Choucaline tire un peu trop sur les bretelles…..Piano Piano… Bella…!

hypnose-002ba.jpgChoucaline plus proche de toi tumeurbloc note choucalineBLOC NOTE
de Choucaline

Capacités de notre cerveau à découvrir
« QUI EST L’AUTRE »

 ILS L’ONT DIT SUR LE NET

– » Bonjour,
Une collègue s’est faite ridiculiser par le patron, avec insultes et reproches, devant tout son service. Un patron a-t-il le droit de faire ça, ou est-il tenu de faire ses remarques en privé ? L' »engueulade » était vraiment houleuse. Merci d’avance pour vos conseils et remarques.

– « Cette humiliation publique est du harcèlement moral, avec témoins qui plus est. Il faut que votre collègue porte plainte rapidement. »
–  »
Une chose est sûre, c’est une situation qu’il ne faut surtout pas accepter. Alors tu portes plainte sans hésiter.
 »

Combien de fois, dans les cabinets de psy ce dialogue est il rapporté …? Toujours accompagné des points de vue des conseilleurs, qui ne sont jamais les payeurs… car il n’y a qu’un seul payeur qui n’est pas celui que l’on croit … je ne parle pas de droit et du patron condamné… Je parle du bio choc que la victime a encaissé ce jour là…. Elle le paye à crédit avec les intérêts dans sa chair, dans son corps et dans son esprit… voire dans son âme…

« Les remarques positives se font en public, les reproches en privé« . Si cette règle d’or du management  est outrepassée alors, c’est à partir de cet instant, que l’on peut dire que les douleurs du corps de la victime seront le reflet de son âme défaite….

Cette situation s’appelle « Se faire remonter les bretelles »

C’EST QUOI AU JUSTE:
C’est se faire rappeler à l’ordre, plutôt vivement.

Les bretelles, ces bandes de tissu élastique qui servent à maintenir le pantalon des hommes, sont apparues au XVIIIe siècle à une époque où un simple cordon noué à la ceinture était souvent utilisé pour empêcher le pantalon de tomber.

Le nom vient de l’ancien mot allemand ‘brittil’ qui signifiait ‘rêne’, à cause de la ressemblance avec cette pièce de harnachement du cheval.

Il existe deux explications à cette expression :

  La première viendrait d’une bagarre où, lorsqu’un des protagonistes serait saisi par ses bretelles et un peu secoué, cela aurait des chances de le ramener à la raison.
Ce serait donc une manière de le rappeler à l’ordre et de le calmer.

  La deuxième viendrait de la silhouette élégante que donnent des bretelles en maintenant le pantalon tendu.
Si les bretelles sont mal placées ou mal tendues, la silhouette du mâle porteur perd de son allure, la culotte flottant un peu, trainant sur les pieds.
Si, au sens propre, on remonte les bretelles de celui qui fait ainsi mauvaise impression, on lui rend une allure nette et équilibrée. Ce qui rétablit l’ordre.

SOURCE :
site recommandé –  Expressio
.com

La justice passe…. Mais les mots prononcés ont déjà généré des maux…..

Si le patron était bien une personne narcissique, manipulatrice, perverse, méchante, bref le parfait profil du harceleur….alors que la justice passe..!
Mais au delà de ceux qui payent combien sont sauvés parce quand : »Tu es victime de harcèlement, tu as tendance à plus t’écraser devant les réprimandes du patron et c’est pire que tout »

PATRONS…: Oui c’est pire que tout de continuer à penser autrement que le premier accord toltèque qui recommande: 

« QUE VOTRE PAROLE SOIT IMPECCABLE »
Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez.
N’utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire sur autrui.

Le rappel des 4 accords Toltèques

  QUE VOTRE PAROLE SOIT IMPECCABLE
Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez. N’utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire sur autrui.

  NE RÉAGISSEZ A RIEN DE FAÇON PERSONNELLE
Ce que les autres disent et font n?est qu’une projection de leur propre réalité, de leur rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles.

  NE FAITES AUCUNE SUPPOSITION
Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. A lui seul cet accord peut transformer votre vie

  FAITES TOUJOURS DE VOTRE MIEUX
Votre mieux change d?instant en instant, quelle que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d’avoir des regrets.

  En résumé, ne dire que ce que l’on pourrait voir répéter aux intéressés sans rougir.
Apprendre à tenir sa langue, c?est mieux que de se répandre en critiques négatives.

Ce que font ou disent les autres, même si cela vous concerne, n’en faites pas une affaire personnelle. Chacun parle, agit et réagit par rapport à lui-même, par rapport à ce qu’il croit, ce qu’il voudrait, ce qu’il attend de vous mais en aucune manière vous ne devez laisser les actes ou les paroles des autres vous perturber. Ceci ne vous appartient pas, ne le prenez pas pour vous.
Avant de juger une situation, prenez toutes les précautions, posez toutes les questions qui vous viennent à l’esprit et aux personnes directement concernées.
N?écoutez pas les rumeurs, dans les entreprises, rien de pire !

Donner le maximum de soi-même dans chaque situation est la seule chose à faire pour être en accord avec soi-même. Aider, soutenir les autres, les écouter. Le mieux possible.

Alors cher manager…. Comment faire une critique à un collègue

Les remarques positives se font en public, les reproches en privé.

Cette règle prise en compte, « considérez votre interlocuteur avec bienveillance et mettez-vous à sa place ».
Compte tenu de sa personnalité, comment peut-il entendre ce reproche ?
Si la situation était inversée, comment aimerais-je qu’on me le dise pour qu’il soit recevable ?
D’abord, accordez-vous sur les faits, en en donnant une description courte et précise
« Ensuite, pour éviter le rapport de force, exprimez votre sentiment plutôt qu’un jugement ».
Parlez au « je » plutôt qu’au « tu » accusateur.
Par exemple, plutôt que de dire « Tu m’as fait un sale coup », insistez sur le caractère subjectif de la remarque :
« J’ai l’impression d’avoir été mis à l’écart et cela m’a contrarié. »
Ajoutez : « Je peux me tromper », avant de lui laisser la parole afin qu’il s’explique.
Surtout, écoutez les circonstances atténuantes qu’il peut évoquer.
Puis terminez la conversation en l?assurant que vous l’avez entendu, mais que vous espérez que cela ne se reproduira pas.

SOURCE: psychologie.com


  Paix aux gens de bonne volonté qui veulent
humaniser notre quotidien professionnel.

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RETRO :
C’est du même tabac…..

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