédités et glorifiés. »

Dès mai 1871 Georges Clairin (1843-1919), offre la représentation picturale de cet événement,
( voir ci dessus) de l’incendie observé depuis l’angle de la Conciergerie où sont repliés quelques fédérés. Conduits par une égérie à drapeau rouge, ces communards sont juchés sur un amas informe de débris indistincts. le palais en flammes apparait à l’arrière-plan.

 

Meissonier (1815-1891) a représenté quant à lui les décombres désolés du château après l’extinction du feu.

«Les Ruines des Tuileries», de Jean-Louis-Ernest Meissonier. Photo Daniel Arnaudet. RMN 

 



Le 19 juillet 1870 éclatait la guerre franco-prussienne.

La rapide défaite des armées françaises en 1871, l’effondrement du Second Empire et les conditions sévères imposées par Bismarck pour la signature de la paix – cession de l’Alsace et d’une partie de la Lorraine, occupation de Paris par l’armée prussienne – déclenchèrent l’insurrection des Parisiens et la formation d’un gouvernement révolutionnaire.

La Commune de Paris eut une durée de vie très brève, de mars à mai 1871. Le soulèvement de Paris aurait pu réussir si le reste de la France avait suivi, mais les tentatives d’insurrection à Lyon, à Marseille, à Saint-Etienne, au Creusot, à Limoges, à Narbonne et à Toulouse tournèrent court.

Paris, isolé, fut soumis à un blocus militaire par les armées française et prussienne.

Les troupes régulières basées à Versailles et commandées par Mac-Mahon reprirent possession de la capitale au cours de la « semaine sanglante » (21-28 mai 1871).

Les communards élevèrent plus de 500 barricades pour entraver la progression des versaillais et, le 23 mai, ils incendièrent plusieurs édifices publics :
le palais des Tuileries, la Cour des comptes, le Conseil d’Etat, l’Hôtel de Ville de Paris, le ministère des Finances, le palais de la Légion d’honneur.

La répression qui s’abattit sur la Commune décapita pour longtemps le mouvement révolutionnaire en France.

Jean-Louis-Ernest Meissonier | La Barricade, rue de la Mortellerie, juin 1848, dit aussi Souvenir de guerre civile

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