Archives quotidiennes :

LA LIMACE est baveuse en 2011

RETOUR SUR IMAGE … LA SYNTHÈSE DE LA LIMACE
Vous nous écrivez pour vous plaindre ou vous réjouir et parfois pour compléter nos propos en contribuant par des envois – pas toujours publiables. Merci à tous…
Nous avons donc décidé de les publier  individuellement ou de regrouper l’ensemble de vos contributions quand vraiment les propositions seront nombreuses et concordantes sur un thème.

VOICI ORGANISÉES PAR LA LIMACE,  VOS CONTRIBUTIONS
AUTOUR DES RUBRIQUES DU MOIS DE DÉCEMBRE 2010

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 MERCI à LULU (56) –  Pour avoir complété la fosse aux crocodiles de notre ZOO
pour mémoire voici nos propos sur les crocos

  – croco moosieur

–     Le croco idylle

la chasse au croco

MERCI à LULU

 Un crocodile dans la ville

Un homme se promène avec un crocodile dans Bamako. Un policier l’interpelle :
Dites donc vous, que faites-vous avec ce crocodile en pleine ville ?

– Je l’ai trouvé et je ne sais pas quoi en faire.

– Emmenez-le donc au zoo.

– Ce n’est pas une mauvaise idée.

Une heure plus tard, le policier revoit cet homme en compagnie du crocodile.

Alors, vous êtes allé au zoo ?

– Oui et cela lui a bien plu, alors maintenant je l’emmène au cinéma.

MERCI à MAURICE (11) –  Pour avoir amélioré la vue des éleveurs de chevaux
Pour mémoire voici nos propos sur les TESTS DE VISION

Reconnaître un cheval :

C’est un fermier qui a deux chevaux et il ne les reconnaît jamais. Alors, il décide d’aller demander conseil à son voisin.
Le voisin lui répond :

-Eh, l’Marcel, t’as cas couper la crinière à un des deux ch’vaux, crénon !!!

Alors, notre joyeux fermier rentre chez lui et coupe la crinière d’un cheval. Mais, 2 semaines plus tard, elle a repoussé.
Marcel retourne chez le voisin:

-Eh, l’Marcel, t’as cas couper l’oreille d’un des deux ch’vaux, crénon !!!

Alors, notre joyeux fermier rentre chez lui et coupe l’oreille d’un cheval. Mais, le soir, l’autre cheval rentre à l’écurie et se coupe l’oreille dans la porte.
Marcel retourne chez le voisin:

Eh, l’Marcel, t’as cas peindre en rose les sabots d’un des deux ch’vaux, crénon!!!

Alors, notre joyeux fermier rentre chez lui et peind les sabot d’un cheval. Mais, 2 semaines plus tard, la peinture part.

Marcel retourne chez le voisin:

– Eh, l’Marcel, t’as cas m’surer le cou des ch’vaux, crénon!!!
Et tu vééééééras l’quel s’ra l’plus long, crénon!!!

Alors, notre joyeux fermier rentre chez lui et mesure les cous des chevaux, il regarde le + long. le soir même,
Marcel retourne chez le voisin:

Eh, l’Alfred, il est super ton truc, le ch’val noir a le cou plus long que le ch’val blanc.
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MERCI à LUCIENNE(46)
– A notre avis, ça sent le vécu entre sa copine et elle (maquillé façon brune et blonde) … Pour nous elles devaient chercher l’étalon 2011 … Mauvaise pioche  à cause de simples problèmes de vue…..
Pour mémoire voici nos propos sur les TESTS DE VISION

C’est une blonde et une brune qui se promènent.
La blonde dit à la brune :

« T’as vu les cheval là-bas ? »
La brune dit :
« Ce ne sont pas des cheval, mais des chevaux… »
La blonde répond :
« De loin on aurait cru des cheval ».
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MERCI à MARIE (75) Qui trouve la vidéo sur Blanche Neige de mauvaise qualité et sans Blanche Neige… Elle lui préfère la scène où Blanche Neige chante son rêve aux 7 nains… Vivre dans le château de celui ci …d’où la chanson  » Un jour mon prince viendra »  ( présentée ci-dessous)
Voici de quoi revoir la page de la Chouette du mercredi de Blanche Neige 

barre bleueMERCI à JOSEPH (52) Qui regrette que la rubrique les saints guérisseurs ait omis de parler du songe de saint Jérôme
Il nous a transmis le fruit de ses recherches pour compléter et engraisser la CHOUETTE….
Voici ci-dessous le texte intégral de son rêve

Saint Jérôme rêve qu’il est flagellé par deux anges sur l’ordre du Christ

Jérôme naquit dans une riche famille chrétienne. Il fit de solides études à Rome, était très épris de culture classique et connaissait tous les grands écrivains latins dont il s’était constitué une magnifique bibliothèque. Il avait en fait recopié lui même tous les textes à la main. Il commença une carrière littéraire et forma avec ses amis un groupe qui s’orientait vers la vie chrétienne monastique.
Cet intellectuel se trouvait entre deux cultures, la culture latine et la culture chrétienne. Mais il manifestait un enthousiasme incontestable pour les poètes, les philosophes et les orateurs latins, il vouait en particulier une admiration sans bornes au célèbre avocat romain, l’écrivain Cicéron.
En revanche, la Bible lui paraissait un livre brutal et grossier en comparaison du raffinement intellectuel de la prestigieuse culture latine. Ce fut alors que sa vie fut totalement bouleversée par un rêve. A cette époque, il se trouvait à Antioche où, au cours d’une maladie où il faillit mourir, il reçut un rêve terrible qu’il raconta dans une de ses lettres.

Le voici :

Rêve

 « Je fus soudain emporté en esprit et traîné devant le trône du jugement du Juge.Et là, la lumière était si brillante, ceux qui se tenaient à l’entour étaient si radieux que je me jetai à terre sans pouvoir regarder.
On me demanda qui j’étais  et je répondis :

«Je suis chrétien ». Mais celui qui présidait répliqua :
«Tu mens, tu es un disciple de Cicéron et non du Christ. Car là où est ton trésor, là se trouve aussi ton c?ur. »
Sur l’instant je devins muet. Il ordonna que je sois fouetté, et, en recevant les coups de fouet, je fus torturé plus terriblement encore par le feu de la conscience. Je pensai en moi même à la parole : « Qui va me faire grâce quand je suis au fond de la tombe ? »

A cause de tout cela je me mis à pleurer et à me lamenter, m’écriant :

« Aie pitié de moi, ô Seigneur, aie pitié de moi à cause de ma jeunesse. »

Mes cris se firent entendre même à travers les coups de fouet. A la fin, tous ceux qui se trouvaient là tombèrent à genoux devant Celui qui présidait et Le supplièrent d’avoir pitié de ma jeunesse et de me donner encore du temps pour me repentir de mes erreurs. Ils insistèrent en disant qu’Il pourrait m’infliger un supplice si jamais je me remettais à lire les ?uvres des païens. J’en fis donc le serment et j’invoquai son nom par ces mots :
« Seigneur, ce serait te renier, si jamais je me trouvais de nouveau en possession de livres de ce monde, ou si jamais j’en lisais. »

Je fus congédié après avoir fait ce serment,

 je retournai dans le monde d’en haut, et, à la surprise générale, quand j’ouvris les yeux, ils étaient si rempli de larmes que même les plus incrédules furent convaincus de ma détresse…

Je professe que mes épaules étaient devenues bleu – noir, que je sentis les coups encore longtemps après mon réveil et que depuis lors j’ai lu les livres de Dieu avec plus de zèle que je n’en avais mis pour lire les livres des hommes. »

Peu après, Jérôme se rendit au désert en ermite puis poursuivit sa vie dans l’étude. Il connaissait le grec, il apprit l’hébreu et se lança alors dans l’énorme travail qui fut de traduire la Bible en latin.

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 SOURCE : Christiane-Riedel -BLOG D’UNE SPÉCIALISTE DES RÊVES
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